Route du circuit des enclos paroissiaux du pays de Landerneau (29)
Circuit de la route du circuit des enclos paroissiaux du pays de Landerneau
Le circuit d'une distance de 48 km (hors option), vous fera entrer au coeur du pays de Kersanton et des premiers porches de la vallée de l’Élorn. Un plongeon dans une période faste de la Vallée de l'Élorn. Le passé commercial de la ville et les foires de La Martyre permirent de faire travailler les meilleurs tailleurs de pierre.
La grise kersantite était transportée par bateau à Landerneau, pays des maîtres sculpteurs.
Dans ces enclos elle se marie à merveille avec la pierre jaune de Logonna, le granit ou le schiste. Avant de commencer votre circuit touristique, nous vous conseillons de prendre connaissance sur notre pages du lexique sur les Enclos Paroissiaux pour comprendre ces merveilles du Finistère.
Commencez votre circuit touristique des enclos paroissiaux du pays de Landerneau au départ de Landerneau.
Votre itinéraire et visites sur le Circuit de la Route touristique des enclos paroissiaux du pays de Landerneau
Entre Léon et Cornouaille, entre mer et rivière, dans la rade de Brest, la ville de Landerneau dispose d’un remarquable patrimoine architectural. Landerneau est membre de l'Union des Villes d'Art et d'Histoire de Bretagne, elle est ville historique et bénéficie à ce titre du parrainage des Villes d'Art et d'Histoire.
Son fleuron en est le célèbre pont de Rohan, unique pont encore habité d’Europe. Tout autour, de belles habitations du 16e au 19e siècle jalonnent votre parcours. Après le circuit d’interprétation du patrimoine dans les ruelles de Landerneau chargées d’histoire, les berges de l’Elorn prolongeront votre flânerie.
Quittez Landerneau par la route de Pencran (4 km), surplombant la vallée de l’Elorn, l’enclos paroissial de Pencran est un modèle du genre.
En pénétrant dans l’enclos, c’est d’abord le porche sud, en kersanton, qui va attirer votre regard, remarquable par sa conception et son décor. Introduction au style renaissance, les voussures finement sculptées regorgent d’anges, musiciens, feuillages et de scènes de la Genèse. Il abrite en outre les 12 apôtres logés dans leur flamboyante niche à dais.
Le clocher, édifié au XIVe siècle, abrite une des plus ancienne cloches du Finistère, appelée « la Marie » et fondue en 1365. Un dernier regard sur les calvaires et notamment celui situé au nord, érigé en 1521, où s’élèvent 3 croix au-dessus de l’entrée monumentale, avec à son pied, Marie-Madeleine agenouillée.
Ce modèle de calvaire, très original pour l’époque, va faire école dans toute la région, car il permet de multiplier les personnages. Un moulage de ce calvaire existe au musée des Monuments français à Paris ! A proximité : Fontaine Notre-Dame de la Joie et pour les plus courageux un sentier de randonnée. Admirer le manoir de Kermadec, de style gothique, construit par la famille Huon en 1450 et le château de Chef du Bois.
Prenez la direction de Dirinon via Keranna (12 km), l’enclos paroissial de Dirinon est sans conteste celui où l’histoire se mêle le plus à la légende : celle de l’irlandaise Sainte-Nonne et de son fils, St-Divy, patron du Pays de Galle. Il fut construit à la faveur de la prospérité toilière de julods et grâce au mécénat de familles nobles qui ont laissé leurs blasons, par exemple sur le calvaire.
La construction des différents éléments de l’enclos s’étend de 1577 pour la chapelle)jusqu’au début du 18e siècle. La chapelle abrite un impressionnant gisant du milieu du 15e siècle, représentant Sainte-Nonne. Bien qu’il ne s’agisse pas de son tombeau, la paroisse possède tout de même des reliques de la sainte.
L’église, en grès de Logonna, mêle les styles gothiques et renaissance. Son clocher à double galerie de 1588 est un modèle du genre et l’harmonie des 4 cloches en fait un des meilleurs carillons du département.
