Richard Cœur de Lion Circuit 2
Votre itinéraire et visites sur le Circuit 2 de la Route touristique "Richard Cœur de Lion"
Après cette pause à Ladignac-le-Long, le circuit passera au Chalard via la D901 (4,8 km). Une tradition veut que Roger, vicomte de Limoges, ait fondé en 801 un premier monastère en ce lieu et que celui-ci ait été détruit par les Normands lors de leur incursion en Limousin, en 846. Vers l’an mil, ses descendants dressent sur cet épaulement naturel une tour appelée en langue romane « castellare » qui se transforma en Chalard.
Le charmant village médiéval de Le Chalard est connu pour ses mines d’or qui y furent exploitées dès l’époque Gauloise. Au Ve siècle av. J.-C., les Gaulois commencèrent à exploiter les mines d'or du Chalard. On peut encore aujourd'hui observer des creux dans certaines forêts de la commune.
L’édification d’une abbaye au XIème siècle par Saint Geoffroy et ses moines est à l’origine du développement du Chalard. Le bourg médiéval du Chalard possède une magnifique église architecture romane du XIe siècle. Cet édifice, fortifié pendant la guerre de Cent Ans, abrite de beaux chapiteaux sculptés ainsi que le tombeau de saint Geoffroy, fondateur de cette église.
Au pied du chevet de l'abbatiale s'étend un cimetière médiéval, le cimetière des Moines, doté de quarante tombes datant du XIIe siècle, certaines pierres tombales sont sculptée.
Parcourez les ruelles du Chalard jalonnées de vieilles maisons restaurées avec passion. Admirez la maison des Anglais du XIIIe siècle, la seule demeure ancienne du village n'ayant subi aucune transformation majeure, elle a conservé de magnifiques baies gothiques. La maison dite la "Baille" du XVe siècle avec ses tourelles et échauguettes…
A découvrir également les vestiges du prieuré Notre-Dame, XIe siècle, propriété privée, accessible lors des journées européennes du patrimoine. La salle capitulaire en est la plus belle partie, elle renferme plusieurs tombes dont celle de Gouffier de Lastours et le très beau pont médiéval de "la Tour" qui enjambe l'Isle à proximité des ruines du château des vicomtes de Limoges.
Vos porchaines visites se situera en Dordogne dans Jumilhac-le-Grand via la D78 (15,4 km). Connue principalement pour son château, la commune de Jumilhac-le-Grand, tiraillée entre Périgord et Limousin, garde jalousement dans son sous sol un métal précieux, déjà exploité ici par les Gaulois en leur temps.
Partez à la découverte de ce château de Jumilhac construit entre le XIIIe et le XVIIe siècle, ainsi que ces jardins sur les thèmes de l’or et de l’alchimie. Dressé sur un éperon rocheux il domine la haute vallée de l’Isle. Vous apprendrez l’histoire du château et de sa famille à travers les siècles. Appartenant à la même famille depuis le XVIe siècle, les Marquis de Jumilhac.
Tout comme Saint-Yrieix à 12 kilomètres, le Château de Jumilhac formait, aux marches du Limousin et du Périgord, une ligne de défense lors des incursions wisigothes, franques, sarrasines, normandes et anglaises (1190), sans oublier la Guerre de Cent Ans. Le château, est l’âme du village il fut protégé de la Révolution par les habitants du bourg.
Des jardins à la française rénovés depuis 1994 par l'actuel marquis de Jumilhac donnent en bordure de l'église, au-dessus de l'Isle. Leur dessin repren,d les concepts des jardins en terrasse Renaissance et les principes de Le Nôtre et évoquent l'or et l'alchimie, deux thématiques associées à l'histoire du site.
Au sud du château, l'église Saint-Pierre-ès-Liens, ancienne chapelle castrale du XIe siècle, un fort beau bâtiment, en grande partie roman. Un très beau clocher octogonal limousin se dresse à la croisée du transept, jouant finement entre lumière et ombre. Tout en bas de l’actuel château se trouve un pont qui relie la rive droite de l’Isle à la rive gauche, le pont de la Croix Bancaud.
