A voir pendant ses vacances à Salers
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- Le 26/11/2017
- Dans Auvergne
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Salers dans le Cantal en Auvergne, en plein cœur du Parc naturel des volcans d’Auvergne est classé parmi les plus beaux villages de France. Il est sans contexte le plus beau village du Cantal. Pour découvrir les trésors architecturaux de Salers lors de votre passage, il faut flâner le long des ruelles bordées d’hôtels particuliers et se laisser surprendre par mille détails : les toits en poivrière, les fenêtres à meneaux, les tours en encorbellement…
Salers, joyau Renaissance de la Haute-Auvergne, est construite sur deux mamelons basaltiques. Le château féodal rasé en 1666 siégeait sur le plus petit d’entre eux. La ville commerçante a été fortifiée au XVème siècle sur le second. Entrer dans le village de Salers, c’est faire un voyage dans le temps.
Salers est située à l'extrémité ouest du complexe volcanique du Cantal, au bord d'un plateau d'une altitude de 900 m environ. La ville de Salers s'est constituée autour d'un château situé sur une butte basaltique dominant la vallée de la Maronne. À cet endroit, la Maronne n'est plus loin de son confluent avec l'Aspre, ces deux vallées permettant l'accès par l'ouest au Puy Violent et à toute la chaîne des Puys cantaliens.
A voir à Salers lors de vos escapades de vacances !
Salers a une quantité surprenante de lieux d'intérêt et de monument historique pour un si petit village, qui est due à son rôle de centre administratif local dans le 16ème siècle.
Les bâtiments publics comme les maisons des Sagraniers sont bâties en pierre volcanique noire, typique de la région.
Parmi les lieux remarquables, on peut citer :
La place Tyssandier-d'Escous
Dédiée au rénovateur de la race salers, entourée de maisons Renaissance dans le plus pur style de la Haute-Auvergne, cette place (aussi place de la Mairie) présente en son centre un buste de l'agronome qui succeda à l'ancienne halle à grains qui servait sous l'Ancien régime pour la mesure des grains avec des niveaux sur chaque pilier.
Bâtiment des Haras à Salers
Adresse : Tyssandier-d'Escous (place) Informations : Façade et toiture (cad. 185) : inscription au monument historique par arrêté du 29 juin 1951 Propriétaire : propriété d'une personne privée. Construction comprenant un rez-de-chaussée couvert. La façade est percée d'une porte cochère en anse de panier, flanquée de deux petites ouvertures à linteau droit.
Au-dessus de la porte se trouve une autre porte fouragère en pénétration dans la toiture, et couverte par une lucarne à fronton triangulaire. Une autre lucarne est placée à l'aplomb de la fenêtre de gauche, également à fronton triangulaire. Cette dernière lucarne semble de construction récente. Eléments protégés : élévation ; toiture
La maison dite du Bailliage
Ayant été la propriété de la famille Sevestre, portant des traces des meneaux arrachés des fenêtres pour raisons fiscales, elle fut également la propriété de la famille Mossier. Elle porte le nom de bailliage en référence à ses précédents propriétaires qui furent magistrats civils, mais il n'a pas été établi que le bailliage, issu de Crèvecoeur à Saint-Martin-Valmeroux, se soit établi de manière permanente dans cette demeure.
C'est une maison composée de deux corps de logis gothiques construits à la fin du XVe siècle (1470-1490) pour deux familles de hauts magistrats : les Valens et les Nozières. Cet ensemble n'a jamais été le Bailliage. Le "parloir" des consuls de la ville y fut hébergé à partir de 1508-1510.
Deux tours en encorbellement encadrent cet ensemble dont l'une historiée à la base. Nous vous invitons à visiter ce village, Salers est un voyage dans le temps, Salers vous transporte du Moyen-Age à la Renaissance. Siège d'une baronnie dont les seigneurs se distinguèrent dès la 1ère croisade.