L’intérieur de l’église réserve son lot de surprises et de fantaisies : le retable de la Sainte Trinité (transept sud) est une œuvre de premier plan, les peintures ornant la voûte lambrissée ont pour thème le Jugement Dernier et concourent à la renommée méritée de cette église de campagne. La vitrine d’orfèvrerie abrite le trésor sacré de la paroisse, dont une chasse reliquaire de 1450.
A proximité : Le Musée des Traditions du Vieux Dirinon se situe au bourg, rue du Traon, à côté de l'Église. la Fontaine Sainte-Nonne, chapelle et fontaine Saint-Divy, étang et moulin du Roual.
Le manoir du Roual date des XVe et XVIe un écusson, situé au-dessus de la porte cochère du manoir, porte le blason à six faces avec un trèfle en chef à dextre avec une banderole sur laquelle est inscrite la devise bretonne Sell pe ryi ("Prends garde à ce que tu feras").
Deux autres manoirs se situe sur la commune : le manoir de Pennarun du XVIe siècle et le manoir de Kerliezec appartient depuis le XVe siècle à la famille Huon. Admirer le château de Lesquivit.
Poursuivez votre parcours du circuit des enclos paroissiaux du pays de Landerneau via la D87 en direction de Tréflévenez (22 km).
Option : Direction Plougastel-Daoulas via la N165 (22 km), quel gourmand ne connaît pas la délicieuse fraise de Plougastel ? Le calvaire de la ville regroupe pas moins de 182 statues sculptées dans ces mêmes pierres ! Courez découvrir ce joli coin de la rade de Brest, son magnifique calvaire, ses chapelles et l'abbaye de Daoulas.
Parmi les monuments qui valent la visite de la presqu'île, le calvaire du 17e siècle est sans doute le plus connu. Il fut érigé suite à une épidémie de peste qui avait touché la région. Le calvaire de Plougastel-Daoulas est haut d'environ 10 mètres. L'octogone qui forme le noyau du soubassement a 1,70 mètre de côté. Il est flanqué de quatre épais contreforts.
La tradition et l’histoire font du calvaire de Plougastel-Daoulas un ex-voto marquant en 1598, la fin de l’épidémie de peste qui venait de décimer un tiers de la population de la presqu’île. Le seigneur de Kererault serait mort le 27 septembre 1598 en faisant le vœu qu’un calvaire soit édifié en ex-voto s’il était le dernier mort de la peste.
Sur cette base en granit jaune de Logonna-Daoulas, 182 statues sont sculptées en pierre de Kersanton de couleur bleue et les plus grandes mesurent un mètre et pèsent de 100 à 200 kilos. Elles illustrent, en 28 tableaux, des scènes bibliques de la vie du Christ ou des scènes légendaires comme Katel Kollet. Il s'agit d'un des sept grands calvaires de Bretagne. Un escalier de 14 marches près du contrefort nord-ouest permet d'accéder à la plate-forme centrale où s'installait autrefois le prédicateur.
Le calvaire, érigé sur le modèle de celui de Guimiliau, en est toutefois différent. La distribution des figures n’est pas ordonnée linéairement avec exactitude mais semble correspondre à quatre thématiques répondant aux points cardinaux. Ce sont à l’Est la naissance et l’ensevelissement, au Nord la souffrance, au Sud la Pâque et le chemin de croix, à l’Ouest la mort et la résurrection.
Continuez en direction de Daoulas en suivant la N165 (33 km), arretez-vous à l’Abbaye de Daoulas, elle conserve encore aujourd’hui de beaux témoignages de sa splendeur initiale. L’Abbaye de Daoulas possède le rare privilège de concentrer en un même lieu multiples centres d’intérêts : le charme des jardins et leur diversité botanique, la qualité patrimoniale du site et l’occasion unique de découvrir des cultures lointaines grâce aux expositions annuelles.
L'enclos paroissial de Daoulas contient : L’église paroissiale Notre-Dame, elle reprend une partie des vestiges de l'ancienne église abbatiale, Le porche d'entrée de l'enclos paroissial, dit porche aux apôtres correspond à l'ancien porche de l'église, de style renaissance et en anse de panier, transplanté là dans le courant du XIXe siècle. Il fut remplacé sur la façade sud de l'église paroissiale par un porche néoroman.
