Circuit de la Route Jacques Coeur (18 et 45)
Circuit de la Route Jacques Coeur : au coeur du Centre-Val de Loire !
Au cœur de la France dans le Centre-Val de Loire découvrez pendant vos vacances la richesse et le charme des châteaux, sites et villes de caractère en parcourant la Route Jacques Coeur. Doyenne des routes touristiques de France et historique, la Route Jacques Cœur vous conduit de châteaux étonnant, en cités de mémoire, de bâtisses Renaissance en demeures gothiques, dont voici quelques joyaux.
Les châteaux et édifices réservent des surprises à chaque étape de cette Route Jacques Cœur, tant les constructeurs d'autrefois avaient mis de soin à trouver le "bel endroit", tantôt caché derrières les branches, tantôt au fond d'une vallée ou encore au centre d'un grand parc entouré de murs ou de fortifications.
Un parcours historique et touristique à la croisée du Moyen Âge et de la Rennaissance. On en compte aujourd’hui seize et ce sont autant d’étapes où vous pourrez stopper votre véhicule, selon vos envies et vos centres d’intérêts.
Tous les sites ne sont pas imprégnés directement du souvenir de Jacques Cœur. Mais ils balaient l’histoire d’une région riche de seigneuries, de souvenirs monastiques et de cités médiévales. « Un territoire qui a vu naître la Renaissance », assure-t-on au château d’Ainay-le-Vieil.
Votre itinéraire et visites sur le Circuit de la Route Jacques Coeur
Les vacances... La route Jacques Cœur… Ses itinéraires, ses étapes… Sa richesse et sa variété… dans la beauté des pays berrichons, où l’on passe des vallons aux grands plaines, entre rivières, forêts et bocages, pour découvrir ici et là, en ville ou dans les campagnes, palais, châteaux et paysages.
Cette escapade de vacances sur la Route Jacques-Cœur, qui serpente entre le Cher et le Loiret, a été créée pour mettre en valeur le patrimoine de la région. Elle offre un détour par Bourges et son palais Jacques-Cœur, d'architecture gothique, ou encore par la cathédrale Saint-Etienne. Cette belle route touristique et romantique française se trouve au coeur du Centre-Val de Loire.
Au fil des visites sur la Route Jacques-Cœur, se déroulent les pages de l'Histoire du Berry, avec le souvenir des grands personnages qui ont habité ou sont passés dans ces lieux. C'est en 1954, que plusieurs propriétaires de châteaux du sud du Cher, à Ainay-le-Vieil, Meillant et Culan décident de créer un circuit touristique qu'ils vont appeler la "Route de Jacques Cœur".
La Route Jacques Coeur passe par Culan dont les ponts furent dynamités par la Résistance durant la Seconde Guerre Mondiale. Ce dynamitage effectué après le débarquement en Normandie obligea les Allemands à passer à gué la rivière Arnon ce qui ralentit leur retraite. Le Château de Culan qui date du XIIème siècle est la principale attraction touristique de la petite ville du Cher.
Le château suivant se situe à Ainay-Le-Vieil, il est composé de deux parties très différentes, à savoir une partie féodale et une partie renaissance. Il dispose de tous les éléments caractéristiques de ces deux époques puisqu’on peut y voir des tours, des remparts crénelés, des cachots, des douves et un pont-levis.
La Route Jacques Coeur continue jusqu’au Château de Meillant qui est très semblable au Château de Sagonne. L’histoire de ce château fut forgée par plusieurs familles qui ont laissé, chacune, leurs traces dans le Château. La Tour du Lion est particulièrement remarquable de par sa décoration exhubérante commandée par Charles II d’Amboise.
Il est conseillé de consacrer plus de temps à la visite de Bourges car, dans l’ancienne capitale du Berry, se trouvent le Palais Jacques Coeur, la Cathédrale Saint Etienne, plusieurs bâtiments de grande valeur historique ainsi que des musées. Sur la Route Jacques Coeur, peuvent également se visiter le Château de Maupas à Morogues et le Château de Verrerie à Oizon.
De Ainay-le-Vieil à Saint-Amand-Montrond.
À l’extrême sud de ce parcours de la Route Jacques Cœur et du département du Cher, dans ce paysage vallonné de bocage que vous découvrez lors de votre escapade et qui juxtapose champs de céréales et prairies. Le château se dresse 2 kilomètres à l’écart de la D2144. Forteresse remarquable du XIVe siècle, elle enserre dans ses remparts aux neuf tours un splendide logis à tour d’honneur, de style gothique tardif.
