A faire à Perpignan (66)
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- Le 26/08/2019
- Dans Languedoc-Roussillon
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Pour vos prochaines vacances, Balade touristique dans les rues de Perpignan proposée par Trésors 66. Divertissement familial style "Jeu de piste", retrouvez tout le passé historique de la capitale du Roussillon.
Atelier l'Attrape Rêves, école d'art : cours et stages artistiques et créatifs (payants) pour enfants et adultes animés par une artiste plasticienne. Localisation : 11 rue Pierre Cartelet. Renseignements au 06 64 22 63 33.
Perpignan permet de combiner plaisirs nautiques, la plage est à dix minutes de voiture et joies de la montagne à moins d'une heure.
Un cadre exceptionnel qui permet grâce à une location de voiture à Perpignan d'effectuer de multiples escapades dans les Pyrénées et bien entendu en Espagne : Cadaquès, Barcelone sont des destinations toutes proches.
Musées et lieux de culture de Perpignan
Le musée Casa Pairal
Le musée Casa Pairal Place de Verdun. Le musée des arts et traditions populaires installé au cœur du Castillet, monument emblématique de Perpignan, est un des symboles de l’identité catalane.
Depuis le début de 2011, les collections ethnographiques du musée sont en cours de traitement et de restauration afin de préparer, dans les années à venir, l’ouverture d’un nouveau musée roussillonnais de la terre et des hommes.
Les salles du Castillet, qui a retrouvé toute son ampleur architecturale, présentent aujourd’hui, sous forme de cadres pédagogiques de lecture, une introduction à l’histoire de la Catalogne-Nord, de l’Antiquité à nos jours.
Le musée d'art Hyacinthe Rigaud
Le musée d'art Hyacinthe Rigaud 16 rue de l’Ange. Le musée est abrité depuis 1979 dans les murs de l’hôtel de Lazerme, édifié au début du XVIIIe siècle et acquis en 1827 par Joseph de Lazerme. Michel Leiris, Marc Chagall, Jean Cocteau et Pablo Picasso y séjournèrent, à plusieurs reprises, de 1954 à 1956.
Le musée qui possède une riche collection d’œuvres du XVe siècle à nos jours, actuellement en plein travaux de rénovation et d’agrandissement jusqu’en 2016, accueille au rez-de-chaussée une exposition de maquettes, dessins et documents présentant le futur projet.
Le musée des monnaies et des médailles Joseph Puig
Le musée des monnaies et des médailles Joseph Puig 42 avenue de Grande-Bretagne. La Villa Les Tilleuls, œuvre de l’architecte Viggo Dorph-Petersen, abrite le musée des monnaies et médailles Joseph Puig.
Ce musée réunit une collection exceptionnelle de monnaies antiques et modernes et des collections de monnaies catalanes et roussillonnaises. Il comporte également une bibliothèque spécialisée ouverte sur réservation.
Le muséum d'histoire naturelle
Le muséum d'histoire naturelle 12 rue Fontaine Neuve. Le Muséum présente 350 m² d’exposition permanente : animaux raréfiés ou disparus des Pyrénées-Orientales, oiseaux sédentaires et migrateurs, corvidés, rapaces nocturnes et diurnes, grands mammifères, faune pyrénéenne, invertébrés (arthropodes) et coralliaires, minéraux, crocodiles, objets ethnologiques océaniens et africains, ainsi qu’une momie égyptienne de la XXIIIe dynastie dans son sarcophage offerte en 1847 par Ibrahim Pacha après une cure thermale à Vernet-les-Bains.
Le musée de l'aviation, conservatoire du patrimoine aéronautique
Le musée de l'aviation, conservatoire du patrimoine aéronautique Mas Palégry. Ce musée est dédié à tous les pilotes qui, un jour, ne sont pas rentrés à leur base, mais aussi à tous ceux qui, de près comme de loin, en l’air ou au sol, ont participé à la création des avions, leur entretien, leur sécurité.
Le musée Bella
Le musée Bella 6 avenue du Languedoc. Cinq cents poupées sont exposées dans des vitrines, ainsi que des posters, des photographies de nombreux artistes et vedettes de télévision. Cette exposition ne serait pas complète sans la machine à implanter les cheveux, des moules, des appareils parlants, des outillages divers pour la fabrication des cheveux de toutes les couleurs, des habillages pour les poupées mannequins, des boîtes.
