Route du circuit touristique des marches de Bretagne - Etape 3 (35)
Circuit de l'étape "Chateaugiron à la forêt de Villecartier" de la Route du touristique "des marches de Bretagne"
Surgissant intact du passé, les châteaux rappellent la vocation défensive du pays et livre ses secrets à travers un parcours touristique qui met en scène l’histoire des Marches de Bretagne. Il faut flâner parmi les rues des villes et villages pour s’imprégner de l’atmosphère chargée d’histoire.
Admirer, le château de la Haye-Saint-Hilaire et la forteresse de Saint-Aubin-du-Cormier il ne reste que son donjon, coupé en deux dans sa hauteur et où s’accroche encore un âtre. Symbole de paix entre les baronnies de Fougères et de Vitré et marquant leurs limites géographiques.
La Croix de l’Union se dresse sur le pont du Couesnon, à la sortie de Vendel ou bien encore pousser les portes des églises, des monastères et des prieurés, pour s’imprégner de l’atmosphère chargée d’histoire.
Emprunter cette troisième étape de ce circuit touristique des marches de Bretagne d'une distance de 115 km, c’est pénétrer au cœur de l'histoire Bretonne.
Votre itinéraire et visites sur le Circuit de l'étape "Chateaugiron à la forêt de Villecartier" de la Route des marches de Bretagne
Etape 3 : de Chateaugiron à la forêt de Villecartier
Après cette montée des marches, continuez le circuit touristique des marches de Bretagne en direction de Ossé via la D34 (5 km). Nous savons que cette paroisse existait au XIVe siècle, puisqu'une charte renferme en 1347 le nom de son recteur à l'époque, Jacques de Charot. Ce recteur devait appartenir à la famille noble qui possédait le manoir de Charot en Ossé.
Le Plessix d'Ossé était la maison seigneuriale de la paroisse. Elle relevait de la baronnie de Châteaugiron. L'église datant du XVIe siècle, a été fortement remaniée par Arthur Regnault à la fin du XIXe siècle avec notamment l'érection d'un nouveau clocher.
L'itinéraire touristique se poursuit vers Domagné via la D34 (11 km), p?endant les Guerres de la Ligue, probablement en 1591 « M. de Châteauneuf prit la maison du Plessix-Raffray avec un grand nombre de butin et plus de trente prisonniers ligueurs qui estoient au duc de Mercœur ».
L’ancien presbytère est le plus ancien édifice de Domagné. Cette bâtisse singulière, datant du XIV-XVème siècle, était à l’origine pourvue à son étage d’une galerie très saillante et d’un gros contrefort sur son mur ouest. Au rez-de-chaussée, elle était percée d’une étroite ouverture et d’un grand portail en arc brisé. Seule cette arche ogivale de la porte cochère, par laquelle on entrait autrefois dans la cour, existe toujours.
De cet édifice ne subsiste aujourd’hui qu’un mur face à la cidrerie. Abandonné depuis plusieurs années, la commune de Domagné a décidé en 2009 de remettre en valeur ce vieux patrimoine en le restaurant par l’association d’insertion "les Chantiers des sept cantons".
A voir : L’église Saint-Pierre, consacrée le 28 novembre 1888. Les plans ont été dessinés par l'architecte Gelly. L'édifice n'a jamais reçu de flèche et l’église Saint-Médard du XVIIe siècle, à Chaumeré.
Un chemin des saulniers emprunté par les faux-sauniers pratiquant la contrebande du sel entre la Bretagne et le Maine, pays de gabelle, passe à la limite des communes de Veneffles et d'Ossé avec celles de Chaumeré (désormais annexée par la commune de Domagné et Saint-Aubin-du-Pavail, puis, après avoir traversé Domagné, passe à la limite de celle de Cornillé avec celles de Torcé et Louvigné-de-Bais avant de rejoindre, via Étrelles et Argentré-du-Plessis, Le Pertre.
Ce chemin des saulniers est d'origine ancienne, c'est probablement une ancienne voie romaine ; son tracé se lit encore très bien sur une carte, empruntant successivement de l'ouest vers l'est des tronçons des routes départementales D 93, D 104, D 35, à nouveau D 104 et enfin D 3325.
