Histoire de Cassel (59)
Perchée sur une butte, à 176 mètres au-dessus de la plaine de Flandre, la charmante commune de Cassel prend place dans le département du Nord, en région des Hauts-de-France. Elle se situe non loin de la frontière franco-belge, à quelques kilomètres seulement de la ville de Dunkerque. Perchée à 176 m d’altitude, au cœur de la Flandre française, la petite cité de Cassel domine la plaine environnante et offre un fascinant voyage dans le temps. Ancienne place forte, pierre angulaire du comté de Flandre, Cassel séduit aujourd’hui les amateurs d’histoire, de panoramas et de traditions flamandes.
Cassel se découvre à pied ou à vélo ! Le moyen le plus simple pour aller à Cassel est de prendre la voiture. Le trajet est assez rapide depuis les grandes villes suivantes : Lille : 45 minutes. Gand : 1h30. Bruxelles : 2h. Paris : 3h30. Vous pourrez aussi rejoindre Cassel en train. Depuis Lille, vous mettrez un peu plus de 40 minutes. Mais, notez tout de même que la gare se trouve à 4km du centre. Vous aurez donc à marcher encore quelques 30 minutes, avant de visiter Cassel.
Ce village pittoresque aux allures flamandes est remarquable à juste titre. C'est depuis le sommet du mont Cassel, sur lequel se dresse un joli moulin à vent en bois du XVIIIe siècle, que les promeneurs pourront bénéficier d'une belle vue sur la campagne environnante. En contrebas, la Grand'Place ornée de pavés, les maisons anciennes ou encore la collégiale Notre-Dame de style gothique flamand se dévoilent au fil de la flânerie. Passé une journée dans cette ville typique des Flandres sur la route de vos vacances.
Voici sont histoire : Partez à la découverte d’un passé mouvementé qui s’entrecroise avec des atouts touristiques remarquables !
Cassel : berceau historique de la Flandre !
Des origines antiques
Le nom même de Cassel puise son origine dans le terme latin "castellum", signifiant forteresse ou château et dans le mot flamand Kastellon.
Oppidum celte
Dès l’Antiquité, sa situation sur un mont isolé au cœur de la plaine en fit un poste stratégique. Avant l’influence romaine, les Menapii, tribu gauloise, édifient ici un oppidum protégé par des remparts de terre, profitant du point haut pour contrôler les voies de plaine.
Période gallo‑romaine
Cette position particulière intéressa aussi très tôt les romains. Au Ier siècle apr. J.-C., la colline de Cassel (Castellum) devient un relais routier important entre Bavay et l’Angleterre via les estuaires. Les Romains y établirent un castrum pour surveiller les grandes voies commerciales et militaires qui se croisaient dans la région. Ceci fera don de Cassel, un point stratégique du nord de la Gaule pendant l’occupation romaine. Plusieures grandes voies romaines convergeaient alors vers le centre de la cité.
Depuis le sommet du mont Cassel, les autorités de l’époque pouvaient ainsi contrôler, les différentes routes qui acheminaient des produits commerciaux de grande valeur. Les voies romaines ayant été exploitées pour construire de nouvelles routes, depuis le sommet du mont, on peut encore voir encore de nos jours, que tous les grands axes départementaux, se croisent à Cassel.
Moyen Âge et féodalité
Au fil des siècles, le village devint le témoin privilégié des grandes dynamiques politiques, tantôt fortifié, tantôt centre économique lors du Moyen Âge. Propriété des comtes de Flandre, la ville de Cassel se développe au Moyen Âge, notamment avec la construction d'un premier château dans le courant du Xe siècle. Maintes fois conquise, incendiée ou détruite, elle fut le théâtre de nombreuses batailles au fil des siècles, notamment entre Flamands et Français.
Le castellum médiéval
En 880, les Vikings détruisent Cassel, Esquelbecq, Bergues... Au IXᵉ siècle déjà, on parle de “Castellum”. Les premiers comtes de Flandre, Baudouin 1 er et Baudouin II règnent à partir du IXe siècle et fondent véritablement la puissance flamande. Pour lutter contre les invasions venues de la mer du Nord ils font fortifier toutes les villes et les villages de la côte, et à Cassel les murs d'enceinte de la ville sont remaniés, la population s'est accrue, la ville s'étend. Le château est une création des comtes de Flandres qui en firent le centre d'une châtellenie.