Salers obtient ses droits de franchise au XIIIe siècle, avant de recevoir par Charles VII en 1438 l'autorisation de se ceindre de remparts (portes du Beffroi et de la Martille). En 1564, Charles IX y fixe le siège du Bailliage royal des Hautes Montagnes d'Auvergne.
La maison de la famille Chazette de Bargues
Avec un balcon en pierre de lave du XVe siècle orné de sculptures. Cette maison est la première dans la rue des Nobles. La famille de Chazettes, originaire des environs de Mauriac (Cantal) est connue honorablement depuis le 15ème siècle. Antoine de Chazettes, fils de Pierre, fait foi hommage a roi en 1669 à cause d'une portion de domaine et de rentes nobles à prélever sur le lieu de Pont, à Saint-Paul de Salers, et sur celui de Bargues, à Saint-Cernin.
Jacques de Chazettes, avcat au parlement et juge ordinaire à Salers, agissant au nom de sa mère, Catherine Salvage, remplit la même formalité en 1672. Jacques-André de Chazettes, écuyer, remplit la même formalité en 1723. La famille de Chazettes ne figure pas au nombre de celles d'Avuergne qui firent reconnaître leur noblesse lors des diverses recherches ordonnées par Louis XIV, et ses membres ne figurent pas avec les qualifications nobiliaires dans les actes des XVIè et XVIIè.
Elle s'agrégea à la noblesse, comme beaucoup d'autres, au cours du XVIIIè sans qu'on lui connaisse de principe d'anoblissement régulier. Un de ses membres prit part en 1789 aux Assemblées de la noblesse tenues à Saint-Flour. La famille de Chazettes n'est pas titrée. Anoblissement en 1722 par charge de conseiller-secrétaire du Roi
La maison du Commandeur de Mossier
Qui accueille le Musée de l’histoire de Salers et de ses traditions populaires. Belle demeure bourgeoise Renaissance avec sa galerie de style gothique et sculptures symboliques, ses clefs de voûte et culots de retombées d’ogives
Grandes salles, salons et mobiliers provenant en partie de la maison mitoyenne Dolivier (XVIIIème & XIXème siècles) - Cheminées monumentales (XVème siècle) - Pharmacie classée ISMH (1891) - Demeure inscrite à l’ISMH en 1927. Photos de la région de Salers par l’abbé Gély vers de 1911.
Rares sont les maisons qui vous ouvrent leurs portes à Salers, celle-ci est l’une des plus énigmatiques demeure de notre ville, maison bourgeoise, pouvant être du XVème siècle, restaurée au commencement du XVIIIème siècle par un commandeur de l’ordre des chevaliers hospitaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem (plus tard de Malte).
L’accès principal est remarquable par sa galerie de style ogival (ou gothique), comportant cinq travées ornées en leur centre d’une clef de voûte aux motifs ésotériques ou armoriés. Les retombées d'ogives se terminent par des culots non moins énigmatiques. Le reste de l’architecture ne manquera pas non plus de vous impressionner. L’escalier qui dessert les étages, vous plongera dans l’ancien temps, à la fin du moyen-âge.
Au premier étage s’ouvre une grande salle, dotée d’une cheminée monumentale, de la fin de l’époque médiévale (XVème siècle). Elle comporte un lourd manteau aux moulures saillantes et piédroits à colonnettes d’inspiration médiévale; sa curiosité vient d’un mystérieux triangle décoré de trois fleurons à ses sommets et caché dans l’angle droit du manteau.
Cette salle à manger vous accueille dans le passé pastoral, à l’origine de la prospérité de la cité de Salers : différentes presses et ustensiles de la production fromagère évoquent l’importance du commerce des bovins dès le début de l’époque Renaissance, et bien entendu l’histoire incontestée d’une race emblématique : « la vache salers », et son grand mécène en la personne d’Ernest Tyssandier d’Escous.