Continuez votre escapade vers Saint-Didier via D105 (14 km). Commencer votre balade par l'église paroissiale Saint-Didier du XVIIe et XXe siècle. Le maître-autel et le retable datent de 1721-1875, le maître-autel et les trois retables, y compris les statues de saint Didier et saint Golven, sont classées par les monuments historiques.
La chapelle Notre-Dame-de-la-Peinière mérite votre attention : la chapelle actuelle, construite entre 1895 et 1900 par Henri Mellet, est un édifice octogonal, flanqué de 8 contreforts ; sa façade comprend un imposant perron surmontant la fontaine ornée d'une statue de la Vierge ; son clocher est surmonté depuis 1920 d'une statue de la Vierge.
Saint-Didier à de nombreuses anciennes seigneuries. Le château de la Roche, de style néo-gothique, construit à la fin du XIXe siècle par la famille de Sèze. Le manoir de la Roche-Guyard ou " La Vieille-Roche La seigneurie de la Roche-Guyard ou Vieille Roche, était possédée en 1753 par Jacques Gault, seigneur de La Galmandière en Châteaubourg, avocat au Parlement de Bretagne et le manoir du Val, en 1602, Jean de la Porte, seigneur du Val, fonda la chapellenie de Saint-André de la Peinière, pour être desservie dans la chapelle de son manoir du Val.
Votre périple vous emmène à Saint-Aubin-les-Landes via la D33 et D34 (22 km). A voir l'église paroissiale Saint-Aubin avec sa nef, de style roman, date en partie du XIe siècle, son chœur de 1623, les deux chapelles de 1838 ; l'église a été en partie reconstruite et le clocher-tour ajoutée entre 1872 et 1876 par l'architecte Audrouing, de Vitré. La Chapelle Notre-Dame-de-la-Salette dans le cimetière date de 1878, elle est de style néo-gothique.
Quatre manoirs se trouve sur la commune de Saint-Aubin-les-Landes : aux Fresnais, à la Massonnière, à la Charronnière et celui de la Gavouyère.
Continuez sur la D34 vers Pocé-les-Bois (27 km), visiter l'église Notre-Dame de Pocé-Les-Bois., de style néogothique, construite de 1890 à 1903 par l'architecte Arthur Regnault. L'ancienne église Notre-Dame-de-la-Nativité dont le chœur est en partie roman du XIe et XIIe siècles. Le Calvaire et la chapelle des Saint-Anges-Gardiens de 1843.
Admirer le Château du Bois-Bide. Demeure de style Louis XIII, reconstruite au XXe siècle. La façade est composée d'un long corps de logis encadré de pavillons carrés, surmontés de hautes toitures. Une tourelle polygonale qui côtoie un des pavillons possède un toit en carène. Le côté ouest est constitué de bâtiments comprenant une orangerie du XVIIIe siècle et un colombier coiffé d'un petit lanternon. Au XVIIIe siècle, il abrita la famille La Motte-Piquet.
Le Château du Bois-Bide est entouré d'un parc repris par le paysagiste Henri Nivet en 1910, d'un potager et de jardins à la française datant tous deux du XVIIIe siècle. Avant le château actuel, le domaine comprennait alors un manoir du milieu du XVIIe siècle appartenant à la famille du Bourg et dont il ne subsiste plus qu'un colombier. Le domaine passe par alliance à la famille du Pontavice en 1830.
La commune abrite aussi le château de Gazon et les menhirs de Villaumur et de la Pierre Blanche.
Poursuivez vers Champeaux via la D29 (36 km), la commune de Champeaux prit de l'importance qu'au XVe siècle, lorsque les seigneurs d'Espinay y fondèrent la collégiale de la Magdeleine. Les papes unirent la cure de Champeaux au doyenné de la collégiale et cet état de choses persista jusqu'à la Révolution.
Prenez le temps de visiter la Collégiale Sainte-Marie-Madeleine de Champeaux. Elle a été fondée au XVe siècle par la famille d'Espinay. L’ensemble constitué par la collégiale et le cloître est un site classé. Accolé à la collégiale, il subsiste quelques maisons. Un magnifique puits de 1601 se trouve en son centre.