Au Xe siècle, Baudouin III de Flandre institue la première foire. La motte castrale en bois est remplacée au XIIe siècle par une forteresse de pierre. Par la suite, le secteur de Cassel sera le théâtre de nombreuses batailles, Cassel est régulièrement disputée entre Flandre, France et Autriche :
En 1071 : bataille de Cassel, victoire de Robert Ier de Flandre dit Robert le Frison, comte de Flandre, sur son frère. Robert le Frison est le fils de Baudouin V, et c'est son frère aîné, Baudouin VI qui hérite du comté de Flandre. Mais Baudouin VI meurt et c'est son jeune fils, Arnould, qui devient comte de Flandre à son tour. Robert est le tuteur de Arnould, Mais la mère d'Arnould, Richilde, veut gouverner la Flandre pour son fils. Seulement Richilde vexe continuellement les Flamands par des exactions et des impôts exorbitants ; ceux-ci appellent alors à leur secours Robert, fils de leur ancien comte qu'ils aimaient tant. Richilde fait appel au roi de France, Philippe 1er. Les armées se rencontrent au pied du Mont Cassel le 20 février 1071, et Robert le Frison, victorieux, devient le dixième comte de Flandre, puis fonde la collégiale Saint-Pierre sur l'actuelle terrasse du château.
Victoire de Philippe VI de Valois sur les communes flamandes en 1328.
Une deuxième bataille a lieu au pied du Mont Cassel, vingt-six ans après la bataille de Courtrai, dite des éperons d'or, elle est dans la continuité de celle-ci, les Flamands se sentant floués par le traité avec la France, qui lui enlevait les villes de Lille, Douai et Béthune décident de se soulever, avec Nicolas Zannequin à leur tête. Le comte de Flandre, affolé, demande l'aide du roi de France, Philippe de Valois. Celui-ci arrive près de Cassel avec 50 000 hommes, les Flamands, au nombre de 15 000, sont sévèrement battus, puis la ville de Cassel est mise à feu et à sang, les habitants sont assassinés, les survivants pendus. Cassel est pillée, incendiée et comme toutes les villes flamandes révoltées soumise à de fortes amendes.
En 1667, Louis XIV réclame tous les Pays-Bas espagnols, plusieurs raisons à cela : la frontière passe dangereusement près de Paris, et il veut briser l'hégémonie du commerce Hollandais. Il prend Douai en juillet, Lille en août, puis en 1677, C'est le frère de Louis XIV, Philippe d'Orléans, qui arrive à Saint-Omer. Guillaume d'Orange (futur roi d'Angleterre) qui est le stadhouder ou gouverneur des Pays-Bas, accourt et campe à Sainte Marie Cappel. Le 10 avril, les deux armées sont en présence de chaque côté de la rivière Peene (Peene becque), entre Noordpeene et Zuytpeene. Les Français réussissent à encercler les Hollandais, et le 11 avril la bataille est terminée, les châtellenies de Cassel, Bailleul et Ypres deviennent possessions françaises, ainsi que Saint-Orner.
Cette victoire mène à la paix de Nimègue en 1678, et Cassel devient donc définitivement française. Un monument souvenir de cette bataille fut érigé au dix-neuvième siècle, entre les communes de Noordpeene et Zuytpeene, monument qui fit polémique puisque c'était une victoire française et une défaite flamand.
Mais en dehors de ces batailles, Cassel fut plusieurs fois attaquée, conquise, ruinée et/ou incendiée : saccage, incendie et massacres par les soldats de Philippe-Auguste en 1213, par ceux de Philippe le Bel en 1297, par ceux de Louis XI enfin en 1477. Comme toute la Flandre, Cassel se situe au cœur de l'affrontement entre la France de Louis XIII et Louis XIV et l'Espagne pour la main mise sur cette riche région.
Charles Quint devient comte de Flandre à l'age de 15 ans, il obtient, par le traité de Madrid en 1526, que François 1er renonce à toute suzeraineté sur l'Artois et la Flandre, incorporés aux XVII Provinces qui composent alors le « Cercle de Bourgogne ». En 1523 il impose, comme en Espagne, une inquisition interdisant possession, diffusion et lecture de livres interdits. Il abdique en 1555, fatigué de ses voyages incessants pour diriger son empire, et c'est son fils, Philippe II d'Espagne, qui lui succède.