Le mas Sant Vicens
Le mas Sant Vicens 12 rue Sainte-Beuve. À l’origine, Sant Vicens était un mas du XVIIIe siècle, entouré de vignes, situé en plein cœur de ce qui deviendra le quartier Saint-Gaudérique. En 1942, en pleine occupation, des céramistes quittent la manufacture de Sèvres à la recherche d’un lieu en zone libre pour continuer leurs travaux. Sur l’initiative de deux frères, Firmin et Denys Bauby, la poterie Sant Vicens voit le jour et le premier four est inauguré par Aristide Maillol.
Dans les années qui suivent, beaucoup d’artistes rendent visite aux frères Bauby : Dalí, Picasso, Trenet. Aujourd’hui, le mas Sant Vicens est un lieu unique, où 25 céramistes d’art exposent leurs dernières créations dans l’ancienne cave transformée en salle d’exposition.
Le centre de cocumentation des Français d'Algérie et le mur des disparus
Le centre de cocumentation des Français d'Algérie et le mur des disparus Rue du Général Derroja. Inauguré le 29 janvier 2012, le Centre de documentation des Français d’Algérie rassemble des documents de toute nature, œuvres d’art et objets destinés à approfondir la connaissance de 132 ans de présence française en Algérie. Le centre, abrité au sein de l’ancien couvent royale Sainte-Claire, se compose d’une exposition permanente et d’une bibliothèque dédiée.
Le Mur des disparus a été érigé en 2007 à la mémoire de plus de 2 000 français disparus en Algérie et jamais retrouvés entre 1954 et 1963. Il est situé dans le jardin Mère Antigo.
Le centre d'art contemporain Walter Benjamin
Le centre d'art contemporain Walter Benjamin Place du Pont d’en Vestit. Inauguré en février 2014, le centre d’art contemporain est dédié à Walter Benjamin, philosophe, historien de l’art, critique littéraire, critique d’art et traducteur allemand de la première moitié du XXe siècle. Il est aujourd’hui unanimement reconnu comme l’un des rares penseurs à avoir rendu le XXe siècle intelligible.
Maison de la Catalanité
Maison de la Catalanité Place Joseph-Sébastien Pons. L’édifice abritant la Maison de la Catalanité est le fruit de constructions et d’aménagements successifs. Le bâtiment du XVIIIe siècle serait commande ecclésiastique mais s’apparente à un hôtel particulier bâti selon un plan architectural classique pourvu de maçonneries typiquement locales (briques et galets liés au mortier de chaux).
À partir de 1824, l’édifice accueille une partie du séminaire et subit d’importants travaux de transformation. Il accueille aujourd’hui la direction de la Culture, du Patrimoine et de la Catalanité du Département et propose au public, expositions et animations culturelles.
Le centre d'art contemporain à cent mètres du centre du monde
Le centre d'art contemporain à cent mètres du centre du monde 3 avenue de Grande-Bretagne. Créé en juin 2004, le centre est situé à cent mètres de la gare de Perpignan et abrité dans un ancien entrepôt rénové et transfiguré où se mêlent poutres centenaires et matériaux modernes. 1 400 m² d’espaces d’exposition s’organisent sur plusieurs niveaux afin de promouvoir l’art contemporain sous toutes ses formes.
Architecture militaire de Perpignan
La poudrière
Rue François Rabelais. Ancien magasin à poudre à canon construit sous la direction de Sébastien Vauban.
Les fortifications de Perpignan
Architecture religieuse de Perpignan
L’ancien évêché
8 rue de l’Académie. Construit pendant la seconde moitié du XVIIIe siècle et récemment acquis par la Ville de Perpignan, l’ancien évêché abritait les classes de l’Académie militaire fondée par le comte de Mailly. Au début du XXe siècle, monseigneur Carsalade-du-Pont en fit le nouvel évêché.
L’arsenal, ancien couvent des Grands carmes
Rue Jean Vielledent. Du grand couvent des Carmes, édifié vers le milieu du XIIIe siècle, ne subsistent que les vestiges de l’église Sainte-Marie, fortement endommagée par une explosion et un incendie en 1944, le chœur et la nef s’étant effondrés vingt ans plus tard. En partie loués à l’armée, au début du XVIIIe siècle, les bâtiments conventuels furent transformés en arsenal en 1792.