Admirer le château de l'Espinay, initialement surnommé « la Rivière », le château est reconstruit vers 1570, puis érigé en marquisat sous le nom d'Espinay en 1575. Il se compose d’un corps de logis du XVIee siècle, accolé à un donjon en ruines du xiiie siècle. Le parc était un magnifique jardin à la française, composé de quatre plans d'eau qui ont été transformés en étangs ; c’est un site classé par arrêté du 7 septembre 1943.
La porte du logis est l’un des plus remarquables témoins de la Renaissance en Bretagne. En 1799, pendant la suspension d’armes entre les royalistes et les républicains, les généraux royalistes et leur état major furent logés au château pendant que leurs troupes cantonnèrent dans le bourg. C’est une propriété privée non ouverte au public.
La Chapelle Saint-Job construite en 1512 se situe sur la route menant au château, encore surnommée autrefois Saint-Jacob, cette chapelle se trouvait autrefois face à une autre chapelle appelée Saint-Abraham, aujourd’hui en ruine, et étaient séparées par un vallon.
L'itinéraire vous conduit à présent à Marpiré via la D29 (39 km). Marpiré signifie « Pire que la Mare », terrain de marécage. Au XIIème siècle, des moines de Saint-Melaine de Rennes sont venus défricher le marécage de Marpiré. Aussi, Marpiré dépendit, jusqu’à la Révolution, des religieux de Saint-Melaine, qui l’annexèrent de bonne heure à leur prieuré de Notre-Dame de Vitré.
Marpiré a conservé une petite église romane derrière le cimetière. La charpente de la nef, du début du XVè siècle, a conservé l’essentiel de sa disposition d’origine. Elle détermine une silhouette trapézoïdale que l’on retrouve à la même époque dans la plupart des salles des manoirs bretons.
La nouvelle église Saint-Pierre du XIXe siècle : cette église, dédiée à Saint-Pierre-ès-Liens, de style ogival a un plan en forme de croix, avec abside à pans coupés, fut construite à l'initiative de l'abbé Jean Royer par l'architecte vitréen Audrouing.
Plusieurs ancien manoir se trouve sur la commune. L’ancien manoir de Maimberte ou de Mauberte et l’ancien manoir de la Champaignerie.
Prenez la direction de La Bouexière via la D106 (49 km). La Bouëxière recèle de nombreuses richesses patrimoniales et historiques : motte féodale et son donjon, le château de Bertry, ses églises... autant de sites à découvrir seuls ou en famille sur ce parcours touristique.
La seigneurie de Chevré : sur la paroisse de La Bouëxière est une belle et ancienne seigneurie baillée en partage au sire de Vitré par un duc de Bretagne, « en tous droits de chastellenie, bois, estangs, moulins et forests qui peuvent composer et décorer une belle terre ».
On trouve sur la commune de La Bouexière un important patrimoine notamment de nombreux châteaux et manoirs inventoriés :
Le château du Bertry, remontant au XVe siècle, le château du Carrefour, remontant au XVIIIe siècle, le manoir de La Bouëxière, il appartenait aux seigneurs de La Bouëxière au XIIIe siècle, l'ancien manoir de la Dobiays, le manoir du Haut Sevailles, le manoir du Domaine de Sevailles, le manoir du Bas-Sevailles, le manoir de la Jandinière, le manoir de la Houssaye, le manoir de la Haie Noëronde, le manoir de la Havardière, le manoir de la Porte, le manoir de la Gendrignère, l'ancien manoir de Ganeschier ou de Goprechier, le manoir de la Teillais ou Teillaye, le manoir du Carrefour, le manoir le Dioger, le manoir de la Colinière, le manoir de la Bonnerie, l'ancien manoir de la Maison-Neuve, le manoir de la Vallée et le manoir de Villeray de 1427.
Situé sur la commune de la Bouëxière, le site de Chevré est un lieu privilégié de par son patrimoine naturel et historique et une bonne occassion pour faire une pause sur cette route touristique des marches de Bretagne.