Mais Philippe II, contrairement à son père, est né en Espagne et n'éprouve pas de sentiment pour les Pays-Bas, il augmente encore la pression exercée sur la population, il suffit d'être soupçonné de ne pas être catholique pratiquant pour être cruellement exécuté. Mais plus la répression est forte, plus les conversions à la religion réformée sont nombreuses et c'est ainsi une escalade de violence qui aboutit à un climat de terreur où les saccages des édifices religieux répondent aux exécutions publiques. En juin 1583, l'église de Cassel est ravagée, de profondes inscriptions gravées les flamand sur les poutres du chœur central lors de la reconstruction rappellent ces évènements.
A notre époque, les fortifications entourant la terrasse du château sont encore existantes ainsi que la collégiale Saint-Pierre, et le château, dont la tour grise du comte qui, disait-on, servait de repère aux vaisseaux dans la rade de Dunkerque, on l'éclairait la nuit. Le moulin est à peu près toujours au même endroit aujourd'hui.
Après avoir souvent changé de mains aux XVIe et XVIIe siècles, Cassel devient définitivement française par les traités de Nimègue de 1678. Au XVIIᵉ siècle, Colbert confie à Vauban la modernisation de la citadelle : fossés réaménagés, portes fortifiées.
Au cours de cette période, plusieurs établissements religieux se sont établis à Cassel : on a pu ainsi y trouver un ancien collège de jésuites, dont les locaux ont été occupés par les Récollets de Cassel, lorsque les jésuites ont été expulsés de France en 1764. La chapelle de l'ancien collège des jésuites a survécu. À la suite de la Révolution française, le bâtiment est vendu au général Vandamme, général d’empire natif de la ville, pour devenir un lieu de stockage du fourrage pour les animaux. La ville en est actuellement propriétaire. La façade est classée au titre des monuments historiques.
En août-septembre 1792, Cassel sert de quartier général à l'armée du Nord durant les opérations qui conduisent à la bataille de Hondschoote. S'y trouvent le grand Carnot et le général Houchard. En 1802-1803, pour les transports, Cassel bénéficie d'être située sur le parcours de la diligence reliant quotidiennement Dunkerque à Lille, et retour.
L'année 1803, rappel de la splendeur passée de Cassel, se tient encore dans la ville une grande foire annuelle pour toutes marchandises avec foire à bestiaux le 1er jour; cette année là, elle a eu lieu du 11 au 19 vendémiaire (début du mois d'octobre). S'ajoutent à cela deux francs marchés (marché où les ventes sont dispensées de taxes) aux bestiaux en nivôse (janvier), pluviôse (février), ventôse (mars), germinal (avril), et un en brumaire (novembre), frimaire (décembre), prairial (juin) et thermidor (juillet-août). Enfin se tient chaque décade (période de dix jours du calendrier républicain) un marché pour grains, petits animaux et légumes. À cette époque, Cassel est toujours une place fortifiée.
En 1808, on trouve à Cassel un dépôt de sûreté, où on enferme les petits délinquants avant leur transfert en maison d'arrêt à Dunkerque, ou à Hazebrouck.
La ville est desservie par le Chemin de fer (ligne Lille - Dunkerque) en 1848. Toutefois, le bourg étant éloigné de la gare de Cassel, le tramway de Cassel est mis en service en 1900. Son exploitation cessera en 1922. Entre 1900 et 1934, un tramway a circulé à Cassel pour relier la gare à la ville.
Première Guerre mondiale : Guerre de 1914-1918
La première guerre mondiale marqua un retour de la ville comme poste de défense. Durant la guerre de 1914-1918, Cassel était toute proche du front. Le maréchal Foch y installa son quartier général entre 1914 et 1915 pour coordonner les opérations dans le nord. C'est aussi un quartier général de l'armée Britannique depuis lequel la branche nord du front de l'ouest est dirigée. En septembre 1917, une escadrille d'avions anglais est stationnée à Cassel : le 10 septembre l'un d'entre eux se pose à Bissezeele, est démonté puis acheminé vers Cassel.
Entre les deux guerres mondiales, on construit au nord du mont Cassel neuf casemates destinées à être intégrées au dispositif français de défense contre une éventuelle invasion par l'Allemagne : voir le secteur fortifié des Flandres, partie intégrante de la ligne Maginot.