Nous n’oublierons pas le pastoralisme ovin, dont le négoce de la laine fut une source de revenus essentielle à Salers et durant quelques siècles, en passant par la réputation de l’élevage chevalin (âne, mules, mulets, chevaux) des Hautes-Terres d’Auvergne, qui du XVIIème au XIXème siècle jouera un rôle non négligeable dans la production de chevaux de labour, mais surtout pour la remonte des armées, dont les haras nationaux d’Aurillac rappellent cette importance au sein des élevages montagnards.
Au second étage, une autre grande salle, disposant aussi d’une cheminée imposante (XVème siècle), était la salle de vie commune pour les veillées. Un ensemble de mobilier des XVIIIème et XIXème siècles, nous plonge dans la vie quotidienne des gens de Haute-Auvergne : lit avec son Ciel, buffet Louis XIII, armoire de style Louis XV, boiseries et bancs de cheminée (Cantou) avec divers ustensiles de la vie quotidienne.
Au rez-de-chaussée, vous trouverez la superbe pharmacie Raveyre (initialement située au milieu de la rue du Beffroi), ce patrimoine classé au mobilier historique en 1990, conserve encore ses nombreux pots et instruments de préparation, et nous permet d'évoquer au fil de la visite l’ancienneté des avancées de la recherche médicale de l’Ordre des Hospitaliers, illustrées par son école de pharmacie « Sacrée Infirmerie » à Malte.
La Maison de la Ronade
Dont les fondations datent du XIIIe siècle. Bâtisse de la famille du même nom, elle est aujourd'hui visitable et Philippe Garrigue, un descendant, est l'historien du village. Il s'agit de la demeure de la famille André de La Ronade, qui a donné plusieurs magistrats au bailliage de Salers. Maison de trois niveaux avec une façade en andésite soigneusement appareillée et une tourelle escalier très étroite.
De 1307 à 1474 on retrouve plusieurs Ronat, de Ronat, La Ronat, dits aussi Andrieu, dont l'un sera coadjuteur de l'Evêque de Clermont en 1343 puis Évêque de Nyons, et un autre Andrieu de La Ronade comme Bailli à Bort en 1474. André/Ronade : la fusion de ces deux familles parentes ?, se fera en 1336 par le mariage de Phinoux de La Ronade, héritière du lieu avec un cadet des André (branche Lagane), et l'on pense à Bertrand Andrieu de La Gane qui la même année est au Soulou tout proche. Cet André prendra nom et armes de la famille.
Aujourd'hui, la bâtisse est connue sous le nom de « Maison de la Ronade » toujours habitée par les descendnats (Garrigue-Lagane). Le visiteur peut profiter des salons privés ouverts au public lors de soirées littéraires et culturelles "café philo" "Lecture-dédicace", etc... organisées par "Les Amis de Salers", association créée par Jean-Pierre Lagane le 31 mars 1970.
Maison Bertrandy
Bâtisse de la fin du XVIIème (1700) à tour d'escalier centrale sur perron. Porte encadrée par colonnes, fronton triangulaire et besants à valeur compagnonique.
Tour de Flogeac
La porte du Beffroi et la porte de la Martille
Qui sont les derniers vestiges de l'ancien rempart médiéval. Eléments protégés : Le beffroi : classement au Monument Historique par arrêté du 29 janvier 1929. Périodes de construction : 14e siècle ; 15e siècle ; 16e siècle Propriété de la commune. Sur une porte voûtée en ogive s'élève une tour carrée sur laquelle s'appuie, à droite, une tour ronde.
Des mâchicoulis et des corbeaux, puis une toiture surmontée d'un ouvrage en ferronnerie la terminent. La partie inférieure pourrait dater du 14e siècle.
Les portes cloutées
Parmi le patrimoine historique et architectural de Salers, les portes cloutées ont une place de choix. Ces portes résistaient plus longtemps aux assauts des mercenaires qui tentaient de les enfoncer pendant la guerre de Cent Ans. La grande majorité des portes de Salers sont cloutées et ces clous ne sortent pas de l'usine, le forgeron les faisait sur mesure.
