A voir pendant vos vacances à Saint-Benoît-du-Sault (36)
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- Le 11/05/2018
- Dans Centre-Val de Loire
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Le village de Saint-Benoît-du-Sault que vous visitez aujourd'hui sur la route de vos vacances, avec ses jolies ruelles de maisons médiévales, date du 15ème-16ème siècle, avec le centre du village original basé autour de l'église, le prieuré et le fort, et quelques remparts.
Les rues autour du fort sont le plus vieux quartier de Saint-Benoit-sur-Sault, ainsi que les maisons médiévales vous pouvez voir la porte fortifiée, construit au 14ème siècle dans le cadre d'une partie des fortifications défensives original et le beffroi.
Le plaisir principal est tout simplement flâner autour du village en admirant les nombreux points forts qui nous rappellent l'histoire du village médiévale de Saint-Benoît-du-Sault .
Maisons en colombage entrevu à travers des arcades en pierre, ses rues pavées étroites cernée par d'anciennes maisons avec des portes faites à l'ancienne avec de gros clous, linteaux de pierre ornée et les toits inhabituels contribuent tous à faire de Saint-Benoît-sur-Sault un idéal village médiéval classé "Plus beau village".
A voir à Saint-Benoît-du-Sault lors de vos escapades de vacances !
Saint-Benoît du Sault est un village médiévale pittoresque situé sur une colline surplombant un lac créé par un barrage sur la rivière. Saint Benoit du Sault a été fondée par des moines bénédictins au Xème siècle.Elle a conservé tous les charmes de ce passé médiéval qui en font l’un des plus beaux villages de France.
Le Prieuré roman fortifié XIVe
Le prieuré a été construit au Xe siècle par délégation du prieuré de St Benoît sur Loire sur un piton rocheux défendu par une première fortification. Avant ces moines étaient établis à Sacierges près de St Benoît du Sault.
Ce premier prieuré fut détruit lors des guerres de religion et on ne peut plus déterminer avec exactitude les plans d'origine. Il fut à la base de la fondation du bourg de St Benoît du Sault.
La construction actuelle date du XVIIIe siècle. Autrefois, le prieuré abritait 12 moines. Le prieuré contenait 3 parties distinctes, comme les autres prieurés de l'ordre de St Benoît :
- Un couvent primitif au sud avec 3 corps de logis, un parloir, une salle des décharges, une écurie, une cuisine, sept chambres, un jardin et un colombier.
- Une chapelle, une salle du chapitre, une terrasse, un cabinet des écritures, et une sacristie. Au dessus de la salle du chapitre, au 1er étage, 10 chambres de religieux.
- Des bâtiments destinés à stocker des denrées (pour recevoir les rentes et dîmes des propriétés de l'abbaye), des latrines, une vaste cave, des annexes à volailles, une grande cour, un pressoir à raisin, un petit enclos.
- De plus, il y avait une salle d'audience pour y rendre la justice seigneuriale droit de justice codétenu par le prévôt de St Benoît et par le vicomte de Brosse et une vaste cour en terrasse surplombant le Portefeuille. Classé au Monument historique, bénédictins.
L'etang du pieuré
Le Christ dans les évangiles était représenté entre autre par le poisson car le Christ et les apôtres qui le suivirent étaient tous pêcheurs au bord du lac Tibériade (en grec, les mots Christ et poisson sont homonymes).
Les moines de l'abbaye St Benoît du Sault, comme tous les catholiques et surtout le clergé, accordaient une grande place au poisson surtout lors des période de jeûne religieux tels que le Carême et le Vendredi Saint. Carême: temps de jeûne et de pénitence consacré par les églises chrétiennes à la préparation de Pâques et s'étendant du mercredi des Cendres au Jeudi saint (40 jours). Pendant cette période, on faisait "maigre", c'est- à- dire que l'on évitait toute viande hormis le poisson pour commémorer le jeûne de Jésus dans le désert.