Souvent décrit comme un "petit Carcassonne" par sa typologie, Ainay-le-Vieil appartient à la même famille depuis... 1467. Et qui était le propriétaire précédent ? Jacques Cœur... La girouette du château d’Ainay indique le Nord. A Ainay-le-Vieil ce sont les souvenirs des grands personnages de l'Histoire de France, Louis XII bien sûr, mais aussi Colbert, Marie-Antoinette et même Napoléon.
Une promenade dans le parc et sa roseraie permet de se ressourcer dans notre Histoire médiévale et de songer à Anne de Bretagne.
Cap alors sur Saint-Amand-Montrond, la "ville de l’or", située à 10 kilomètres. On s’aperçoit qu’elle n’y roule hélas plus beaucoup sur l’or, la crise ayant laissé des traces dans cette ancienne capitale de l’imprimerie. Saint-Amand-Montrond reste pourtant une référence en matière de travail du métal jaune. Spécialisée dans l’or creux, elle abrite toujours quelques ateliers de bijouterie et des créateurs.
Une histoire singulière à découvrir à la « Cité de l’Or », sous la pyramide de verre érigée à l’extérieur de la ville. Un palais des temps modernes en forme de pyramide que n’aurait pas désavoué Jacques Cœur, lui qui fut un précurseur dans le domaine architectural.
A Saint-Amand Montrond c'est le souvenir de Sully ou du Grand Condé qui hante les souterrains de la forteresse de Montrond. Quant au musée Saint-Vic, il possède de nombreuses œuvres dont les sculptures de Popineau.
5 kilomètres plus loin de Saint-Amand-Montrond, voici l’abbaye de Noirlac. Splendeur de l’art cistercien, elle déploie son architecture minimaliste de la fin du XIIe siècle. A Noirlac, venez, vous ressourcer au sud du département du Cher, impossible d’ignorer l’abbaye cistercienne de Noirlac, fondée en 1150 et sauvée par Prosper Mérimée, représente ce que Saint Bernard voulait réaliser en réaction à l’Ordre de Cluny.
Une abbaye où la lumière, la rigueur et le dépouillement architectural permettent aux moines de se consacrer entièrement à Dieu.
De Bruère-Allichamps, centre officiel de la France, à Bourges
Que diriez-vous d’un petit crochet par le centre de la France ? A 3 kilomètres à l’est de l’abbaye, l’arrêt s’impose à Bruère-Allichamps, commune sans grâce mais officiellement reconnue comme le « centre géographique de la France », titre que lui disputent toutefois trois villages voisins...?
Vous trouverez sur votre chemin le château de Meillant, et son gothique flamboyant est somptueux, avec sa tour du lion et un soupçon d'influence italienne, la Renaissance est en marche. L'intérieur, magnifiquement meublé, a conservé le charme de 1505 année de la visite du roi Louis XII…. Qui est venu visiter son parent Charles d'Amboise, lequel était absent de chez lui ce jour là, ce qui mit le roi en fureur.
Les voyages officiels des grands de ce monde ont bien changé depuis cette époque. Après le château de Meillant et un passage à Dun-sur-Auron avec son joli beffroi, vous apercevrez depuis la champêtre D953 des villages recouverts de tuiles
A Dun-sur-Auron vous arpenterez ses remparts et admirerez son beffroi, des réalisations emblématiques de l’architecture du XVe siècle et rejoindrez peu à peu les faubourgs de Bourges. Il sera alors temps de stationner le véhicule : un aire pour camping-cars se trouve au stade de Séraucourt pour découvrir à pied la « patrie » de Jacques Cœur.
Bourges de prime abord austère et grise cache quelques joyaux, autour de la splendide cathédrale gothique Saint-Étienne inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco. Premier d’entre eux, évidemment, le Palais Jacques-Cœur tout d’arabesques et de raffinement Renaissance.
Arrivés à Bourges, vous ne manquerez pas son Palais, mais aussi les apports de Jacques Cœur dans la Cathédrale Saint-Etienne de Bourges, pour laquelle il dépensa beaucoup d’argent. Son fils Jean, ne fut-il pas archevêque de Bourges ? Il faut admirer la sacristie et ses vitraux, ou encore sa chapelle, représentant une Annonciation, probablement un des plus beaux vitraux français du XVe siècle.