Fin du XIIe siècle, s’installera un prieuré de l’ordre limousin de Grandmont, il subsistera jusqu’à la fin du XVIIIe siècle. Une importante partie des bâtiments peut se voir, près du pont de La Faye.
Continuez vers Saint-Yrieix-la-Perche par la D78 et la D18 (27,5 km), cette cité médiévale fait partie du réseau des "Plus Beaux Détours de France". C'est l'une des six villes-portes du parc naturel régional Périgord-Limousin.
Saint-Yrieix-la-Perche est une ville où il fait bon flâner. La cité médiévale dallée en pierre de Saint-Yrieix s’ouvre sur la place Attane avec sa vaste collégiale bâtie par des chanoines ambitieux grâce à la générosité des Ducs d’Aquitaine. A ses côtés, la Tour du Plô, donjon médiéval des Vicomtes de Limoges, amorce la descente vers les ruelles pittoresques avec hôtels particuliers en pierres et pans de bois.
Une promenade à pied dans les ruelles médiévales typiques permet de découvrir les différents aspects de son patrimoine : unité architecturale des façades de la place de la Nation, pittoresques chemins d'En Dalou et rives du Couchou, rues étroites de l'Enclos, maison Henri IV ou dans les jardins de Moulinassou pour un moment de calme en bordure du Couchou.
Poursuivre ce parcours touristique vers Coussac-Bonneval via la D57 et la D17 (43 km). En 1242, Coussac aura un rôle stratégique de premier plan : verrou du grand chemin de Limoges à Ségur et au Bas-limousin, le bourg devint, après les traités de Brétigny-calais, l'un des enjeux des luttes franco-anglaises dans la région.
C'est aussi à la faveur de la guerre de Cent ans que les De Bonneval ont accentué leur implantation locale, et en même temps grimpé dans la hiérarchie nobiliaire.
Le château de Bonneval est un domaine privé, reconstruit au XIVe siècle, la cour intérieure a été restaurée en 1900. L’intérieur possède un très riche mobilier qui en fait un musée vivant d’arts décoratifs. Une forteresse existait depuis au moins 930, attestée par une pierre portant cette date et incrustée dans la maçonnerie de la tour d'entrée.
Le château de Bonneval est relativement célèbre pour appartenir à la même famille depuis sa construction, et avoir appartenu à Claude-Alexandre de Bonneval (1675-1747) qui devint pacha après sa conversion à l'islam et son passage au service de l'Empire Ottoman.
Admirer l'église Saint-Saturnin du 15e siècle, elle abrite une litre funéraire du 16e siècle dédiée à la famille de Bonneval, ainsi qu’une magnifique fresque dorée à la feuille d’or offerte à la paroisse par la famille de Bonneval. Vous pouvez aussi voir une lanterne des morts, restaurée au 16e siècle. Selon la tradition orale, elle servait de repère au voyageur égaré et de mise en garde en cas d’épidémie de peste dans le village.
Incursion en Corrèze pour visiter Ségur-le-Château, via la D901 et D17 (57,2 km). Merveilleux village, niché dans une boucle de l'Auvézère et protégé par un éperon rocheux. Ségur-le-Château et ses vieilles maisons nobles dominées par les imposants vestiges du château constituent un ensemble pittoresque qui lui vaut de figurer parmi les plus beaux villages de France.
L'histoire de Ségur est avant tout celle de l'une des forteresses principales des vicomtes de Limoges dont le dynamisme est, de toute évidence, à l'origine de l'importance du castrum vicomtal et de l'essor de la bourgade. Durant la guerre de Cent Ans, la forteresse de Ségur, après une occupation par les Anglais entre 1361 et 1374, est confisquée par le roi de France.
Elle devient une place forte royale administrée par des capitaines sur lesquels les vicomtes n’avaient aucune autorité. Entre-temps, la vicomté de Limoges était passée à la suite du mariage d'Arthur II de Bretagne avec Marie de Limoges en 1275, aux maisons de Bretagne et de Blois qui ne se préoccupèrent guère de la cité de Ségur.