Le village médiéval de Chevré a gardé les traces d’une vie d’autrefois foisonnante avec sa motte féodale surplombée d’un donjon en pierre, son pont roman à sept arches du XIIIe siècle, sa chapelle frairienne du XIe siècle, un moulin et des maisons typiques qui confèrent au site un charme resté authentique.
Après cette pause bucolique, suivez la direction de Livré-sur-Changeon via la D528 et D112 (59 km). La commune est reconnue comme dotée d’un patrimoine historique riche et unique, en raison notamment de son abbaye classée du XIème. Flanez dans les rue pour admirer plusieurs maisons : la maison du XVIe située 9 place du Prieuré et au 12, une maison du XVIIe siècle.
Visiter l'église Notre-Dame une remarquable illustration de l'art roman breton. On y trouve une tapisserie de Bruxelles datée du XVe siècle et qui représente l'apparition du Christ à Marie Madeleine. Admirer l’abside et les deux absidioles ornées de peintures murales.
Plusieurs chapelles se trouvent sur la commune : la chapelle Saint-Mauront ou Saint-Modéran du XVe au XVIIe siècles. La chapelle Sainte-Anne de 1631, fondée par Jeanne du Feu, dame de La Chevalerie et l'ancienne chapelle de Saint-Mathurin. Elle était aux Templiers, puis aux Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem. Il ne reste que des ruines ayant fait l'objet de recherches archéologiques.
Pour la prochaine halte, suivez la direction de ?Saint-Aubin-du-Cormier via la D794 (67 km) située au cœur d’un bocage vallonné. La ville est forte d’un patrimoine historique riche et varié. L’histoire de Saint-Aubin-du-Cormier débute vers 1225 avec la construction du château. Celui-ci aurait été élevé par le duc Pierre Mauclerc pour tenir en respect les barons de Vitré et de Fougères et fermer la frontière entre la Bretagne, indépendante à l’époque, et la France.
Au cours des 13e, 14e et 15e siècles, la ville était régulièrement assiégée et saccagée. Afin de la protéger, le duc de Bretagne fit construire en 1450 une seconde enceinte autour du château et de la ville close. En 1488, une bataille sanglante éclate à l’ouest de la Ville, sur le site de la Lande de la Rencontre. Cette attaque, diligentée par l’armée française, avait pour objectif de réunir le duché breton au royaume de France.
La bataille de Saint-Aubin-du-Cormier s'inscrit dans la longue succession de conflits de La Guerre folle qui oppose, dans la deuxième moitié du 15e siècle, la royauté aux grands princes du royaume. ?Elle se déroule sur les landes situées à l'extérieur de la ville entre la forêt de Haute Sève et le bois d'Uzel sur différentes parcelles dont celle de la Lande de la Rencontre qui, par sa toponymie, en perpétue aujourd'hui le souvenir.
Environ 6 000 bretons et 1 500 français perdirent la vie lors de cette journée qui sonna le glas de l’indépendance bretonne. Après cette victoire de la France sur la Bretagne, le roi Charles VIII fit raser le château et couper en deux le donjon. Symboliquement, seule la façade est, tournée vers la France vainqueur, fut conservée.
Aujourd’hui, les ruines du château, que l’on peut découvrir en allant se promener sur les rives de l’étang, témoignent toujours de cet épisode marquant de l’histoire de la Bretagne.
Visiter le Château de Saint-Aubin du XIIIe siècle, dont il ne reste que des vestiges du donjon et les fondations de la première enceinte. De nombreux autres édifices présentent un intérêt patrimonial : l'église Saint-Aubin, de style néo-roman de 1899-1902 , construite par l'architecte Henri Mellet. Plusieurs manoirs : Bourg-aux-Loups, la Mottaye et la Bellangerie.
Si vous avez le temps passer voir les curieux rochers situés au lieu-dit Bécherel : un énorme bloc reste en équilibre et l'on joue à le balancer.
Une fois votre amusement à son terme, prenez la direction de Saint-Jean-sur-Couesnon par la D812 (71 km). En 1796, le bourg devient le lieu d’affrontement de la chouannerie contre Remagnes et, peu après. Dans la nuit du 3 au 4 Juillet 1795, ils mettent en place la destruction successive de tous les ponts de la commune dans le but de freiner les troupes circulant entre Rennes et Fougères.