Vous ne quitterez pas Bourges sans un long arrêt au Palais Jacques Cœur, probablement le plus magnifique édifice civil du XVe siècle. La rénovation de sa façade extérieure, a mis à jour des frises ciselées et des personnages d’une grande pureté. Les sculptures ou bas-relief des pièces et cheminées, dont un cul de lampe qui figure la légende de Tristan et Iseult valent amplement le détour !
Bourges a d’autres atouts dans sa manche et surprendra notamment par son écheveau de ruelles médiévales, bordées de maisons à pans de bois ou à tourelles. Les plus remarquables se trouvent dans les rues Bourbonnoux, Jacques-Cœur et dans celle des Armuriers, ainsi que dans le petit quartier formé par les rues Montcenoux, Samson et Michelet. Une journée ne sera pas de trop pour visiter les « essentiels » de la ville.
Mehun-sur-Yèvre et sa tour rescapée
De nouveau sur la route, le détour par Mehun-sur-Yèvre se justifie. Dans cette petite ville située à 20 kilomètres au nord-ouest de Bourges, plane le souvenir de Charles VII.
En direction du vignoble de Sancerrois, l’itinéraire rectiligne traverse des massifs boisés, prémices de la Sologne.
Voilà que pointe ensuite l’immense château de Menetou-Salon, témoin de l’incommensurable richesse de Jacques Cœur. Le marchand l’acquiert au XVe siècle, grâce aux fortunes accumulées par son commerce avec l’Orient et aux bénéfices tirés de l’Argenterie royale, dont il est le maître. La demeure, agrandie au XIXe siècle dans un style néogothique, rappelle la façade du Palais Jacques Cœur. La propriété et son vignoble appartiennent aujourd’hui au prince d’Arenberg.
Sancerre, halte pour gourmets
À 30 kilomètres au nord-est, par la D955, Sancerre et ses blancs fruités pointent sur leur tertre le bout de leurs cépages. C’est l’occasion d’une halte gourmande dans l’une des caves ou restaurants de la ville (ou du charmant village de Chavignol). Depuis la D307, en direction de Ménétréol-sous-Sancerre : au sortir d’une épingle, vous trouverez un coin d’herbe pour garer le véhicule, avec un banc. Idéal pour profiter des ondulations de vignes épousant le relief, sur fond de village de Sancerre.
De Neuvy-deux-clochers à la Chapelle-d'Angillon
Passé le parc de Pesselières et son "jardin remarquable", restauré avec passion par Pascal Fontanille, empruntez les départementales D59, D46 et D12, via Neuvy-Deux-Clochers, Morogues et Henrichemont étonnant village en cœur étoilé, créé par Sully au XVIIe siècle.
L’odeur de sous-bois et d’étangs typique de la Sologne a déjà imprégné votre odorat lorsque vous parvenez à La Chapelle-d’Angillon, où l’arrêt s’impose. Ce village-rue d’allure quelconque, coupé en deux par la D940, ne peut laisser insensible les fans de romans : c’est ici qu’est né Alain-Fournier, l’auteur du Grand Meaulnes, chef-d’œuvre de la littérature romantique française. Sa maison natale, très modeste, trône au bord de la route.
A La Chapelle-d'Angillon, se trouve l'un des plus anciens donjons du Berry, qui fut acheté par Sully. Dans cette demeure, que l'on visite en chaussant des patins pour protéger le parquet de chêne, a été aménagé un émouvant petit Musée Alain-Fournier, l'enfant du pays qui, dans Le Grand Meaulnes, rebaptise le château sous le nom de la Ferté d'Angillon.
Dame de beauté, la princesse de Clèves aimait se rendre dans le château de La Chapelle d'Angillon,. C'était dans les temps anciens une principauté souveraine, celle de Boisbelle, un peu comme Monaco. Se succédèrent aussi le duc de Nevers et le grand Sully et de nombreux souvenirs hantent les lieux. Plus imprévu, le propriétaire des lieux a installé une mini exposition permanente... consacrée à la monarchie albanaise et au souverain Zog Ier.