Le vicomte de Ségur semble retrouver la jouissance de la seigneurie vers 1422-1424. Cependant, dans la première moitié du xve siècle, le vicomte Jean de Blois dit « de l’Aigle », capitaine au service du roi de France, parvint à adjoindre à sa vicomté limousine le comté de Périgord en 1437.
L'ancien château de Ségur-le-Château, fièrement établi sur un éperon rocheux entouré par l'Auvézère, conserve d'imposants vestiges du XIIesiècle. Il domine les vieilles maisons de la cité médiévale pleine de charme. En contrebas, les vieilles demeures à colombages et à tourelles des XVe, XVIe et XVIIe siècles témoignent de l'époque faste que connut le village par le passé.
La maison Henri IV aux fenêtres à meneaux, la maison Boyer à pans de bois et encorbellement ou encore la tour Saint-Laurent en sont quelques remarquables exemples. Au petit bonheur la chance, vous découvrirez, par une porte ouverte, un escalier à vis en pierre conduisant à de vastes salles où trônent des cheminées monumentales.
Ségur-le-Château présente un magnifique patrimoine historique et architectural qui séduit tous les visiteurs qui passent par là. Il a vraiment de quoi séduire les promeneurs amoureux d'histoire et de vieilles pierres.
Pour la prochaine étape sur cette itinéraire de la route "Richard Coeur de Lion, vous irez à la rencontre des chevaux de sport du haras d'Arnac-Pompadour via la D6 et D7 (67,8 km). Mais aussi des Percherons et des Traits Bretons, chevaux de trait régulièrement attelés. Vous découvrirez l’histoire du château et l’impact qu’a pu avoir le haras sur cette forteresse au travers de onze pièces meublées.
Petite ville célèbre par son château, cadeau de Louis XV à sa favorite Jeanne Le Normant d'Etiolles, Pompadour l'est également par son Haras National et sa Jumenterie unique en France. Chacun trouvera un intérêt à découvrir Pompadour et ses environs. La chapelle Saint-Blaise sera aussi une découverte absolument incontournable à faire.
A découvrir également, la prieurale d'Arnac, à l'origine petit sanctuaire, elle fut reconstruite et transformée en prieuré au XIe siècle par Guy de Lastours, celui-là même qui était à l'origine du château de Pompadour.
Passez Lubersac, puis prendre la direction de Château-Chevix via la D901 et D70 (97,7 km). Le village est l'un des plus anciens de l'Antiquité tardive et du haut Moyen Âge en Limousin. La tour médiévale, bien conservée dans son architecture extérieure, est le seul vestige visible d'un château construit aux limites de l'ancienne vicomté de Limoges.
Ancien donjon du château à motte construit au XIIème et qui fut volontairement incendié par son propriétaire en 1553. Solide, remarquablement bâtie, elle témoigne de la richesse de son constructeur : le Vicomte de Limoges. L' association "Les Amis de la Tour" de Château-Chervix, s'occupe de sa mise en valeur. Visite libre de l'extérieur de la tour toute l'année. Visite guidée sur réservation auprès de l'Office de tourisme Briance Sud Haute-Vienne.
Sur la place haute de Château-Chevix qu’elle domine de ses 32 mètres. On l’aperçoit, dès la nuit tombée, de fort loin sous la lumière dorée de ses projecteurs.
Vous pouvez aussi découvrir l'église Saint-Sylvain-du-Château de style roman édifiée en 1096, ellet dépendait de l'abbaye Saint-Martial de Limoges. Les habitations du vieux bourg de Château-Chevix sont typique du Limousin en gardant en grande partie les caractères des siècles passés.
Continuez vers Pierre-Buffière via la D19 (110 km). Pierre-Buffière, « Petra-Buffiera », pierre où souffle le vent, a des origines gauloises. Bien plantée sur son promontoire rocheux dominant trois rivières, la Briance, la Breuilh et le Blanzou, la cité vous ouvre ses portes et vous invite à vous engager dans ses rues calmes et attrayantes afin de découvrir cette merveilleuse cité de caractère pittoresque aux bâtiments chargés d’histoire.