L'étang est une réserve des eaux du ruisseau qui enserre le village, le Portefeuille qui prend d'ailleurs sa source à l'Aumône, à une dizaine de kilomètres de St Benoît. Cette réserve d'eau est contenue par une digue que l'on appelait autrefois "la chaussée de l'étang" et qui était faite de pierres et d'argile et entretenue grâce à la corvée que devaient les habitants de St Benoît du Sault à leur seigneur, le prévôt de l'abbaye.
En 1312, les religieux de l'abbaye de St Benoît sur Loire confirmaient l'affranchissement (de l'impôt de la taille) des habitants du bourg de St Benoît du Sault contre la corvée d'entretien de la chaussée de l'étang et d'une forte somme appelée «de Noël». Corvée: impôt en travail environ 45 jours par an .Les sujets d'un seigneur, dès leur plus jeune âge, devaient fournir des pierres et du mortier pour les maçons, faucher les prés pour la Saint Jean, curer les fossés, moissonner et porter les blés à la grange, ensemencer et travailler la terre etc ...
Maison de l'Argentier
Inscrite aux Monument historique. La façade de la maison de l'Argentier a une architecture médiévale remarquable, et représente une énigme ...La Porte de la maison est surmontée d'un linteau finement sculpté qui comporte deux têtes (de guerriers avec leur casque), une rosace géométrique et deux coeurs.
L' Argentier avait pour fonction de battre monnaie pour le seigneur local. Il a pu être celui du vicomte de Brosse, le seigneur le plus puissant des environs. Mais... il n'a pas été retrouvé de pièces provenant de la Vicomté de Brosse jusqu'à présent. Cet argentier pourrait avoir été allié, vassal ou proche de Jacques Coeur, le Grand Argentier de Charles VII, Roi de France, régnant à Bourges pendant la guerre de 100 ans, entre 1422 et 1461. Ce qui expliquerait la présence des coeurs sur le linteau. Mais là aussi, les preuves historiques manquent.
Église classée
Cet édifice roman, restauré, abrite une cuve baptismale en granit du XIIIe siècle. La première église présentait un plan basilical de type carolingien à trois nefs et chevet plat. On ne sait si les piles originelles étaient circulaires ou quadrangulaires. La voûte est romane, parée de lambris de bois. - La nef est séparée des transepts par deux séries de sept arches dont les piliers sont flanqués de colonnettes supportant des chapiteaux sculptés d'animaux et de plantes et de corniches ornées de damiers.
Le maître autel
En bois polychrome, date du XVIIIe siècle. II est classé monument historique. A l'arrière, on peut voir les armoiries du Prévôt de St Benoît du Sault.
L'église a connu des transformations. Au XIXe siècle, on construisit des voûtes d'arêtes sur les trois nefs et on redécora tout l'intérieur au plâtre peint à la mode de l'époque.
Des vitraux modernes
Ont été commandés aux ateliers Lobin de Tours, ce sont les seuls vitraux figuratifs de l'église (scènes bibliques très colorées, typiques du vitrail du XIXe s).
En 1973, la voûte se fissura et fut partiellement démolie, ce qui permit la découverte de la voûte romane originelle et donna le départ de la récente restauration de ce monument classé.
De 1996 à 1998, la restauration fut entreprise avec les meilleurs professionnels. La plus grande authenticité fut respectée : fermeture de la charpente par un lambris en carène renversée (voûte de bois en forme de coque de bateau renversée), dégagement de tous les parements intérieurs.
Ces vitraux très spéciaux laissent généreusement passer la lumière, car à l'origine, dans la règle de St Benoît, la Lumière est Dieu, et le vitrail doit laisser s'élever la pensée sans entrave jusqu'au Créateur. Il était donc impensable que ces vitraux soient figuratifs, à l'inverse de ceux du choeur. Lors de la restauration, on décida de faire des motifs géométriques ou de feuillages, et des coloris pâles, pastels. Les fonds baptismaux (près de la porte d'entrée) sont en granit massif. Leur couvercle en cuivre est classé monument historique.
Cuve baptismale octogonale Xe.
La cité médiévale
La prison seigneuriale
En repartant vers le point suivant, vous passez entre le verrou de la première fortification, et à votre droite, vous voyez l'ancienne prison et son cachot en bas des marches.
