Parcours touristique dans Thiers (63)
Située aux portes du Parc naturel régional du Livradois-Forez, Thiers est une commune d'Auvergne dans le département du Puy-de-Dôme. Capitale de la coutellerie française, Thiers prend place sur les contreforts du massif des Bois Noirs et des monts du Forez, à une quarantaine de kilomètres seulement de Clermont-Ferrand et d'Ambert. Elle s'est développée sur la rive ouest de la Durolle.
Peuplée dès l'époque gallo-romaine, la ville de Thiers serait, selon les historiens, d'origine celte. Ancienne baronnie du comté d'Auvergne au Moyen Âge, elle était alors un haut lieu d'échange et de commerce. Au XIVe siècle, la ville connaît un regain d'activité grâce à la coutellerie, la papeterie, la tannerie et la fabrication de cartes à jouer. Aujourd'hui, la cité est érigée en capitale française de la coutellerie.
Thiers est une ville qui, comme l'Auvergne, se mérite : rien de mieux que de marcher pour découvrir une cité. Dans la vieille ville, sur les hauteurs, vous pourrez vous promener dans les ruelles en pente, savoir monter et descendre des rues étroites et tortueuses, des ruelles en escalier afin de découvrir les maisons médiévales à pans de bois, avec encorbellements, fenêtres à meneaux et autres statues sculptées. Assez étroites et pavées, certains de ses ruelles n’encouragent pas les visites en voiture. Les piétons s’y retrouvent donc dans une oasis de calme et les touristes apprécient de flâner dans ces lieux hors du temps.
Thiers est mondialement connue pour son art de la coutellerie, au même titre que Laguiole. C'est dans la vallée des Usines, située en contrebas du quartier médiéval, que se trouvait la plupart des usines consacrées à la coutellerie. Le site mêle aujourd'hui quelques bâtiments toujours en activité, les ruines de bâtiments désaffectés mais aussi d'anciens bâtiments transformés en centre d'art contemporain ou en Maison de l'Aventure Industrielle. Chaque année se déroule Coutellia, le plus grand festival d'Europe dédié à la coutellerie d'art et de tradition. À voir en priorité : le musée de la Coutellerie, le centre d'art contemporain du Creux de l'enfer et l'église Saint-Genès. L'été, la ville s'anime avec la Pamparina, un grand festival musical gratuit.
Parcours et itinéraire touristique dans Thiers
Perchée en hauteur, capitale française de la coutellerie, Thiers s’est développée autour d’une cité médiévale qui a su garder une âme authentique. Elle conserve un important patrimoine lié à cette activité ancestrale. La ville est divisée en parties distinctes. La ville-basse, partie commerçante et nouvelle de la ville surplombée par la ville-haute, remarquable ensemble médiéval et pittoresque.
Pour visiter la cité médiévale de Thiers, mieux vaut se garer à l’extérieur. Les stationnements en ville sont libres et le parking de la place Belfort, est gratuit. La vieille ville, sur les hauteurs de Thiers regorge de vieilles maisons à pans de bois et à façades sculptées qui attireront votre attention tout le long de votre promenade. Ne manquez pas de flâner dans les ruelles en pente de la vieille ville, où le regard sera attiré par le caractère typique des façades anciennes à pans de bois et encorbellements.
Dirigez-vous vers la rue Conchette. La conche ou conchette, c'est la coquille Saint-Jacques, et le nom de cette rue semble indiquer que les pèlerins y passaient. Les maisons possèdent de belles cours intérieures : c'était le quartier riche de la ville, celui qu'habitaient les grands fabricants et les maîtres cartiers. Admirez l'encadrement de la porte de la maison du XVIIe siècle au n°4. Cette maison à l'architecture datant essentiellement de l'époque classique, comprend une cour intérieure rectangulaire et un couloir de communication avec la rue. Sur la face sud de cette cour s'élève un escalier de plan carré à quatre niveaux qui dessert l'ensemble de l'habitation. Cet escalier, d'un type assez particulier, est affirmé en façade par le jeu des volées rampantes entre les travées droites des extrémités.
En pente douce, les ruelles nous entraînent dans une déambulation au gré du hasard jusqu'à la rue Terrasse. Au détour de la rue Terrasse, comme son nom l’indique, vous y trouverez une belle terrasse qui offre un panorama immanquable sur la plaine de Limagne et la Chaîne des Puys. Au coucher du soleil, c’est un vrai spectacle : le meilleur moment pour en profiter. Une table d’orientation a été installée là, face à la Chaîne des Puys qui se dessine à l’horizon. On peut encore admirer quelques vestiges des anciennes fortifications, Thiers a changé de visage au fil des siècles, les remparts s’écartant de plus en plus du cœur de ville. Au XIXe siècle, seule la partie "Est" des fortifications reste intacte. Elle sert notamment à retenir les terres des pentes de la ville, jouant le rôle de mur de soutènement.