Le calvaire situé à l'entrée du cimetière est de facture simple, d'un seul croisillon, mais est à double face ; il est classé monument historique. L’ancien ossuaire date de 1454. Il fut transformé en sacristie au XIXe siècle par Joseph Bigot. C'est un édifice rectangulaire en Kersanton à l'exception du soubassement. Il porte une inscription avec la date de 1589 et les armes de l'abbé René Du Louet (1581-1598).
Revenez vers le circuit initial en prenant la direction de de Tréflévenez via la D770 (45 km). L'exploitation du lin et la fabrication de la toile accordent à Tréflévénez une longue période de prospérité, dont témoigne la richesse de l'enclos paroissial. L'église est remarquable par ses peintures et scultpures, à vous de découvrir les nombreux personnages richement colorés !
L’enclos paroissial de Tréflévénez détonne mais étonne si on le compare au faste et à la somptuosité de ses voisins léonards. Et pourtant, cette église de campagne recèle des richesses insoupçonnables de prime abord et que l’on ne trouve nulle part ailleurs. En pénétrant dans l’enceinte, pas de porte monumentale, mais un simple calvaire (1901), pas d’ossuaire complet (1611), mais juste sa façade sauvée de justesse et intégrée dans une maison d’habitation.
Même l’église Saint-Pierre, érigée à la fin du 15e siècle dans un style gothique tardif (et maintes fois remaniée au cours de siècles) est d’extérieur modeste. Toute la majesté de ce lieu atypique se ressent dès que l’on pénètre à l’intérieur de l’église. Les couleurs délicates mêlant le bleu au blanc avec des touches d’or aspirent à la sérénité. La simplicité apparente sert d’écrin à de véritables trésors.
Les sablières du 16e siècle reprennent les scènes et paraboles populaires des plus étonnantes. Sur le mur, une peinture de la Crucifixion (1696) a été mise au jour lors de la dépose du retable du rosaire. A proximité, le tombeau de 1677 témoigne de l’amour de Hamon Huon de Kerezellec pour son fils défunt. A signaler enfin, le chemin de Croix réalisé en 2005 par un artiste roumain, Valentin Scarlatescu, qui, à lui seul, mérite le détour.
A proximité : Profiter du panorama sur la campagne vallonnée, admirer le manoir de Kérézellec (privé).
Option : vous pouvez rejoindre le circuit des enclos paroissiaux du Pays de Landivisiau en suivant la direction de Sizun.
Pour continuer votre escapade sur ce circuit des enclos paroissiaux du pays de Landerneau direction La Martyre (27 km), où se trouve l’un des plus beaux enclos du pays de Léon. Nous vous conseillons de prendre la D35 pour éviter de revenir sur vos pas, vous profiterez ainsi des petites routes de campagnes du Finistère.
L’enclos paroissial de La Martyre, dont la construction s’étend entre les XIème et le XVIIème siècles, est considéré comme l’un des plus beaux enclos du pays de Léon.
L’un des plus anciens enclos paroissiaux de Bretagne est l’œuvre des Rohan, ces mécènes qui ont également marqué la ville de Landerneau et qui sont représentés ici dans la verrière de l’église. Ils créent une foire franche (sans taxes) qui attire tous les marchands de la région. Un chemin de ronde que vous pourrez observer au-dessus de la porte triomphale servait d’ailleurs à surveiller cette foire.
L’accès s’effectue via une porte triomphale de style gothique du XVIème siècle. En surplomb de cet Arc de Triomphe, vous admirerez son calvaire à trois croix et discernerez un chemin de ronde conduisant notamment à une maison du guet datant du XIVème siècle. Le lieu abrite également une chapelle-ossuaire du XVIIème siècle.
Elément central de l’enclos, l'église Saint-Salomon a été fraîchement rénovée. Vitraux anciens et contemporains, retable du XVIIème, clocher du XIIIème, maître-autel du XVIIIème, c’est un véritable pèlerinage à travers les siècles qui vous est proposé. Depuis son porche sud du XVème siècle, vous pourrez admirer des scènes de l’enfance du Christ.