La rue sous le mur
Cette rue est une des dernières ruelles pavées du Moyen Age à St Benoît du Sault . Ce type de rue a été conçu pour l'écoulement des eaux pluviales, entre les maisons, mais aussi pour acheminer par le caniveau central les eaux usées (déchets ménagers), les excréments humains et animaux, le sang provenant des abattoirs et des tripiers, etc... Autour de ce caniveau, les animaux ( chats, chiens, volailles et surtout cochons) se nourrissaient des déchets. D'ailleurs ils étaient souvent agressifs car nourris de sang. Nous avons trouvé la trace de tout cela dans les archives du village datant de 1793 !
Ce genre de rue a donné naissance à une expression française: "tenir le haut du pavé" car les gens aisés ou plus respectables marchaient le long des maisons pour éviter le caniveau sale, malodorant et glissant, tandis que les gens du peuple ne craignaient pas d'y salir leurs habits ou étaient obligés d'y marcher par manque de place !
La place Versigny
C'est l'ancienne place du marché aux « bleds ». Elle servait de place pour la foire annuelle aux blés et aux châtaignes, le 22 octobre.
La rue Besge et la rue Surun
Ancienne Voie Royale, la principale rue de Saint-Benoît-du-Sault. Les maisons locales sont toutes bâties en pierre locale (granit et grès.) Les maisons de ces rues sont d'anciennes échoppes de commerçants dont les ouvertures cintrées servaient de comptoir et de présentoir pour la vente. Les artisans fabriquaient en arrière boutique tout en vendant les articles aux passants sur l'étal de bois de la baie ouverte sur la rue. La nuit, l'artisan refermait l'auvent et l'étal à l'aide de chaînes sur le côté.
La place de la République
Beaucoup de foires avaient lieu sur cette place : la foire aux sabots et la foire à la laine le 9 juillet . En mai. on y vendait de jeunes chèvres, des chevreaux, et des petits cochons. L'ancienne place devait occuper environ la moitié de la superficie actuelle et était entourée d'échoppes ou boutiques.
La place de l'enchère
Sur cette place, lors des foires des places avoisinantes, on mettait les produits ou les bêtes aux enchères publiques. Cela s'appelait la vente à l'encan. Enchères: offre supérieure à la mise à prix initiale, vente au plus offrant. "à l'encan". Sur cette place comme souvent à Saint-Benoît-du-Sault, on peut voir un espace étroit entre les maisons.. Il s'agit de coupe-feu pour éviter que le feu ne « saute » d'une maison à l'autre en cas d'incendie fréquent au Moyen Age . Il y a aussi un linteau sculpté classé à l'ancien Hôtel du commerce dont on ignore la signification précise (on pense que c'était la maison d'un notable).
Les assises du vicomte de Brosse
Porte de garage située à Gauche du PMU. Ici avaient lieu les Assises : audiences judiciaires du Vicomte de Brosse qui possédait un droit de haute et moyenne justice partagé avec le prévôt de Saint-Benoît-du-Sault. Haute justice = droit de juger les crimes et de punir éventuellement par la peine de mort. Le vicomte de Brosse était un grand seigneur local, un des Pairs du Duché d’Aquitaine, à qui appartenaient presque toutes les terres et les châteaux à 20 km à la ronde. Le prévôt de Saint-Benoît-du-Sault étant religieux n'était pas son vassal seul un autre noble aurait pu être sous l'autorité du Vicomte et de nombreux conflits les ont opposés tant sur le plan de l'autorité politique que sur le plan de la justice.
Les anciennes halles
Place Hervé Faye, sur la place qui porte aujourd’hui le nom d’un grand astronome du XIXe siècle, il y avait au Moyen Age de grandes halles. Les Halles rassemblaient toutes les activités commerciales et d'échanges quotidiennes: vente de produits frais, fruits .légumes. volailles. tissus. etc ... Ce marché était couvert par un grand toit soutenu par de lourds piliers de bois et une solide charpente. Elles furent détruites par plusieurs incendies et ne furent plus reconstruites à partir du
XVIII e siècle.