Seconde Guerre mondiale
La Seconde Guerre mondiale a presque entièrement détruit Cassel, qui retrouva un visage humain en développant le tourisme, notamment grâce à sa position, à ses vieilles pierres, au moulin et au panorama impressionnant dans ce plat pays. En mai 1940, Cassel renoue avec la guerre et cette fois de façon beaucoup plus sanglante car la ville sera pendant l'opération « Dynamo », au coeur d'une course terrible. Une réunion a lieu au « Casino », à la terrasse du château où étaient présents les généraux Fagalde, Blanchard, et Koeltz, qui représentait Weygand. C'est lors de ce débat qu'est décidé comment il faut organiser le retrait des troupes britanniques vers Dunkerque.
Les légionnaires Anglais basés à Cassel avait ordre de tenir les lieux trois jours afin que leurs compatriotes puissent rejoindre Dunkerque et embarquer. Ils ont tenu huit jours pendant lesquels Cassel est bombardée nuit et jour par l'aviation allemande. 245 maisons sont détruites entièrement, dont l'hôtel de ville, et 455 partiellement endommagées, même le cimetière est bombardé. Après la guerre, les pompiers de Cassel reçurent une fourragère pour leur comportement.
Epoque moderne
Coupée de son rôle militaire, Cassel se tourne vers l’agriculture, puis le tourisme dès la fin du XIXᵉ siècle, avec l’arrivée du chemin de fer à Hazebrouck. Les héritages de ces périodes se ressentent encore aujourd’hui, tant dans l’urbanisme que dans les traditions locales.
Aujourd’hui, visiter Cassel vous permettra de découvrir une charmante cité paisible, qui s’élève dans le paysage des Flandres françaises. Son centre ville permet de faire des petites balades à la découverte de ses vestiges du passé. De plus, le village offre un beau cadre pour de nombreuses activités en pleine nature. Cassel est connue pour son importante activité touristique autant sur son patrimoine architectural, historique que culturel.
Cassel, sommet historique de la Flandre, marie subtilement vestiges médiévaux, traditions flamandes et paysages à couper le souffle. Que l’on vienne pour comprendre son passé stratégique ou profiter de ses panoramas inédits, la « perle montante » du Nord ne manque jamais de charmer ses visiteurs. Planifiez votre escapade, chaussez vos souliers de randonnée et laissez-vous surprendre par l’âme authentique de ce village perché ! Alors, prêt pour un voyage dans le temps au cœur de l’un des plus beaux villages du Nord ?
Les atouts touristiques à ne pas manquer à Cassel
Le Mont Cassel et ses panoramas
- Perché sur une colline, le village offre une vue imprenable sur la vaste plaine flamande et, par temps clair, jusqu’aux côtes de Dunkerque et aux collines de l’Artois. Ce panorama, qui a longtemps captivé les visiteurs et les artistes, est idéal pour des séances photo ou simplement pour s’émerveiller devant la nature environnante.
- Belvédère du Mont, à 360 ° sur la plaine flamande, on aperçoit les clochers, la mer du Nord par temps clair, et les Monts des Flandres.
- Sentiers de randonnée : Plusieurs boucles pédestres (5 à 12 km) serpentent à travers forêts, prairies et landes.
Boucle « Nature et Panorama » (4 km)
Départ Office de Tourisme → sentier du Mont → belvédère - Retour par la hêtraie et la lande humide
Le patrimoine bâti
Cassel conserve un patrimoine architectural riche, fruit des rénovations et reconstructions qui ont su préserver son charme d’antan.
- Le beffroi et la Grand’Place : classé au patrimoine de l'UNESCO, le beffroi (XVIᵉ/XVIIᵉ siècle) offre une immersion dans l’art gothique tardif.
- La collégiale Notre-Dame de Cassel : édifice religieux aux allures gothiques qui, par sa façade et ses vitraux, révèle les influences de l’époque médiévale.
- Église Notre‑Dame de la Crypte : construite sur deux niveaux, avec crypte romane et chapelles baroques.
- Les vestiges des fortifications : bien que le château originel ne soit plus qu’un souvenir, l’empreinte de ces constructions militaires se retrouve dans le tracé du village qui offre un jeu d’ombres et de lumières sur ses ruelles pavées.
- Remparts et portes fortifiées : Porte d’Hazebrouck, ouvrage de Vauban, témoigne de l’ingénierie militaire classique.