À l’entrée de l’église, de nombreuses sculptures bien conservées sont encore visibles. Si vous êtes attentif, vous verrez peut-être même un petit escargot près de la porte. Sur l’ossuaire tout proche, remarquez la cariatide aux seins nus inspirée de la Renaissance. Enfin, en entrant dans l’église, vous observerez les deux nefs : elles n’ont pas été construites à la même période et elles témoignent ainsi de l’évolution de l’architecture religieuse au fil des siècles.
Poursuivez sur la D35 vers Ploudiry (29 km), Aujourd’hui petite commune rurale, la paroisse de Ploudiry était, jusqu’à la Révolution, la plus vaste et une des plus riches du Léon (80 km²). Ploudiry se trouvait au cœur de la zone toilière du Haut-Léon qui fut très prospère aux XVIIe et XVIIIe siècle.
L’enclos paroissial de Ploudiry, imposant par ses dimensions, n’a eu de cesse d’être embelli au cours de cette période économique prospère, pendant laquelle la ferveur religieuse a permis de bâtir l’un des plus beaux ensembles du Léon.
L’ossuaire de 1635, reconstruit en 1731, avait pour fonction d’abriter les ossements préalablement enterrés dans l’église. Les fidèles pouvaient alors les asperger d’eau bénite à travers les niches, sans fenêtres à l’époque. L’ange du bénitier de 1635 précise d’ailleurs : « Bonnes gentz qui par icy passez, priez Dieu pour les Trépassez ».
Comme ailleurs, à cette époque où les épidémies font rage, la mort est très présente dans les esprits. La frise de l’ossuaire représente des personnages de diverse qualité à égalité devant la mort, personnifié par l’Ankou.
Le porche sud de l’église de 1685 impose par sa magnificence, la finesse de ses sculptures et l’originalité de son décor. L’intérieur de l’église, reconstruite en 1700 et son clocher en 1854, laisse la part belle à de magnifiques ouvrages, tels que les retables ou la chair à prêcher.
A proximité : vous trouverez la Fontaine et chapelle Saint-Antoine.
Option : vous pouvez rejoindre le circuit des enclos paroissiaux du Pays de Landivisiau en suivant la direction de Loc Eguiner.
Votre route touristique vous emmène à présent à La Roche Maurice via la rue de la Fabrique (35 km) avec des personnages haut en couleur. Au pied du château de Roc'h Morvan, l’enclos paroissial de La Roche-Maurice réserve à ses visiteurs son lot de trésors !
Cet enclos de La Roche Maurice? est un enclos charmant, lui aussi financé par la famille des Rohan. Sa principale caractéristique reste son jubé, l’un des derniers en bois polychrome encore conservé en Bretagne. Il représente une galerie de personnages colorés plus étonnants les uns que les autres. Vous en retrouverez d’autres, sculptés dans la pierre ceux-là, sur l’ossuaire situé à l’extérieur de l’église et son grand clocher.
L’entrée de l’enclos de La Roche-Maurice est marquée par la présence d’un calvaire orné de trois croix sur lesquelles on aperçoit le Christ entouré du Bon et du Mauvais Larron. On découvre ensuite un ossuaire de style Renaissance. Il s’agit en réalité d’une ancienne chapelle flanquée de quelques chaleureux messages tels que « Rappelle-toi mon jugement, tel aussi sera le tien » ou encore « Je vous tue tous »...
Malgré l’extraordinaire finesse des sculptures du portail sud ou encore le clocher à double galerie, considéré comme l’un des plus beaux du Léon, c’est à l’intérieur de l’église que l’émerveillement atteint son paroxysme : à commencer par le jubé en chêne polychrome avec ses personnages grotesques, les sablières mêlant scènes religieuses et profanes, ou encore le grand vitrail de la Passion réalisé en 1539. Le 2e plus grand vitrail de Bretagne avec 21,05 m².