La rue grande
Cette rue très commerçante l'a probablement toujours été dès le XIIIe siècle. C'est une rue large, appelée Charrière ou Carrière, dans laquelle les charrettes pouvaient se croiser. De ce fait, cette rue a probablement été très tôt très passante , comme elle l'est restée depuis. A l'extrémité de la rue, une porte fermait l'enceinte du XlV e siècle: la Porte St Michel.
La rue des tripots ou des tripotières - Rue DA VET
La première rue « hors les murs » était celle des marginaux, refusés dans le bourg. Depuis le Moyen Age, on pratiquait beaucoup les jeux de dés ou de cartes dans des auberges appelées «tripots». Les jeux de dés étaient très appréciés dans le Berry où ils apparaissent dès 1370 avec des dés souvent de forme humaine.
Dans les tripots, de nombreuses prostituées vendaient leurs charmes, d 'où le nom des "Tripotières" ! Elles étaient assignées à résidence et leur costume au moyen âge était réglementé car il devait être voyant: grande chemise à manche longues de couleur verte, chausse à rubans, cape jaune attachée au cou et aux genoux, cheveux dénoués et interdiction de porter un chapeau. En 1890, une école publique fut crée dans cette rue mais aucune famille aisée n'y envoyait ses enfants par peur du vice environnant (jeux d'argent, alcoolisme, prostitution). C'était l'école du peuple. Les enfants de familles aisées allaient à l’école religieuse près de l’église.
Portail du XIVe siècle.
Le Portail sur l'enceinte intérieure, la Porte des Guichets (2e entrée de la ville après le Portail), la Porte Brumalière , la Porte St Michel et la Porte Inégale.
En général hautes de 3.5 m, et larges de 4.5m environ, les portes subsistantes furent détruites au cours du XIXe siècle pour faciliter les transports modernes.
Le Portail était l'entrée principale et la porte la plus fortifiée de toutes (8.5m de haut; 5.5m de large). Elle était munie d'une herse.
Le Portail faisait office de communication et de porte défensive entre la ville et le "fort" du Prieuré, vieille ville du XI e siècle. On voit sous le Portail les fentes par lesquelles on faisait descendre les herses et des meurtrières pour les archers qui défendaient l'accès. Il y avait un pont-levis qui a disparu aujourd'hui. De chaque côté de l'entrée ,un escalier mène à une demi-tour en encorbellement qui communique avec le chemin de ronde de la première enceinte de défense.
En entrant à gauche sous le portail, un chemin couvert abritait le four banal de la seigneurie. Ce petit passage communique avec la rue de la Demi-Lune (en forme de demi-cercle).
Le Portail était l'entrée principale de la ville au XII e siècle par la Voie Royale. Une petite porte située à droite du portail permettait un contrôle des entrées individuelles pour éviter une infiltration ennemie. Cependant, la seule fois où les troupes anglaises du Prince Noir passèrent par St Benoît en 1356 au cours de la guerre de 100 ans, elles n'eurent aucune difficulté à prendre la ville en gravissant le rocher du prieuré !
A gauche et en haut, on peut voir le reste du chemin de ronde (couvert) qui était aussi relié à la maison du Gouverneur du Fort. La maison du Gouverneur servait d'habitation et d'abri aux troupes et au Gouverneur. On y trouve une superbe cave voûtée. Quand vous regardez le Fort depuis l'intérieur, la rue Guinnepain était l'axe du pouvoir de l'Abbé sur la ville : grange des dîmes, lieux de justice, défense et prieuré.
Le chateau de Montgarnaud
A 500 mètres de St Benoît du Sault, le castel de Montgarnaud attire par sa situation . Au pied de celui-ci, coule un ruisseau qui lui emprunte son nom.