Continuez vers la rue du Bourg, une des rues de la cité médiévale bordées de maisons à pans de bois, avec encorbellements, fenêtres à meneaux et autres statues sculptées... Ne manquez pas d’admirer les façades et les vieilles portes. On y trouve des coutelleries, des restaurants et quelques magasins. Au n°6, l'immeuble s'ouvre par une porte du XVe siècle qui se compose d'un cadre et, au-dessus, d'un tympan en arc brisé, le tout accolé de petits contreforts terminés par des pinacles sur lesquels s'amortit une moulure d'archivolte décorée de crochets déliés de choux frisés. L'extrémité de l'accolade se combine avec l'appui mouluré et sculpté de la fenêtre supérieure dont le boudin supérieur contourne la saillie de cette extrémité.
L'entrée de la maison au n°12 des XIVe et XVe siècle, conserve un tympan caractéristique d'une époque proche de la Renaissance où chacun souhaitait marquer l'entrée de sa maison par un ornement ou un symbole. Le tympan est orné en son milieu d'une niche à arc trilobé. Chaque montant est décoré d'une colonnette engagée reposant sur base prismatique. La petite niche renferme la statuette d'un personnage barbu, drapé dans de longs vêtements, agenouillé et joignant les mains dans une attitude orante. Sous cette niche est sculpté en relief un écu portant une étoile à six branches, un cep de vigne chargé de grappes, et une fleur. De part et d'autre de la niche, ce tympan est percé d'une ouverture circulaire à réseau en étoile à six branches. Le reste de la façade est du XVIIIe siècle.
Prendre à droite la rue du Pirou pour découvrir la maison des Sept Péchés Capitaux, maison en pans de bois du Moyen Age avec ses sculptures présentes sur la façade au n° 11. Elle doit son nom aux énigmatiques sculptures qui ornent les corbeaux soutenant le premier étage. Au n° 9, se trouve un logis à encorbellement.
Plus loin, passez sous la Pedde du Coin des Hasards, ce passage couvert médiéval a été installé au XVe siècle. On peut y admirer aisément les colombages caractéristiques des maisons médiévales. On peut y remarquer un beau linteau de bois sculpté. Outre le gain de place, cet agencement permettait d'être exempté de l'impôt au sol. Ce passage couvert fait partie des lieux d’intérêts les plus connus de Thiers. Les "peddes" désignent à Thiers un passage habité qui relie deux maisons médiévales entre elles. Plusieurs quartiers possèdent leurs peddes.
Au n° 1 de la rue du Pirou, aménagée dans l'ancienne porte Charrier, la tour de Maître Raymond est un vestige de la seconde enceinte féodale de Thiers du XIIIe siècle. Du château seigneurial, il reste la tour de l'Horloge qui domine encore le pâté de maisons au sud de la rue du Pirou. Autres éléments encore visibles de l'époque où Thiers était protégée par ses enceintes. De la première enceinte du XIe siècle subsiste la partie basse de la tour carrée de la Chancellerie. C'est aujourd'hui une maison à l'angle de la rue du Palais et de la place du Pirou. Sur sa façade nord, la porte romane qui servait d'entrée jusqu'à 1450 environ est toujours visible. Comme souvent dans les cités médiévales, cette zone de Thiers est un vrai dédale.
Vous voici sur la place du Pirou. Le centre ancien et médiéval de Thiers regorge de belles demeures à découvrir à l'instar de l'hôtel du Charriol localement appelé château du Pirou, l'édifice le plus emblématique de la ville. L'hôtel du Pirou, avec ses fenêtres à meneaux et ses colombages, ou encore la maison de l'Homme des Bois, avec sa pittoresque statue sculptée, a été construit au début du XVe siècle par Louis II de Bourbon et dévoile encore ses beaux pans de bois. Aujourd'hui, ce très bel exemple d'architecture civile du Moyen âge, accueil l’office de tourisme.
Votre promenade vous emmène vers la rue de la Coutellerie. L'entrée de la maison du XIVe et XVe siècle au n° 12, conserve un tympan caractéristique d'une époque proche de la Renaissance où chacun souhaitait marquer l'entrée de sa maison par un ornement ou un symbole. Le tympan est orné en son milieu d'une niche à arc trilobé. Chaque montant est décoré d'une colonnette engagée reposant sur base prismatique. La petite niche renferme la statuette d'un personnage barbu, drapé dans de longs vêtements, agenouillé et joignant les mains dans une attitude orante. Sous cette niche est sculpté en relief un écu portant une étoile à six branches, un cep de vigne chargé de grappes, et une fleur. De part et d'autre de la niche, ce tympan est percé d'une ouverture circulaire à réseau en étoile à six branches. Le reste de la façade est du XVIIIe siècle.