Le clou est une tige de fer pointue garnie d'une tête, destinée à fixer des ferrures sur le bois ou à maintenir ensemble certaines pièces. L'antiquité grecque et romaine employa souvent les clous comme motif de décoration des portes.
A Salers, ces petites pièces de forge sont de forme simple, mais elles conservent toujours la trace d'une fabrication soignée. Ces clous ont soit une tête forgée en pointe de diamant, ou une tête en rondelle.
La chapelle dite Lizet
Qui s'avère être la chapelle de la mission diocésaine devenue depuis maison de retraite, une exposition permanente y est organisée : Salers, regards sur la peinture et la sculpture. Cette chapelle date du XVIIIe siècle, époque à laquelle les procédures foncières ont permis aux missionnaires diocésains de s'établir à Salers.
La chapelle dite « Lizet » qui s'avère être la chapelle de la mission diocésaine devenue depuis maison de retraite, une exposition permanente y est organisée : Salers, regards sur la peinture et la sculpture. Cette chapelle date du XVIIIe siècle, époque à laquelle les procédures foncières ont permis aux missionnaires diocésains de s'établir à Salers.
Eléments protégés : La façade de la chapelle ; la façade de l'hospice ; l'escalier en bois avec sa rampe : inscription au Monument Historique par arrêté du 29 juin 1951 Périodes de construction : 18e siècle Propriété de la commune
Le beffroi de Salers
Du XVe siècle, il domine la rue commerçante du même nom, c'était l'un des quatre points d'accès de la cité. Le beffroi est implanté à l'entrée de la ville, il comprend une tour érigée entre les 14 et 16e siècle, la tour de l'horloge, nommée ainsi, car dotée d'une horloge et d'un cadran solaire en façade. L'entrée est composée d'un porte voûtée en ogive, au dessus de laquelle fut ajoutée une tour carrée défensive équipées de corbeaux et machicoulis.
A côté de la tour carré, se trouve une tour ronde avec l'escalier.Edifice incontournable qui marque l'entrée de Salers, cette tour a été construite entre le 14e et le 16e siècle. Il faut savoir que cette porte a longtemps porté le nom de "Tour de l'Horloge" car se trouvent, en façade, une horloge et un cadran solaire (sans parler de la cloche).
L'entrée se fait en passant par une porte voûtée en ogive par dessus laquelle a été ajoutée une tour carrée qui porte tous les éléments du système défensif : corbeaux, machicoulis... Cette dernière est flanquée d'une une tour ronde (pour l'escalier) ce qui lui donne cette silhouette particulière.
C'est en 1428, que Charles IV autorise les habitants à se doter de fortifications pourtant, il semble que la base de la tour soit plus ancienne ! Le beffroi est classé Monument historique depuis le 29 janvier 1929.
L'hospice Lizet
Il est dissimulé par le beffroi et abrite un artisan d'émaux. C'est le premier hospice de Salers, fondé par Pierre Lizet, premier président du Parlement de Paris au XVIe siècle. Hospice bâti en 1734 pour loger les prêtres chargés de prêcher des missions dans la région des hautes montagnes d'Auvergne. Il fut confisqué à la Révolution, puis vendu en 1796 avant d'être racheté par les pères missionnaires de Clermont. La chapelle est datée de 1767.
Elle est constituée d'une superposition de pilastres aux chapiteaux s'apparentant au style corinthien. Groupés par paires, ces pilastres sont situés à chaque extrémité de la façade. Un fronton triangulaire couronne l'ensemble. L'édifice se compose de trois travées séparées par des doubleaux reposant sur des pilastres ornés de chapiteaux. Le choeur ouvre sur une abside à pans coupés.
L'hospice y attenant comprend un étage ordinaire et un étage de combles. Les fenêtres possèdent un linteau constitué par des arcs appareillés. La porte d'entrée, légèrement surélevée, donne accès au vestibule où se trouve un escalier en bois montant sur deux étages.