Au détour des ruelles, flanez jusqu'à l’église Sainte Croix avec son portail unique en France où figurent 15 médaillons de porcelaine polychrome sur fond bleu de four. Vous pourrez admirer l’hôtel des 3 Anges, ancien relais de poste du XVIème siècle qui accueilli le Pape Pie VII après sa libération de la prison de Fontainebleau par Napoléon.
Ne repartez pas de Pierre-Buffière avant d’avoir fait un tour à la villa d’Antone, villa gallo-romaine dont les fouilles se poursuivent et sont mises en valeur par l’association Dupuytren Mémoire Vivante. Le site est entouré d'habitats gallo-romains, dont l'un des plus importants est la villa d'Antone. Situé au milieu d'un maquis sur le plateau des Boissières à l'est de la cité.
En bas à droite le château de Tranchelion. Propriété des vassaux des seigneurs de Pierre-Buffière. Fortifié d'une tour carrée, il commandait le passage des rivières Briance et Breuilh. A mi-chemin de la montée, on voit l'église St-Côme et St-Damien.
Après cette visite dans ces vestiges gallo-romains, reprenez la route vers Chalucet par la D15 et D32 (119 km). Situé à Saint-Jean-Ligoure, tour à tour habitée par des seigneurs ou des brigands, la forteresse de Châlucet jugé sur un éperon rocheux veille encore sur la vallée de la Briance. Châlucet en a vu de toutes les couleurs !
La forteresse médiévale de Châlucet constitue l’un des éléments patrimoniaux majeurs du limousin. Châlucet a été fondé vers 1130 par deux chevaliers de la famille des Jaunhac, suzerains du vicomte de Limoges. Le castrum était alors dirigé par plusieurs chevaliers entre 20 et 30 familles, qui en étaient les co-seigneurs. En échange de leur protection militaire, ils recevaient une maison, un jardin et une rente payée par les villages des environs.
À la fin du XIIIe siècle, Géraud de Maulmont, conseiller des vicomtesses de Limoges Marguerite et Marie et du roi de France, déjà bâtisseur de Châlus Maulmont, transforme la petite forteresse fondée par les Bernard de Jaunhac pour le compte de l'abbé de Solignac en un immense palais fortifié.
Chalucet devient alors le plus grand château fortifié du Limousin. Ironie de l'histoire, son rôle défensif, avant tout dissuasif jusqu'au XVe siècle, a été pleinement utilisé durant la guerre de Cent Ans par des bandes de pillards qui écumaient le pays.
Quel agréable moment que de flâner à Châlucet et de pouvoir contempler les vestiges de sa grandeur d'antan, noyés dans la végétation. Amoureux des vieilles pierres et de la nature, la visite de la forteresse médiévale de Châlucet va vous plaire. En vous promenant dans les ruines du «haut» et du «bas» de Châlucet, vous pourrez admirer l’impressionnante façade ainsi que des vestiges de sa grandeur d’antan.
Autour de la tour Jeannette, qui était la tour du bas castrum, il y avait un véritable village. On sait aussi qu’il y avait des faubourgs, des jardins, des vergers et peut-être des vignes. Montez au sommet de la tour Jeannette afin de découvrir un superbe panorama sur la vallée de la Briance.Du château-haut, construit par les Jauhnac, il ne reste aujourd’hui aucun vestige visible. On pense qu’il y avait une tour et un logis seigneurial.
Poursuivre en direction de Solignac par la D32 (124,7 km). Solignac est la patrie de Saint-Eloi., ce dernier fonda en 632 un monastère après que le bon roi Dagobert lui donna la « Villa Solemniacum ». Sa communauté, venus de l’abbaye de Luxeuil dans les Vosges, était sous la règle de St Benoît et par la suite de St Colomban. L’abbaye aurait été brûlée par les Normands au IXème siècle et ses titres disparus.
L’abbaye de Solignac passe durant la guerre de Cent Ans sous le contrôle des Anglais par le traité de Brétigny de 1360. L’abbatiale actuelle, dont la nef à file de coupoles est unique en Limousin, a sans doute été construite pour l’essentiel au cours du second quart du XIIe siècle et a fait l’objet de restaurations aux XVIIe et XVIIIe siècles.