Plusieur maisons à colombages se trouvent dans cette rue, comme au n°14, au n°19 belle maison d'angle présentant des vestiges de pans de bois sculptés du XVe siècle. La Porte d'entrée est chanfreinée. La maison de l'Homme des Bois au 21 rue de la Coutellerie, toujours du XVe siècle, se distingue par la décoration particulièrement riche de son premier étage. En plus d'un belle série de statuettes finement sculptées, on trouve la représentation de l'homme étrange qui donne son nom à l'édifice. Vêtu de peaux de bêtes, son expression est celle d'un illuminé et il tient un long bâton terminé par un visage qui pourrait figurer la "Mère folle" des alchimistes. A l'angle de la maison est accroché un édicule néo-gothique abritant une statuette de la Vierge.
La visite de Thiers ne se conçoit pas, bien sûr, sans un passage au musée de la Coutellerie, un espace plein d'intérêt retraçant l'histoire de la coutellerie thiernoise et proposant, au travers de ses ateliers, des démonstrations de ce merveilleux savoir-faire. Thiers est mondialement connue pour son art de la coutellerie, au même titre que Laguiole. C’est un art pratiqué depuis des siècles qui fait le renom de Thiers. On y trouve de nombreuses boutiques d’artisans qui présentent tous des pièces de valeur. Après cette visite au musée, remontez la rue et prendre sur votre doite la Petite rue du Palais pour visiter l’église romane Saint-Genès.
Construite entre le XIe et le XIIe siècle, l'église Saint-Genès a été remaniée à plusieurs reprises entre le XIIIe et le XIXe siècle. De style roman, elle prend place sur les vestiges d'un ancien édifice du VIe siècle. Elle est essentiellement bâtie en arkose et la coupole octogonale de la croisée du transept est la plus grande d'Auvergne. A l'intérieur, on peut admirer de très belles fresques murales, ainsi qu'un retable de la fin du XVIIe siècle offert par la confrérie des couteliers de Thiers. En en faisant le tour, on trouve un joli jardin et des arcades à l’abandon. Ces vieilles pierres semblent fusionner avec les plantes qui l’entourent.
La destruction d'un premier édifice en 532 coïncide à quelques années près avec la découverte du tombeau de Saint-Genès par Grégoire de Tours. L’évêque de Tours, dans ses écrits, indique qu'à cet emplacement fut construit une église, à l'actuel emplacement de l'Église Saint-Genès. À cette époque, les envahisseurs venus d'autres contrées détruisent régulièrement la ville. Ainsi, les habitants, par mesures de sécurités, construisent leur maison sur une butte surplombant la Durolle : l'actuelle cité médiévale de Thiers est née.
Un peu plus bas, l'ancienne chapelle de la Clôtra du XIIe siècle, rue du Palais. Dépendance de l'église Saint-Genès, cette chapelle romane fondée en 1016 a été profondément remaniée au XIXe siècle. L'édifice se compose de trois nefs s'allongeant dans le même sens que celles de l'église avec laquelle elle communiquait autrefois. La façade occidentale est percée d'une porte en plein cintre encadrée de deux fenêtres de même forme. Une rosace quadrilobée surmonte la porte. Une grande archivolte également en plein cintre surmonte l'ensemble. Au premier étage, deux petites archivoltes en plein cintre géminées, ornées d'une frise de dents de scie retombant sur des impostes, indiquent l'emplacement d'ouvertures anciennes. Deux ouvertures de même nature se situent au sommet du pignon.
Continuez en direction de la place Lafayette, à l'angle de la Coutellerie ; de la rue du Palais et de l'impasse Coutellerie se trouve la maison dite Maison des Consuls. Cette maison daterait des années 1600, présentant un corps de bâtiment principal avec une aile en retour d'angle, l'articulation des deux s'effectuant autour d'une tourelle d'escalier polygonale. La tourelle d'escalier s'élève de deux étages supplémentaires, donnant accès aux greniers et aux toitures. La distribution intérieure montre une certaine complexité.
Prenez la rue du 4 septembre, puis la rue Daguerre jusqu'à l'église Saint-Jean du Passet. Installée dans un site qui surplombe la Durolle, elle dévoile une belle architecture romane du XVe siècle. L'église fut englobée dans le système défensif de la dernière enceinte des remparts. L'édifice subit alors d'importants remaniements. Occasionnellement, il servait de redoute aux soldats qui se postaient au-dessus des voûtes, derrière des créneaux espacés qui subsistent encore. La crypte a été comblée par les terres apportées de l'ancien cimetière du Moûtier. Pendant la Révolution, l'église fut désaffectée et transformée en fabrique d'armes. L'église Saint-Jean a donné son nom au quartier qui la borde. A côté, le cimetière offre une très belle vue le bas de la ville de Thiers, sur la vallée et les monts d'Auvergne. Il dévoile des constructions funéraires très anciennes.