De La verrerie d'Oizon à la faïence de Gien
Il est pourtant un autre château qui soutient la comparaison : La Verrerie à Oizon à 12 kilomètres au nord de la Chapelle-d’Angillon, par la D926. Son architecture Renaissance surgit au milieu des bois, au bord d’un vaste étang. Le domaine a appartenu à Charles VII. Il l’offre aux Stuart, la famille royale écossaise. Ces derniers y font construire le château et n’auront de cesse de l’embellir.
Oubliée par la suite, la demeure sera redécouverte en 1842 par Léonce de Vogüé. La famille détient toujours cette bâtisse et son domaine de 800 hectares. On découvre par la visite les beaux salons, la bibliothèque, la chapelle et la galerie à trophées de chasse, mêlant histoire écossaise et berrichonne. « Il arrive que l’été, nous voyions ici des hommes en kilt », sourit Ghyslaine, une des guides-conteuses de La Verrerie.
Le Château de la Verrerie est un joyau de la Renaissance édifié par Béraud Stuart, au bord d'un grand lac entouré de forêts. Ce lieu recèle des sentiers où Alain Fournier aimait se promener. Il fut donc propriété des Stuarts pendant deux siècles, puis Louis XIV l'offrit à Louise de Kéroualle, duchesse de Porstmouth.
L'intérieur recèle des trèsors qui font réver, comme des Pleurants qui ornaient le tombeau du duc Jean de Berry. La chapelle conserve un ensemble de fresques du XVI e siècle particulièrement remarquables. Le soir venu, chacune des 12 chambres, riche de son passé, vous accueille pour une nuit magique.
A Aubigny-sur-Nère vous entrez dans la cité des Stuarts. Les maisons à colombage rivalisent de beauté. Chaque saison, des expositions vous sont proposées. La visite du centre ville d'Aubigny-sur-Nère est agréable ; nombreux commerces autour de la place et dans les rues adjacentes, maisons aux pans de bois bien entretenues.
Sur la route de Bourges, la cité d'Aubigny-sur-Nère vit à l'heure des Stuart depuis le XVe siècle, lorsque de nobles Ecossais vinrent prêter main-forte à Charles VII pour bouter l'Anglais hors de France. En retour, ils obtinrent la propriété des terres d'Aubigny sur lesquelles ils régnèrent jusqu'au XVIIe siècle. En juillet, lors des festivités commémoratives, il n'est pas rare de voir des touristes en kilt dans les rues de cette souriante bourgade où le souvenir des très riches heures de cette "Auld Alliance" franco-écossaise est entretenu par une épée fichée dans la roche, façon Excalibur.
Après Aubigny, l’air de la Loire approche. Voilà Argent-sur-Sauldre et son château-musée des Métiers et des Traditions de France. Autre lieu, autre personnage, à Argent-sur-Sauldre, avec le souvenir d'un homme plus proche de nous, l'Abbé Moreux, sublime savant du XXe siècle. Par ses observations et ses recherches sur l'alchimie il aurait aimé travailler l'or et l'argent dans les mines de Jacques Cœur situées dans les Monts du Lyonnais.
A la rencontre des artisans du temps passé, de leur trésors d'ingéniosité et de leurs savoirs oubliés. Entre contes et légendes, souvenirs et témoignages, laissez-vous guider dans un monde où l'outil prend la vie et où le geste devient magique. Le château, construit par Victor Louis comprend un magnifique musée des Métiers et des Traditions de France. Argent-sur-Sauldre est situé à quelques lieues au nord d'Aubigny-sur-Nère.
Au bord de la Route Jacques coeur, en bordure de Sauldre, rivière qui borde le site, le château de Boucard, une famille qui possède une vocation de bâtisseurs, les tours d’angles et le donjon montrent un art médiéval exemplaire. Il date de 1350 et fut retouché au siècle suivant par un membre de la famille. La Renaissance est passée par là… Boucard est situé à une quinzaine de kilomètres de Sancerre, entre La Verrerie et Maupas.
Le château de Boucard avec ses tours d'angle et le donjon montrent un art médiéval consommé. Il date de 1350 et fut remanié un siècle plus tard par un Lancelot de Boucard qui introduisit une touche Renaissance à l'édifice, en particulier à l'intérieur, au grand étonnement du visiteur.
Le Château de Blancafort, qui fut édifié au XVIe siècle, par la famille de Boucard, se situe au centre de l’Europe de l’Euro, ce qui lui a valu une forte couverture médiatique, une distinction que n'aurait pas désavoué Jacques Cœur qui avait inventé un écu, appelé "le Gros de Jacques Cœur".