Eléments protégés : La façade de la chapelle ; la façade de l'hospice ; l'escalier en bois avec sa rampe : inscription au Monument Historique par arrêté du 29 juin 1951 Périodes de construction : 18e siècle Propriété de la commune.
L'église Saint-Matthieu
L'édifice est classé au titre des monuments historiques en 1994. L'église existe dès le 13e siècle (le porche pourrait remonter à la fin du 12e siècle). A partir de la fin 15e siècle, reconstruction jusqu'au milieu du 16e siècle (église consacrée en 1552). En 1620, démolition du clocher. Restaurations au 19e siècle (reconstruction du clocher).
L'église Saint-Matthieu est une reconstruction de la fin du XVe siècle, mais le portail rappelle le reste de l'église romane qui la précédait, néanmoins intégralement restaurée à la fin du XIXe après que la foudre fut tombée dessus. Parmi les ornements, des tapisseries du XVIIe siècle, dont une est le « Serment de Montmartre », acte fondateur de la Compagnie de Jésus par saint Ignace de Loyola, ainsi qu'une Mise au tombeau polychrome datée de 1495, offerte par le père Géraud Vitalis pour la reconstruction et la consécration de l'église.
La chapelle Notre-Dame-de-Lorette
Se trouve à l'est, en direction de la montagne, vers Malprangère. Elle date du XIXe siècle, d'un style néo-byzantin particulier, elle fut bâtie sur les restes de la chapeloune voulue par un seigneur de Salers, datant des alentours de 1450 et source d'un pèlerinage local dont les archives attestent de guérisons.
La chapelle Notre-Dame-de-Lorette est située au quartier de Maleprangère. L’édifice actuel est la 3ème reconstruction datant de 1886. La première construction aurait eu lieu au XVème ou peut-être au XIVème siècle.
La légende veut qu’un chevalier croisé de Salers invoqua la protection de la Vierge lors d’une bataille en Terre Sainte. Une fois exaucé, il fit un pèlerinage à Loreto (Italie), d’où il ramena une statue de la Vierge.
De retour à Salers, il fit bâtir un oratoire dédié à Notre-Dame-de-Lorette. La tradition populaire peu paraitre romancée mais il est notable, lors de la destruction du vieux sanctuaire, d'avoir découvert un panneau d’autel représentant deux chevaliers croisant leurs épées.
Salers a compté dans son histoire d'autres lieux de culte, aujourd'hui reconvertis ou détruits :
La chapelle du couvent des religieuses de Notre-Dame
Sans doute détruite après-guerre avec l'ensemble conventuel, l'actuelle salle des fêtes est l'unique vestige de l'ensemble.
La chapelle du couvent des Franciscains Récollets de Barrouze
Détruite avec l'ensemble pendant la Terreur.
Une chapelle est mentionnée dans le château des barons de Salers
Qui sera rasée en 1666 avec le corps seigneurial en exécution des Grands Jours d'Auvergne
La chapelle Lizet
(l'originale) est située sous la porte du Beffroi, elle est aujourd'hui un magasin de souvenirs et fut le premier Hôtel-Dieu au XVIe siècle, fondé par Pierre Lizet.
Nos coups de coeur à Salers
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Sites Remarquables du Goût
Ils ont établi, en 1995, une liste de 100 Sites Remarquables du Goût, distinguant : un produit alimentaire et emblématique du territoire, bénéficiant d'une notoriété et d'une histoire, un patrimoine exceptionnel sur le plan environnemental et architectural, un accueil du public permettant de faire connaître les liens entre le produit alimentaire, le patrimoine culturel, les paysages et les hommes.
Le Pays de Salers a obtenu l'agrément Site Remarquable du Goût pour le fromage AOP Salers, un fromage à pâte pressée non cuite dont la production ne peut se faire que du 15 avril au 15 novembre, lorsque les vaches se nourrissent d'herbe.
Fermes, maisons thématiques, restaurateurs sont associés à cette démarche valorisant le territoire.
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