Visiter l'église Saint-Jean-Baptiste en granit et grès. Au XIe siècle l’église de Saint-Jean est donnée à l’abbaye de Saint-Florent d’Anjou. A voir le manoir de la Dobiais (ou Dobiaye) du XVIIe siècle, le manoir possède deux corps de logis datant respectivement des XVIe et XVIIe siècles. Les vestiges du château sont inscrits au titre des monuments historiques.
Poursuivez votre chemin vers Vendel via la D812 et D22 (77 km). Une confusion entre Vendeu en gallo, Vendel en français et la ville de Vandôme, serait à l'origine d'une erreur sur la localisation du lieu où est mort le roi breton Nominoë. Les prérogatives guerrières et défensives des bretons, proches de leurs frontières, et une reconnaissance détaillée du terrain sur base des chroniques franques et bretonnes laissent penser que Nominoë serait bien mort au combat près de Vendel, et non près de Vandôme.
Découverte de vestiges de tuiles gallo-romaines ainsi que deux tombes de l'époque mérovingienne en bon état de conservation, près du calvaire en novembre 2005. Visiter l'église Saint-Martin du XIVe siècle.
Prenez la direction de Saint-Sauveur-des-Landes via la D105 (82 km). Les premières traces d'activités humaines indiquent une présence dès l'occupation romaine. Cependant, ce n'est qu'au11ème siècle, avec l'existence d'un oratoire et l'implantation par le seigneur de Fougères d'un poste stratégique au croisement de deux routes romaines, que le village émerge.
Durant la seconde moitié de Moyen-Age, la région de Fougères, connait une période de trouble. En effet, il s'agit d'une zone stratégique importante, aux portes de la Bretagne. Jusqu'au 17ème siècle, c'est un espace de conflit quasi permanent.
Visiter l'église prieurale Saint-Sauveur, en partie romane pour les arcades de la nef, le chevet.
Pour finir ce circuit touristique de la Route des marches de Bretagne, suivez la direction Haye-sur-Hilaire via la D18 (86 km). L’histoire de la ville de Fougères se retrouve également dans le fonds de La Haye-Saint-Hilaire, de manière tout à fait inédite et parfois méconnue, comme cette remontrance faite par les Fougerais au duc de Mercœur.
Le duc alors gouverneur de Bretagne, à propos de troupes stationnées en ville et au château dont le comportement excède la population et plus particulièrement les bourgeois et les marchands de la cité.
Le château de la Haye-Saint-Hilaire est un ancien château remontant au XIIIe siècle situé au sud-ouest du bourg de Saint-Hilaire-des-Landes. Il se trouve non loin de la route départemantale D 18 allant du bourg de Saint-Hilaire-des-Landes à celui de Saint-Sauveur-des-Landes.
Retour vers la forêt de Villecartier via la D155 (115 km) pour finir cette route touristique.
Fin de cette troisième étape du circuit touristique des marches de Bretagne : itinéraire entre Chateaugiron à la Forêt de Villecartier (115 km).
Le saviez-vous ?
Découvrez les Trois circuits de la route touristique
Circuit 1 Etape : "de la Forêt de Villecartier à Vitré"
Circuit 2 Etape : "Vitré à Chateaugiron"
Circuit 3 Etape : "Chateaugiron à la Forêt de Villecartier".
N'oubliez pas !
Par respect pour les habitants et l'environnement, merci de respecter les panneaux signalétiques et consignes. Merci de respecter le droit de propriété et de ne pas pénétrer sur les terrains privés.
Pour vous rendre sur le Circuit de l'étape "Chateaugiron à la forêt de Villecartier"
Châteaugiron
5 °C Couvert
Min: 5 °C | Max: 5 °C | Vent: 18 kmh 100°
Nos coups de coeur sur le circuit de l'étape "Chateaugiron à la forêt de Villecartier"
Hébergement :
Restauration :
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Date de dernière mise à jour : 06/07/2021
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