Histoire de la Basilique Sainte-Marie-Madeleine (Saint-Maximin-la-Sainte-Baume-83)
Saint-Maximin-la-Sainte-Baume est située dans le département du Var en région Provence-Alpes-Côte d’Azur. En plein coeur de la Provence, Saint Maximin s'étale au pieds du Massif de la Sainte Baume, dans le bassin d'un ancien lac desséché. Il est à égale distance des premiers contreforts alpins et de la mer. Saint-Maximin est une ville moderne, mais elle apporte une grande attention à son patrimoine architectural. En effet, la ville possède plusieurs édifices remarquables : la Basilique Sainte Madeleine, le couvent royal, l'Hôtel-Dieu et sa vielle-ville médiévale. Le formidable patrimoine historique de Saint-Maximin fait de cette ville le lieu idéal pour les amoureux de vieilles pierres.
Entourée de collines boisées entrecoupées de vignobles, Saint-Maximin-la-Sainte-Baume est massé autour d'une magnifique basilique considérée, à juste titre, comme le plus bel édifice gothique de toute la Provence. Sa silhouette trapue mobilise le regard d'aussi loin que l'on aperçoive la ville. Selon la légende, c'est ici que fut ensevelie au Ier siècle Sainte Marie-Madeleine. Selon la tradition, Marie Madeleine, après avoir passé de longues années de pénitence dans la grotte de la Sainte-Baume, aurait été ensevelie dans la crypte de saint Maximin. Baume est l’équivalent provençal de « grotte ». Pour préparer votre visite à la Basilique Sainte-Marie-Madeleine, voici l'histoire de cette vieille dame !
La sainte de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume
Selon la tradition, Marie-Madeleine ou Marie de Béthanie, sœur de Marthe et de Lazare, fuyant les persécutions d'Hérode, aurait trouvé refuge en Provence en compagnie de son frère et de sa sœur. Après avoir débarqué aux Saintes-Maries-de-la-Mer, elle aurait occupé pendant trente ans une grotte du massif de la Sainte-Baume après qu'elle ait évangélisé la Provence.
Dans la grotte, la légende relate que sept fois par jour, elle était portée par les anges jusqu'au sommet des falaises, pour y prier. À sa mort, elle aurait été ensevelie à Saint-Maximin-la-Sainte-Baume par saint Maximin, qui aurait fui avec elle et serait devenu le premier évêque d'Aix.
Devenu célèbre, son tombeau, qui se serait trouvé dans la crypte actuelle de la basilique, sera gardé par des moines cassianites, disciples de saint Cassien venus de l'abbaye Saint-Victor de Marseille dès le IVe siècle pour veiller sur ce lieu de culte et y accueillir les pèlerins. Le culte de la sainte à Saint-Maximin-la-Sainte-Baume reste vivace durant plusieurs siècles : des chroniqueurs relatent la venue régulière de pèlerins au XIIe et XIIIe siècle.
Maître Jacques et le compagnonnage
Lui aussi se serait retiré sur les hauteurs du massif de la Sainte-Baume. Fils d’un tailleur de pierre, originaire de Provence, il apprend le métier de son père, puis insatisfait il part en Grèce pour se perfectionner. Grâce à la qualité de son travail, il obtient le titre de Maître auprès d’un ordre des compagnons créé par Hiram architecte mandaté par le roi Salomon pour construire son palais. Il revient en France en compagnie de Soubise un autre Maître avec lequel il finit par se quereller. Maître Jacques, accompagné d’une dizaine de disciples acquiert rapidement une notoriété liée à la grande qualité de son travail. La rivalité s’installe et Soubise finit par l’assassiner dans le massif de la Sainte-Baume où il avait trouvé refuge et protection. Avant de rendre son dernier souffle, il fit promettre à ses compagnons de ne pas le venger et de jurer fidélité à Dieu. Depuis, le pèlerinage à la Sainte-Baume fait partie intégrante du tour de France des compagnons du devoirs. Marie-Madeleine est mère des compagnons du devoir
En 415, un monastère cassianite est fondé par Jean Cassien. Il a marqué profondément les débuts de l'Église en Provence au Ve siècle. Il est le fondateur de l'abbaye Saint-Victor de Marseille. Il y vient en retraite et protecteur des reliques de Marie Madeleine. La crypte de la basilique et le baptistère au sud de celle-ci témoigne de l'importance de cette première implantation chrétienne. Le complexe religieux etait composé d'une église à laquelle était accolé un baptistère de 11 m de côté environ, présent sur le site de l'actuelle basilique Sainte-Marie-Madeleine. Un mausolée correspondant à la crypte actuelle était présent à la périphérie de cet habitat un siècle avant la mise en place de ce complexe religieux.