- Les maisons de caractère, aux façades colorées et aux toits pentus, conjuguent habilement authenticité et convivialité. Les ruelles pavées, agrémentées de petits commerces, estaminets conviviaux et marchés locaux, invitent à flâner le temps d’une journée. L’ambiance y est chaleureuse et authentique, rappelant les traditions festives du Nord.
Circuit « Histoire et Fortifications » (2 h à pied)
Grand’Place → beffroi → porte d’Hazebrouck - Remparts Nord → tour du Nord → moulin de Cassel
Musées et traditions
- Musée de Flandre : installé dans l’ancien palais de l’Intendant, il expose peintures du XVIᵉ au XXᵉ siècles, sculptures et costumes régionaux.
- Les moulins de Cassel : fièrement restaurés, ils tournent au rythme du vent et abritent une expo permanente sur la meunerie.
Parcours « Art et Culture » (3 h à vélo électrique)
- Musée de Flandre → ateliers d’artistes à Petit‑Cassel → ferme pédagogique de la Forêt de Cassel
- Cassel n’est pas seulement un lieu figé dans le temps. Des festivals, des reconstitutions historiques et des expositions temporaires animent le calendrier culturel, permettant aux visiteurs de vivre une expérience immersive au cœur du patrimoine local.
Saveurs et artisanat local
- Gastronomie flamande : dégustez une carbonnade, un potjevleesch ou une bière artisanale dans l’une des nombreuses estaminets. En plein cœur des Flandres, la cuisine casselaise met à l’honneur les spécialités régionales. Du maroilles aux plats mijotés à la flamande, chaque restaurant du village propose une véritable invitation aux sens, à déguster dans une atmosphère conviviale.
- Marchés et artisans : tous les dimanches matin, le marché traditionnel foisonne de produits du terroir (fromages, miel, maroquinerie).
Ces joyaux témoignent de l’histoire de Cassel et font de la ville une destination incontournable pour les amateurs de patrimoine et d’architecture. L’histoire de Cassel est celle d’une cité qui a su se réinventer tout en gardant en mémoire ses origines de forteresse et de centre économique. Aujourd’hui, grâce à un savant mélange entre patrimoine historique, beautés naturelles et vie culturelle vibrante, Cassel se révèle être une destination de choix pour les passionnés d’histoire et les amateurs de découvertes authentiques.
Au-delà de son passé historique, Cassel séduit par la multitude de ses atouts touristiques. Que vous soyez attiré par ses ruelles chargées d'histoire, ses panoramas à couper le souffle ou son art de vivre typiquement flamand, Cassel vous promet une immersion totale dans un décor où chaque pierre raconte une histoire.
Conseils pratiques
- Meilleure période : avril–octobre, festivals (Braderie de Cassel en septembre).
- Visites guidées : réservables à l’Office de Tourisme, en français et en néerlandais.
Accès :
- En voiture : A25 (Lille–Dunkerque) sortie Hazebrouck, puis D39.
- En train : gare d’Hazebrouck (10 km), navette régulière.
- Stationnement : grand parking gratuit sous le moulin.
Nos coups de cœur dans Cassel
Hébergement :
Restauration :
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N'oubliez pas !
Les lieux les plus enchanteurs sont souvent les plus vulnérables. L'affluence du tourisme pouvant fragiliser encore plus les lieux, veillez à en prendre soin et à ne laisser aucune trace de votre passage. Par respect pour les habitants et l'environnement, merci de respecter le droit de propriété et à la vie privée, respecter les panneaux signalétiques et consignes.
- Veillez à toujours respecter les biens et les personnes lors de votre passage et de ne pas pénétrer sur les terrains privés.
- Observez le code de la route en tous lieux et en toutes circonstances, et soyez courtois avec les autres usagers que vous pourrez croiser sur votre chemin.
- Camping et Feux interdits (pas de barbecue) - La nature est fragile et des chutes de pierres sont parfois fréquentes.
- Veuillez ramasser vos déchets avant de partir. Plus que les sacs plastiques ou les pailles, ce sont les mégots de cigarettes qui pollueraient le plus les océans. les filtres à cigarettes se dégradent très lentement. Deux ans en moyenne. L'un des "petits gestes élémentaires" à accomplir : ne plus jeter ses mégots par terre. Pensez boite à mégots.
Soyez vigilants et attentifs à tous ces petits gestes pour que nos petits et grands paradis le reste encore de nombreuses années et que les personnes qui passeront derrière nous en profitent tout autant.
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