L’enclos accueille en son centre l'église Saint-Yves. Datant du XVIème siècle, elle est couronnée d’un clocher culminant à 60 mètres de haut. Parmi les richesses que compte ce lieu de culte : de belles armoiries, des voûtes lambrissées, un jubé en chêne polychrome ainsi qu’un gigantesque vitrail du XVIème siècle illustrant les scènes de la Passion et de la Résurrection du Christ.
A proximité : château de Roc'h Morvan, Les ruines du château, Kastel Roc'h Morvan est ancienne propriété des Vicomtes de Léon. La chapelle de Pont-Christ, ancienne église tréviale en ruines est située près de l'Élorn et à proximité du moulin de Brézal.
Vous trouverez aussi l'ancien manoir de Kermadec, le manoir de Kernoual de 1871 et le manoir de Gorrequer. La Roche-Maurice possède, disséminés sur le territoire communal, six autres croix et calvaires, un à Kernévez datant de 1936, deux à Pont-Christ datant du Moyen Âge et du XVIe siècle, un dans le cimetière (1883), un au Moulin-du-Morbic (1849) et un à Penmarc'h (1625).
Option : vous pouvez rejoindre le circuit des enclos paroissiaux du Pays de Landivisiau en suivant la direction de Saint-Servais.
Pour finir votre périple sur le circuit des enclos paroissiaux du pays de Landerneau, prenez la direction de Trémaouézan via la D74 (41 km). Cette petite commune abrite un trésor qui sait surprendre ses visiteurs : un enclos paroissial d’une grande richesse, dont certains éléments sont comparables en tous points aux plus grands enclos de la région.
L’enclos de Trémaouézan regorge d’une multitude de détails des plus surprenants pour qui prend le temps de les découvrir ! L’église Notre-Dame de Trémaouézan a été bâtie vers 1500. L’ossuaire gothique, qui lui est contemporain, est orné de figures d’animaux.
A partir de la fin du 16e siècle, la menace des épidémies a exacerbé la ferveur religieuse du peuple qui affluait en pèlerinage dans cette paroisse dotée de 2 fontaines sacrées (une sous le patronage de la vierge Marie, l’autre sous celui de Saint Jean-Baptiste). C’est grâce à cet élan que pendant plus d’un siècle l’église a été maintes fois remaniée et considérablement agrandie nous offrant aujourd’hui un mélange de styles gothique et renaissance.
La recherche d’excellence est partout : Un porche renaissance monumental est édifié en 1610. Il recèle l’un des plus remarquables ensembles ciselés par le sculpteur landernéen Rolland Doré : les statues des Apôtres. Admirer : la lune sculptée au-dessus des dais qui couronnent les apôtres.
A l’intérieur, les différents retables baroques sont des modèles du genre : polychromie très riche, sculptures soignées et disposition bien étudiée des éléments. Tout comme le baptistère qui rappelle l’épisode du baptême du Christ, ces ensembles offrent une interprétation très imagée dans le but d’éclairer la foi des fidèles.
A proximité : la Fontaine Saint-Jean-Baptiste à 200 m de l'enclos et la Zone humide du marais de Langazel (tourbière).
Pour finir votre parcours touristique, retour vers Landerneau via la D29 (48 km - hors option)
Pour vous rendre sur la route du circuit des enclos paroissiaux du pays de Landerneau
Landerneau
7 °C Ciel dégagé
Min: 7 °C | Max: 8 °C | Vent: 15 kmh 140°
Le saviez-vous ?
A Plougastel-Daoulas et Guimiliau, le personnage de Katell Gollet est embroché par le diable, évoquant l'histoire de "Catherine la Perdue", fille de peu de vertu, voleuse d'une hostie pour un amant.
L’expression “Cela va faire du bruit dans Landerneau” inspire désormais le nom d’un festival. A l’origine, il renverrait au tintamarre qui y était donné sous les fenêtres d'une veuve trop vite remariée. Elle est utilisée quand un événement provoque un grand émoi dans un milieu clos
Plougastel-Daoulas : les figurines ont eu beaucoup de chance ! Touchées par les bombardements de 1944, un soldat américain eut la bonne idée de les récupérer et de les abriter dans le presbytère.
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Date de dernière mise à jour : 06/07/2021
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