Vers 710, les moines qui ont la charge des reliques des saints décident de les cacher pour éviter leur pillage et destruction par les Sarrasins qui commencent à mener des assauts en Gaule Narbonnaise. Pour cacher et protéger le corps de la sainte d'une éventuelle découverte et dégradation, le père Henri Lacordaire racontera au XIXe siècle que les moines ont interverti les corps présents dans les sarcophages, ainsi, ils auraient mis le corps de Marie-Madeleine qui était dans un sarcophage d'albâtre, dans le sarcophage de saint Sidoine qui était plus sobre, et mettant les reliques de l'évêque dans celui de la sainte. Toujours d'après le père Lacordaire, les moines déposèrent un texte dans le caveau de la sainte indiquant la date du transfert, l'authenticité de la relique et les motifs de ce subterfuge pour protéger les reliques des Sarrasins.
Toujours d'après le père Lacordaire, le souvenir du tombeau caché sous le sol de l'église a perduré, mais « la mémoire s'était abolie » du lieu exact où reposait la précieuse dépouille... En l’an 1000, si la présence de moines est attestée dès le Vème siècle l’église de Saint-Maximin est officiellement rattachée à l’Abbaye Saint-Victor de Marseille.
Au XIIème siècle, la Provence passe aux mains de Raimond-Bérenger V, parfois désigné comme "Raimond-Béranger IV". Béatrix de Provence, fille de Raimond-Béranger IV, et de Béatrice de Savoie, née en 1229 et morte à Nocera le 23 septembre 1267, devient à la mort de son père, le 19 août 1245, comtesse de Provence et de Forcalquier. Par mariage, elle devient reine de Naples et de Sicile. Béatrix de Provence épouse, le 31 janvier 1246 à Aix, Charles 1er d’Anjou, frère de Louis IX (saint Louis).
Charles II d'Anjou, dit le Boiteux, né vers 1254, mort le 6 mai 1309 à Naples, est le fils de Charles Ier d'Anjou et de Béatrice de Provence. Il est titré dès sa naissance prince de Salerne, puis, après la mort de ses parents en 1285, roi de Naples et de Sicile, comte de Provence. Puis en 1290 comte d'Anjou et du Maine pour ces deux dernières provinces.
Louis IX, roi de France, fait à son retour de croisade en 1254 le pèlerinage à la Sainte-Baume et visite la grotte. Il s’étonne de la désaffection des Provençaux envers sainte Marie-Madeleine et de ne plus trouver trace de ses reliques. Il en parle à son neveu Charles II d’Anjou, comte de Provence, roi de Naples et de Sicile. Le souvenir de la sépulture de Marie-Madeleine ne s'étant pas tout à fait perdu, Charles II d’Anjou, fils du comte de Provence Charles Ier fait entreprendre en 1279 des recherches pour retrouver les reliques de sainte Marie-Madeleine à laquelle il voue une grande dévotion.
Ces recherches aboutissent à la découverte d'une tombe paléochrétienne, la crypte actuelle, contenant des ossements qui auraient appartenu à la sainte. Le père Lacordaire qui relate la recherche et la découverte des reliques, la crypte contenait quatre sarcophages, et les moines avaient interverti deux dépouilles : celles de Marie-Madeleine avec celle de Sidoine, pour que, au cas où les Sarrasins viennent à découvrir le sarcophage d'albâtre (original) de Marie-Madeleine, ils confondent les reliques présentes avec celles de la sainte, et qu'ainsi ses propres reliques soient « plus protégées ».