Ces deux châteaux Blancafort et Boucard,ont quitté la Route en 2006.
La Bussière, et son château des Pêcheurs, est posé au milieu d’un lac entouré d’un parc dessiné par Le Nôtre. Remarquable ! l'élégant château de la Bussière. Ses façades de briques polychromes, son jardin à la française et son original Musée des pêcheurs qui laisse admirer une collection de moulinets anciens et de flotteurs armoriés.
Puis Gien et sa faïence, première ville officielle de la route des châteaux de la Loire. La ville de la faïence, célèbre dans le monde entier, possède un musée de la chasse qui n’a pas d’équivalent en France. Un peu plus au sud, la chasse est à l'honneur avec les trophées et les "massacres" du Musée de Gien, cité dont les fameuses faïenceries ont su s'émanciper du fameux "bleu de Gien" avec un bonheur certain.
Le président de l'association, Pascal Fontanille, propriétaire du Parc et Château de Pesselières, ainsi que tous les membres, ont travaillé avec passion pour vous faire découvrir toutes les richesses de leur région tout en suivant le fil de la Route... La Route Jacques-Cœur ne cesse d'évoluer et d'innover pour le plus grand plaisir des visiteurs.
A l'intérieur des châteaux, le touriste découvre un mobilier particulièrement riche. Il faut dire que ces lieux sont généralement habités par leurs propriétaires, ce qui donne un caractère très particulier. On découvre aussi des collections ou des objets uniques. Ainsi, des pleurants du tombeau du Duc Jean de Berry sont présentés à La Verrerie, alors que Maupas possède la plus extraordinaire collection d'assiettes de faïence de France, avec 887 assiettes exposées au public, comprennent une batterie de casseroles, plats et autres louches en cuivre comme on n'en trouve nul part ailleurs…
Certains sites ne se trouvant pas directement sur la Route Jacques-Cœur sont partenaires de l'association : du sud au nord l'école du Grand Meaulne d'Épineuil-le-Fleuriel, les jardins de Drulon de Loye-sur-Arnon, le musée de la poterie des Archers-le-Châtelet, le musée des arts et traditions paysannes de Saint-Hilaire-en-Lignières, l'espace métal de Grossouvre, le château Charles VII de Mehun-sur-Yèvre, l'Historimage de Neuvy-sur-Barangeon, le pôle des étoiles de Nançay, les châteaux de Boucard du Noyer et de La Bussière.
Le saviez-vous ?
En 2017 le pass privilège Jacques Coeur permet à son détenteur de bénéficier d'un tarif réduit dans plus de 50 sites et villes touristiques du Berry et ce pendant un an à partir de la date d'achat :
Château de La Bussière (45), Musée du Pont Canal de Briare (45), Le Jardin de Marie à Neuilly-en-Sancerre, Labyrinthe végétal de la Brissauderie à Jars, Grange pyramidale de Vailly-sur-Sauldre, La Maison de Loire du Cher, sorties Nature, Tour de Vesvre, Cathédrale Jean Linard, Le Musée de la Loire à Cosne-Cours-sur-Loire (58), La Tour du pouilly-Fumé à Pouilly-sur-Loire (58), Galerie Capazza à Nançay, Pôle des Etoiles à Nançay, Château de Bouges (36), Jardins et arboretum de Poulaines (36), Musée des potiers du village des Archers (Le Châtelet), Jardins Artistiques de Drulon, Musée de l'Âne et du Cheval, à Lignières, Musée des Arts et Traditions Paysannes (Château du Plaix) à St Hilaire en Lignières, Maison de Jour de Fête - ste Sévère sur Indre (36), L'Odyssée du Berry à Vornay, Forteresse de Montrond, Maison Ecole du Grand Meaulnes, Tuilerie Sauvard, CIAP La Guerche-sur-l'Aubois, locations nautiques Village de Goule, Visite de village Ainay-le-Vieil, Le Berry en 2 CV, Halle de Grossouvre, Espace métal, Maison des Sancerre , 18 sites de la Route Jacques Coeur.
Pour vous rendre sur le Circuit de la Route Jacques Coeur
Saint-Éloy-d'Allier
-0 °C Couvert
Min: -0 °C | Max: 2 °C | Vent: 11 kmh 157°
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Date de dernière mise à jour : 07/07/2021
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