Le cloître, démonté et vendu en 1838, fut reconstitué chez un châtelain, dans l’Aude : un marquage au sol en indique l’emplacement. Des fouilles archéologiques, au début du XXIe siècle, révélèrent l’existence d’une crypte du XVe siècle devant le chœur.
La chapelle Saint Jean l'évangéliste dite Funerària
Rue Amiral Ribeill. Au fond du cloître, se trouve la chapelle funéraire éclairée par les vitraux contemporains très colorés de Shirley Jaffe, associant ainsi art contemporain et architecture médiévale. Classé aux Monuments historiques.
L’église des dominicains
6 rue François Rabelais. La fondation du couvent royal des Dominicains remonte à 1245 après que Jacques Le Conquérant, roi d’Aragon, offre à l’ordre une ancienne maladrerie de lépreux pour y établir une maison religieuse. L’ensemble se compose d’une grande église, d’un cloître, d’une grande salle capitulaire et d’un cloître funéraire ainsi que d’un réfectoire, d’une cuisine et de dortoirs.
Actuellement, l’ancien couvent est en partie occupée par l’armée et l’église sert d’espace d’expositions et accueille différentes manifestations culturelles.
La chapelle du tiers ordre de Saint Dominique
Place de la Révolution française. Construite à la fin du XVIIIe siècle par le Tiers ordre de saint Dominique (laïcs de l’ordre des Dominicains), la chapelle se situe entre l’ancienne entrée du couvent des Dominicains, sur la très belle place de la Révolution française, et la sortie de l’église des Dominicains. L’abside de la chapelle est richement décorée par Jacques Gamelin dans une scène. .
La chapelle Notre Dame des Anges
32 rue du Maréchal Foch. Ce monument du XIIIe siècle a été construit à l’initiative des rois de Majorque. La grande salle gothique que l’on peut y découvrir a été la grande salle capitulaire du couvent franciscain. Au début du XIXe siècle, ce bâtiment a été aménagé en chapelle de l’hôpital militaire et fut consacré à Notre-Dame des Anges.
À cette époque, la chapelle était décorée d’allégories guerrières. Aujourd’hui, la salle du chapitre des moines franciscains est devenue la Maison du patrimoine catalan.
Le couvent Royal Sainte Claire
Rue du Général Derroja. C’est Charles Quint, sollicité par les moniales après que le monastère des Clarisses fut ravagé lors du siège de 1475, qui fit édifier ce couvent dans lequel il apposa ses armes royales, de 1448 à 1550. Nationalisé, il est transformé en prison civile, de 1791 à 1989, et une chapelle fut aménagée au centre de l’église pour les détenus.
Le bâtiment, devenu communal, abrite aujourd’hui le Centre de documentation des Français d’Algérie et le Mur des disparus.
Le couvent des minimes
24 rue François Rabelais. Le couvent des Minimes a été construit entre 1585 et 1620 dans l’ancien quartier juif de Perpignan. Il est construit majoritairement en briques et présente une église, un cloître avec un étage et des bâtiments conventuels situés autour du cloître (réfectoire, dortoirs, cuisines…). Actuellement, le couvent accueille de nombreuses expositions tout au long de l’année. Classé aux Monuments historiques.
L’église Notre Dame la Réal
49 rue Grande-La-Réal. La Réal, paroisse du castell real ou château royal, date des premières années du XIVe siècle. Elle est construite à l’initiative des consuls de la ville sur les anciens cloîtres, cimetière et église des Frères de la Pénitence de Jésus-Christ. L’église semble avoir conservé l’essentiel de son architecture originelle de la première moitié du XIVe siècle.
Sa nef unique, primitivement couverte d’une charpente apparente, a été masquée au milieu du XIXe siècle par de fausses voûtes plâtrées.
L’église Saint Matthieu
12 rue Grande-la-Monnaie. La première mention de l’église Saint-Matthieu remonte à 1305. Le bâtiment actuel reprend quelques éléments architecturaux de l’ancien édifice qui se mélangent aux structures de la fin du XVIIe siècle. Le riche mobilier de l’église date plus particulièrement des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles. Un grand orgue est édifié en 1683 pour remplacer celui de 1478 détruit par les canons de l’artillerie castillane.