Charles II, comme il l'affirmait lui-même, aurait agi par « inspiration divine ». Philippe de Cabassolle parle, dans son Libellus hystorialis, de « céleste inspiration ». Dans le sarcophage de Marie-Madeleine, les découvreurs rapportent la présence d'un écrit, daté du début du VIIIe siècle qui déclare que « le corps de Marie-Madeleine aurait été caché ici, dans la crainte des Sarrasins qui dévastaient la Provence ».
Charles II décide, avec l’accord et les encouragements du pape Boniface VIII qui publie à cet effet plusieurs bulles, d’élever une somptueuse basilique en l’honneur de Marie-Madeleine et d’y installer des fils de saint Dominique. Il fit édifier un vaste ensemble religieux prévu pour accueillir 100 frères prêcheurs : une basilique et à côté un couvent. Il y installe les dominicains comme gardiens du tombeau.
Charles II se rend en avril 1295 auprès du pape Boniface VIII apportant avec lui les procès-verbaux rédigés par les évêques de Provence authentifiant sa découverte. Il obtient du pape des bulles qui accordent des indulgences aux visiteurs et certifient l'authenticité des reliques. Cette confirmation était d'autant plus précieuse que la basilique de Vézelay affirmait posséder le corps de Marie-Madeleine. Le pape décide également de confier la garde de Saint-Maximin et de la Sainte-Baume aux frères prêcheurs de saint Dominique en lieu et place des moines bénédictins de l'abbaye Saint-Victor. Durant toute la période qui suit cette découverte et la construction de la basilique, le « tombeau de Marie-Madeleine » est considéré, par les autorités religieuses, comme le « troisième tombeau de la Chrétienté ».
En 1332, Philippe VI de Valois, roi de France vient se recueillir dans la grotte. Entre 1516 et 1533, François 1er viendra plusieurs fois se recueillir dans la grotte notamment lors du mariage de son fils à Marseille. Louis XIV y passera lors de son pèlerinage à Cotignac en 1660. C’est en 1859 que le père Lacordaire démarre la restauration de la grotte laissée à l’abandon. Le 22 juillet, les frères dominicains retrouvent la responsabilité de la grotte. La construction de l’hostellerie de la Sainte-Baume est initiée. Charles de Foucauld, celui qui fût militaire, ermite et prêtre viendra en 1900, puis en 1901 et 1913.
Construction de la basilique : l'ensemble des constructions s'étalera sur plus de deux siècles !
Première étape de 1296 à 1316 : durée 20 ans
Charles II d'Anjou décide de faire construire sur les lieux mêmes de la découverte des reliques, une basilique et un couvent de dominicains. Il confie l'établissement des plans de l'ensemble de la construction au "Magister Petrus Gallicus, protomagister operum curiæ". Or, à cette période, ce protomagister est Pierre d'Angicourt, mais il n'est pas certain qu'il ait effectivement réalisé le début de la construction.
Après quelques années d'arrêt, la reprise des travaux de 1300 à 1316 avec l'architecte du palais des comtes de Provence, Jean Baudici, s'effectue avec une grande ampleur à partir de 1305. Ce renouveau a été possible grâce à la nomination à la tête du couvent de Saint-Maximin, de Jean Gobi qui en sera le prieur de 1304 à 1328.
Deuxième étape de 1320 à 1345 : durée 25 ans
En 1320, le chevet est terminé avec la première travée des trois nefs. Les quatre travées suivantes sont réalisées de 1330 à 1345. L'entrée de la crypte se situe alors en dehors de l'église.
Troisième étape de 1404 à 1435 : durée 30 ans
En 1404, on sait que l'abside et les cinq dernières travées de la nef étaient terminées. Jean II Le Meingre, dit Boucicaut, maréchal de France, décide pour couvrir la crypte de faire édifier la partie nord de la quatrième travée ; la crypte est alors nivelée à hauteur du sol de la nouvelle basilique.