Le village de Solignac est surtout connu pour son abbatiale, mais aussi pour ses ponts, ses nombreuses maisons à colombages.
Pour finir votre circuit touristique "Richard coeur de Lion" prendre la direction de Limoges via la D704 et A20 (137,8 km). Si la ville est connue pour sa porcelaine, le patrimoine de Limoges est riche de surprises, de détails et de monuments tous issus des savoir-faire locaux. La Ville de Limoges est entrée dans le réseau national des "Villes et Pays d’art et d’histoire" et elle est labellisée "Ville Créative au Patrimoine mondial de l'Unesco".
Visitez les deux cœurs historiques de Limoges : la Ville Haute, ancien quartier du château des vicomtes, composé de maisons traditionnelles à pans de bois, d’édifices classiques ou modernes et la Cité, ancienne ville de l’Évêque, entourant la cathédrale Saint-Étienne qui domine la vallée de la Vienne.
Monument phare de Limoges, la cathédrale Saint-Étienne constitue un remarquable exemple de l'art gothique. Lors de sa visite, le regard s'attardera sur le portail nord de style flamboyant, le jubé Renaissance et les trois tombeaux du choeur. A côté de la cathédrale se déploient les jardins de l'Évêché, de magnifiques jardins en terrasses surplombant la rivière Vienne.
Pour bénéficier d'une superbe vue sur la cathédrale et le pittoresque pont Saint-Étienne enjambant les eaux de la Vienne, ne manquez pas de vous rendre sur la rive opposée à la vieille ville.
Plusieurs musées sont également présents comme le musée Adrien Dubouché sur la porcelaine, la faïence ou le verre, le musée des beaux-arts, ou encore celui de la Résistance qui dévoile l'histoire de la Seconde Guerre mondiale en Haute-Vienne. Depuis les vestiges antiques jusqu’à l’architecture Art Déco en passant par les arts du feu et l’aventure industrielle, 2000 ans d’histoire ont forgés Limoges, capitale de la porcelaine et du Limousin.
Retour sur Etagnac par la N141 (298,7 km).
Fin de cette deuxième étape de cette route touristique "Richard Coeur de Lion" (137,8 km).
Pour vous rendre sur la route touristique "Richard Cœur de Lion"
Ladignac-le-Long
11 °C Couvert
Min: 10 °C | Max: 11 °C | Vent: 29 kmh 257°
Le saviez-vous ?
- Itinéraire du circuit 1 entre Etagnac et Ladignac-le-Long
- itinéraire du circuit 2 entre Ladignac-le-Long et Etagnac
N'oubliez pas !
Par respect pour les habitants et l'environnement, merci de respecter les panneaux signalétiques et consignes. Merci de respecter le droit de propriété et de ne pas pénétrer sur les terrains privés :
- Observez le code de la route en tous lieux et en toutes circonstances, et soyez courtois avec les autres usagers que vous pourrez croiser sur votre chemin.
- Camping et Feux interdits (pas de barbecue)
- La nature est fragile et des chutes de pierres sont parfois fréquentes.
- Veuillez ramasser vos déchets avant de partir.
- Plus que les sacs plastiques ou les pailles, ce sont les mégots de cigarettes qui pollueraient le plus les océans. les filtres à cigarettes se dégradent très lentement. Deux ans en moyenne.
- L'un des "petits gestes élémentaires" à accomplir : ne plus jeter ses mégots par terre. Pensez boite à mégots !
Nos coups de coeur sur la route touristique "Richard Cœur de Lion"
Hébergement :
Le Prieuré de Coussac-Bonneval
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Plus d'information : Le Prieuré de Coussac-Bonneval - 8 avenue Bonneval Pacha - 87500 Coussac-Bonneval - 05.55.48.34.24 / 06.76.79.05.81 - contact@prieurecoussac.com - Site internet
Restauration :
Les routes touristique de la Haute-Vienne
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Date de dernière mise à jour : 10/07/2021
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