La Cathédrale Saint Jean Baptiste
Place Léon Gambetta. Bâtie à partir de 1324 sur le plan d’une église à trois nefs, reprise à partir de 1433 et transformée en nef unique, la cathédrale Saint-Jean-Baptiste, consacrée seulement en 1509, ne fut érigée en cathédrale qu’en 1601. Surprenante par ses dimensions, elle est caractéristique du gothique méridional, style architectural présent, particulièrement en Catalogne au XIVe et XVe siècles. Classée aux Monuments historiques.
Sa construction a été commencée en 1324 par le deuxième roi de Majorque, Sanche. Sa façade est en galets et briques et, à sa droite, se trouve une tour carrée surmontée d'un beau campanile en fer forgé, qui date du XVIIIe siècle, et son bourdon, qui lui est antérieur (XVe siècle). La nef repose sur de robustes contreforts intérieurs. Plusieurs retables dorés datant du XVIe ou du XVIIe se trouvent dans des chapelles latérales. Le maître-autel porte une statue de saint Jean Baptiste, patron de Perpignan, qui porte les armes de la cité (armes de l'Aragon et de la Catalogne royale).
Un passage à gauche permet d'accéder à l'ancien sanctuaire de Saint-Jean-le-Vieux, avec son beau portail roman en marbre caractérisé par ses arcs géminés.
Le Campo Santo
Rue Amiral Ribeill. À l’ombre de la cathédrale Saint-Jean-Baptiste, se trouve le cloître-cimetière Saint-Jean dit Campo Santo. Sa construction débuta dès le début du XIVe siècle, il se composait de quatre galeries couvertes d’un appentis de bois soutenu par des colonnes à chapiteaux sculptés. On peut aujourd’hui admirer les successions de portiques gothiques en marbre blanc qui ornent le pourtour.
L’église Saint Jean le Vieux
Place Léon Gambetta. Saint-Jean le Vieux est l’église primitive de la ville. Le 16 mai 1025, Gaufred II, comte du Roussillon, et Béranger, évêque d’Elne, célèbrent la consécration de la nouvelle église dédiée à Saint-Jean-Baptiste. En 1102, Gislabert II y institue la vie canoniale et en 1116, Arnau-Gaufred fait ériger un hôpital des pauvres (Saint-Jean) à l’ouest du mur d’enceinte de l’église.
Dans la première moitié du XIIIe siècle, le bâtiment subit de nombreux travaux : le beau portail, sculpté d’un Christ en majesté, date de cette période. L’église ne peut pas se visiter. Vous pouvez admirer son portail depuis le parvis attenant à la cathédrale.
La chapelle du dévot Christ
Rue Amiral Ribeill. Construite en 1540, la chapelle est accolée à la cathédrale Saint-Jean-Baptiste, on y accède par la sortie latérale droite de la cathédrale donnant sur la rue Amiral Ribeil. Y est exposé un Christ de douleur sculpté en bois de tilleul et aulne, daté de la fin du XIIIe - début du XIVe siècle.
L’église Saint Jacques
Rue de la Miranda. Édifiée en deux parties, au XIVe et au XVIIIe siècles, elle comporte deux absides. Sa nef unique abrite de magnifiques retables de style catalan. Porche d’entrée du XIVe siècle. Cette église est le point de départ, le Vendredi saint, de la poignante procession de la Sanch, tradition religieuse catalane célébrant la Passion du Christ depuis le XVe siècle.
La synagogue (rue François Arago).
Une grande mosquée, située au nord de Perpignan (Polygone Nord) a été achevée en 2006.
Nos coups de coeur à Perpignan
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Venir à Perpignan
En avion : l'aéroport de Perpignan-Rivesaltes assure des vols nationaux et internationaux, pour certains assurés uniquement pendant certaines périodes de l'année, à destination de Paris-Orly, Nantes, Palma-de-Majorque, Birmingham, Londres, Southampton, Dublin et Bruxelles. L'aéroport Perpignan-Rivesaltes accessible en vingt minutes par navette, est desservi par de nombreuses compagnies dont des compagnies à bas coût avec des vols directs depuis Manchester, Paris, Londres, Bruxelles et Southampton.
En voiture : la ville est reliée à Narbonne au nord et Barcelone au sud par l'autoroute A9.
En train : la gare de Perpignan est desservie par des TGV, des trains Intercités et des TER de la région Languedoc-Roussillon. La capitale catalane est à cinq heures de TGV de Paris.
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