Quatrième étape de 1508 à 1532 : durée 24 ans
Les travaux reprennent sous Louis XII en 1508 avec la nomination d'un nouveau prieur, Jean Damiani, qui exercera le plus long prieurat du couvent durant trente cinq ans de 1508 à 1543. Les travaux de la sixième travée sont repris et terminés en 1513 sous la direction de l'architecte Hugues Caillat. Les trois premières travées sont achevées en 1532 après quelques interruptions dues notamment à la peste. L'inscription gothique du XVIe siècle, au revers de la façade rappelle ces étapes. Les architectes seront Pierre Garcin et son père Jean Garcin. Fin des travaux en 1532
Au XVIIe siècle, l'installation du décor actuel entraîna des altérations importantes qui eurent deux conséquences notables : L'obturation des réseaux des baies des chapelles pour y installer des retables ; la construction de couvertures de tuiles en appentis sur les terrasses qui couvraient les bas-côtés.
À la Révolution, les dominicains sont chassés de leur couvent, le couvent et la basilique sont transformés en un dépôt de vivres, dont Lucien Bonaparte, frère cadet de Napoléon, est responsable. L'homme, brillant orateur, est le président du club des jacobins local. En 1794, il se marie avec la fille de l'aubergiste qui le loge. Lorsque Paul Barras se rend à Saint-Maximin pour faire l'inventaire des biens et œuvres présents dans l'église pour s'en saisir, Lucien sauve les grandes orgues en y faisant jouer La Marseillaise par l'organiste Fourcade. Ému, Barras décide de conserver cet orgue "patriotique". Les révolutionnaires pillent les reliquaires, récupérant les métaux précieux et les bijoux. Les reliques des différents saints présentes dans les reliquaires sont récupérées et sauvées par le sacristain et quelques habitants qui les cachent durant plusieurs années, le temps que la situation politique se stabilise et que le culte puisse reprendre normalement.
Les dominicains ne sont réinstallés dans le couvent de la ville qu'en 1859, après son rachat par le père Henri Lacordaire. Ils reprennent en charge le service de la basilique.
Dès 1839, des travaux avaient été engagés au chevet, comme des graffitis nous l'ont appris, et l'église a été classée au titre des monuments historiques sur la liste de 1840, parmi les monuments les plus prestigieux de France. Les travaux dirigés par le père Lacordaire en 1875 eurent une incidence sur la face du monument : la démolition des maisons de deux étages sur la galerie du cloître et les chapelles nord. La restauration proposée par Henri Révoil connaissait un commencement d'exécution. Les travaux exécutés au XIXe siècle sous la direction des architectes Charles-Auguste Questel et Henri Révoil ont consisté en purges des maçonneries et restitution des profils et des parements par recharges de mortiers de ciment et ragréages de pierre reconstituée dans les parties affectées.
Au cours de la première moitié du XXe siècle, l'architecte et archéologue Jules Formigé s'intéresse à la basilique, mais procède surtout à des fouilles et à la présentation de la crypte que Révoil avait décorée dans le goût de son temps en 1884. Son fils Jean Camille Formigé entreprit des travaux au-dessus du bas-côté nord, en supprimant les appentis du xviie siècle et en exécutant une terrasse couverte de dalles de ciment armé, source de déboires.
Après la Seconde Guerre mondiale, Paul Colas put intervenir sur les fenestrages du bas-côté nord, de l'absidiole nord, mais les travaux furent interrompus. « L'état de l'ancienne basilique royale était devenu si inquiétant que le seuil d'alerte est dépassé depuis longtemps », rapportait l'inspecteur général des monuments historiques François Enaud le 25 mai 1977. Dès 1975-1976, des chutes de pierres provenant des nervures des voûtes sur croisée d'ogives et doubleaux s'étaient produites, et une campagne de purges et de confortations tout à fait provisoires étaient exécutées.