Au XVIIe siècle, les fenêtres ont été agrandies par les propriétaires. L’architecture actuelle est d'époque moderne. Au Moyen Age, Montgarnaud appartenait pour partie au prévôt de St Benoît (bail de métairie à moitié fruits consenti en 1180 par le prévôt. Il ne s'agit alors pas encore d'un château.) Les tours carrées, actuellement visibles ont été jadis un motif de querelles entre le châtelain de Montgarnaud et la prévôté de St Benoît car ces tours auraient pu héberger des canons pointés sur le Bourg. A la suite d'une décision de justice, le châtelain fut obligé de détruire quelques tours et de combler les douves afin de ne pas
nuire à St Benoît du Sault.
Beffroi.
Le Beffroi symbolise la puissance des habitants de St Benoît du Sault dès le XIIIe siècle. Face à celle de leur seigneur, l'Abbé. L'Horloge du beffroi date du siècle dernier, elle a été réparée en 1912 et en 2000.
Chemin de ronde.
Vue depuis le dessus des jardins avant le lavoir, A regarder: l'ancien dispositif de défense avec la tour dont il ne reste que la base près de l'ancien lavoir, et la 2e tour (tour Grimoard) que l'on voit en contrebas et que l'on peut mieux voir depuis le Pont Romain. Par les chemins de ronde et les étages des tours, on accédait à la partie supérieure des fortifications, les courtines (murs qui s'étendent entre les organes de défense tels que les tours). Le chemin de ronde est protégé dans sa partie supérieure par des merlons qui alternent avec des créneaux ouverts servant au tir mais cela n'a pas été formellement attesté à St Benoît du Sault. Le chemin de ronde sert à protéger la ville grâce aux gardes qui surveillent.
Le pont romain
Le pont Chodot appelé "Pont Romain" a été bâti sur l'emplacement de l'ancienne voie romaine se dirigeant vers Toulouse. Il a été construit en réalité au Moyen Age sur la rivière du Portefeuille. Jusque dans les années 1950, les lavandières venaient y laver leur linge sur la berge (bouillissage à la cendre puis lavage dans le ruisseau).
Dolmen de Passebonneau.
La chambre de ce dolmen a une forme rectangulaire de 2,50 m de longueur et une largeur moyenne de 60 cm. Elle a une hauteur de 1,40 m. Elle est délimitée par les cinq orthostates et elle est orientée est/ouest. Son entrée est à l'est. Côté sud, nous trouvons trois piliers et côté nord les deux autres. Celui du côté sud-ouest est haut de 1,35 m. Il a une base carrée de 60 cm de côté. Celui du côté sud-est est de dimension similaire. Entre ces deux se trouve un pilier renversé vers l'intérieur de la chambre. Il est long de 1,40 m et large de 90 cm. Sa chute a probablement provoqué le basculement de la dalle de couverture qui est fortement incliné vers le sud. Côté nord, la dalle repose donc uniquement sur le pilier nord-est. Ce pilier est haut de 1,30 m et large de 80 cm. Son épaisseur est de 60 cm. Le dernier pilier d'une hauteur équivalente ne supporte plus que le ciel.
La dalle de couverture a une forme cordiforme dont la pointe est au sud. Sa plus grande longueur est de 3,30 m. Une petite croix a été gravée sur son bord au niveau de la pointe. Le dolmen ne doit sa présence actuelle qu'a une faille dans la dalle de couverture. Lors de la construction du pont d'Argenton-sur-Creuse en 1840, les carriers prélevèrent les blocs de granit dans la région. Mais en voyant la faille, ils jugèrent le bloc comme inexploitable. Aucune trace de fouille n'est répertoriée dans les documents publiés.
Dolmen dit des Gorces ou de Mongarneau.
Nos coups de coeur à Saint-Benoît-du-Sault
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Fondé à la fin du 10ème siècle, le prieuré de Saint-Benoît-du-Sault constituait une position avancée de l’abbaye de Saint-Benoît-sur-Loire, en terre d’Aquitaine.
C’est sur cette frontière entre Pays d’Oc et Pays d’Oil, tout au Sud du Berry, que se jouent durant 100 ans les rivalités entre la France et l’Angleterre.
Le village a conservé sa fière allure médiévale, ses ruelles tortueuses mènent toujours à un admirable point de vue sur la vallée alentour.
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