Située en contrebas du quartier médiéval, la vallée des Usines sera votre prochaine déhambulation, haut lieu de la production coutelière du XIVe au XXe siècle, constitue un site particulièrement mystérieux, avec les vestiges des différents bâtiments industriels qui se succèdent le long de la tumultueuse Durolle. Sur les bords de la Durolle, Thiers aiguise depuis cinq siècles l'art de la coutellerie. Au XVIème siècle, on comptait déjà cent soixante-dix maîtres couteliers. La vallée des Usines est le nom donné à cette partie de la vallée de la Durolle.
Prendre la direction du Creux de l'enfer, via l'avenue Joseph Claussa, en chemin vous trouverez les forges Mondière. Fondée au début du XXe siècle, la société s'installe dans les locaux d'une ancienne scierie. Le bâtiment subit peu de transformations. Jusqu'au milieu des années 1980, date de la cessation d'activité, y sont fabriquées des lames de couteau droit par estampage. Ayant conservé son matériel, l'usine est intéressante comme témoin de l'histoire des techniques : machines, outillage, produits finis et semi-finis, matières premières...
Un peu plus loin, l'usine du May édifiée en 1895, représentative des constructions à usage locatif utilisées par les entreprises familiales. Une passerelle surplombant la Durolle permet d'accéder à l'usine. Un escalier métallique et un monte-charge desservent l'intérieur. Les quatre niveaux sont découpés en ateliers de différentes surfaces, séparés par des cloisons en bois ou en brique creuse.
Vous voici au centre d'art contemporain, situé dans le site emblématique de la Vallée des Usines de Thiers, le centre d’art contemporain du Creux de l’enfer a été créé dans un bâtiment industriel exceptionnel se dressant au-dessus de la tumultueuse Durolle. Juste à côté du centre d'art contemporain prend place la plus vieille usine de couteaux de Thiers toujours en activité.
Poursuivre sur l'avenue Joseph Claussa en direction de l'église Saint-Symphorien du Moutier. Près du castrum d'origine, l'église Saint-Symphorien se dresse encore fièrement dans la ville. Reconstruite entre le Xe et le XIe siècle, elle dépendait à l'époque de l'abbaye bénédictine voisine. Remaniée au XIXe siècle, elle permet cependant d'admirer les ruines de l'ancienne abside. On peut y voir quelques beaux éléments de style roman, ainsi qu'un bel ensemble de chapiteaux sculptés de motifs variés. Les vitraux du XIXe siècle portent le nom des grandes familles coutelières de la ville.
Il reste également à proximité quelques vestiges de l'abbaye du Moutier. L'abbaye du Moutier est fondée en 765 par Aldebert, évêque de Clermont et placée sous l'égide de saint Benoît. Elle est rattachée à partir de 1011 à l'ordre de Cluny. La façade et la base de l'édifice présentent encore un bel aspect roman et on peut y admirer un superbe ensemble de chapiteaux ornés de motifs variés : végétaux, animaux, sirènes… Des traces de polychromie permettent de rendre à l'intérieur ses anciennes couleurs à l'occasion de sa restauration
Dirigez-vous vers le logis abbatial du Moutier fortifié d'époque médiévale, remanié au XVIIIème siècle. De l’âge d’or médiéval de l’abbaye bénédictine ne subsiste que ce logis fortifié, orné d’une porte en ogive du XIe siècle, et flanqué de deux tours, dont l’une abrite un important escalier à vis. Ce même corps de logis surprendra le visiteur par le décor raffiné, dans le goût de la fin du XVIIIe siècle, de ses appartements encore habités. Le logis est membre de la fédération des sites clunisiens et de la route historique des châteaux d'Auvergne.
La ville-basse est la partie située entre le quartier du Moutier jusqu'à la Varenne et Peschadoires. Il y est surtout concentré des commerces et des entreprises. Le Moutier est un quartier emblématique pour la ville. Il est principalement situé dans la ville-basse de Thiers. De nombreux passages de l'histoire de la ville de Thiers se passent dans ce dernier.
D'inoubliables panoramas s'offre à vous pendant votre étape à Thiers comme ceux de la terrasse du rempart, du belvédère des Belins, du Rocher de Borbes, d'où vous pouvez contempler la plaine de la Limagne et en ligne d'horizon, la chaîne des Puys, ou encore, de la place Antonin Chastel, la muraille des Margerides qui garde Thiers dans son écrin et semble monter une garde immuable. Autour de la ville, plusieurs seigneuries ont laissé leur empreinte comme le château du Croc du XIVe siècle, le château des Horts du XVIe siècle, le château de la Chassaigne, manoir gothique de la fin du XVe siècle, ou le manoir des Champs du XVIIe siècle.
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