La cause essentielle des désordres dont souffrait cet édifice était l'eau qui s'infiltrait par les couvertures, par les dispositifs d'évacuation des eaux pluviales et par les joints des murs. Ces eaux affaiblissaient les appuis en lavant les mortiers des blocages internes. Elles modifiaient les conditions d'équilibre des voûtes et les arcs pèsent plus lourd, donc poussaient davantage en écrasant les pierres atteintes, souvent masquées par les ragréages du xixe siècle.
Le programme de mise hors d'eau et de confortation structurale a alors été entrepris. Les travaux ont consisté, en partant de l'angle sud-ouest, à refaire la couverture du bas-côté, en reprenant les évacuations d'eaux pluviales qui, depuis les fenestrages, traversent le comble en appentis, à rejointoyer les murs et les contreforts et leurs appuis. Un pare-gravois a dû être mis en place devant la façade à la suite de chutes de pierres. La façade occidentale inachevée depuis 1530 a été confortée en 1986-1987.
Jean-Claude-Yvan Yarmola, architecte en chef des monuments historiques, maître d'œuvre des travaux réalisés dans le cadre d'un plan pluriannuel d'intervention, établi pour la période 1986-1993, par la conservation régionale des monuments historiques, la commune et le conseil général du Var concluait « qu'en l'état des travaux, nous visons à réparer les dégâts dus à des décennies de manque d'entretien, mais que l'effort collectif fourni pour sauvegarder ce monument doit être poursuivi dans l'intérêt commun qui dépasse celui de la Provence ».
Le 4 mai 2014, le prêtre de la basilique, Florian Racine, annonce lors de sa messe, la découverte, dans la basilique, d'un crâne susceptible d'être une relique de saint Sidoine. En 2012, puis 2016, le curé de la paroisse demande à faire ériger l'édifice au titre de basilique mineure. Communément appelé « basilique » par la population et le clergé, depuis sa création, l'édifice n'en avait pas reçut le titre du Vatican. En 2017, le dossier de demande est accepté par les autorités vaticanes et le titre officiellement décerné.
En 2017, le diocèse demande à une équipe de scientifiques d'effectuer une reconstitution 3D du visage de Marie-Madeleine à partir de son crâne conservé dans la basilique. Une expertise récente du crane a rapporté que ce crane est celui « d’une femme de petite taille, de type méditerranéen, âgée d’une soixantaine d’années ». En 2021, le laboratoire Géosciences Paris-Saclay mène une prospection géophysique à la basilique Saint-Maximin-la-Sainte-Baume sur la demande du diocèse de Fréjus-Toulon.
Nos coups de coeur dans le Var
Hébergement :
Restauration :
Les dernières news touristiques
N'oubliez pas !
Par respect pour les habitants et l'environnement, merci de respecter les panneaux signalétiques et consignes. Merci de respecter le droit de propriété et de ne pas pénétrer sur les terrains privés :
- Observez le code de la route en tous lieux et en toutes circonstances, et soyez courtois avec les autres usagers que vous pourrez croiser sur votre chemin.
- Camping et Feux interdits (pas de barbecue)
- La nature est fragile et des chutes de pierres sont parfois fréquentes.
- Veuillez ramasser vos déchets avant de partir.
- Plus que les sacs plastiques ou les pailles, ce sont les mégots de cigarettes qui pollueraient le plus les océans. les filtres à cigarettes se dégradent très lentement. Deux ans en moyenne.
- L'un des "petits gestes élémentaires" à accomplir : ne plus jeter ses mégots par terre. Pensez boite à mégots !
Préparez vos vacances dans le Var avec nos partenaires
Trouver un séjour dans le Var avec nos partenaires
-
Les Heures Claires Sainte-Maxime (Var-83)
Dans le Golfe de Saint Tropez, Sainte Maxime se dresse bâtie en plein midi et abritée des vents par...350,00€ TTC
Provence-Alpes-Côte d'Azur tourisme Var visites Histoire de la Provence-Alpes-Côte d'Azur
Ajouter un commentaire