Route de la Guerre de Vendée dans les Deux-Sèvres - Circuit 2
Votre itinéraire et visites sur le Circuit 2 de la Route touristique "de la Guerre de Vendée" dans les Deux-Sèvres
La Guerre de Vendée pose bien plus de questions qu’elle n’apporte de réponses. Pourtant, la première découverte à faire, est certainement celle des lieux où se sont passés les événements. Même si ceux-ci ont quelquefois changés radicalement depuis deux siècles, il n’en reste pas moins une très forte impression.
Ruines de châteaux dévorés par les flammes, villages perdus qui exhalent des parfums de souvenir, croix anonymes au bord des chemins, moulins héroïques dans l’air du soir. La Vendée Militaire, la Grande Vendée, mérite bien un pèlerinage.
La guerre de Vendée était sans doute perdue avant même d’être commencée. Elle aura mis en exergue une phrase qu’Edmond Rostand a fait prononcer à Cyrano : « On ne se bat pas dans l’espoir du succès. Non ! Non, c’est bien plus beau lorsque c’est inutile ».
Alors oui, ces combats étaient sans doute inutiles, mais ils nous auront fait connaître le panache de certains, l’humanité d’autres, voire la férocité d’un troisième.
Après cette pause lors du premier circuit à Mauléon (km 0), poursuivre en direction de Saint-Amand-sur-Sèvre, via la D744 et D154 (9 km). Saint-Amand-sur-Sèvre participe massivement à toutes les opérations de la Vendée militaire de 1789 à 1832 et au-delà.
Déjà la paroisse se distingue dès l’hiver 1789, comme étant l’une des quatre localités où eurent lieu les émeutes les plus graves contre la nouvelle administration issue de l’Assemblée nationale, puis les 21 et 22 août 1792 dans l’attaque désastreuse contre Bressuire.
À la mi-janvier 1794 se déroule un événement dramatique, dit du Pont-Mesnard, commémoré par une plaque du Souvenir Vendéen dans l’église de Saint-Amand-sur-Sèvre. La garnison de Mallièvre s’abat sur Saint-Amand-sur-Sèvre à la recherche, selon la tradition orale, du camp des partisans de Charette.
Quelques jours plus tard, les 24 et 25 janvier 1794, c’est la colonne infernale de Boucret marchant entre Châtillon-sur-Sèvre (Mauléon) et Les Épesses qui incendie Saint-Amand-sur-Sèvre, tandis que le même 25 janvier la colonne de Grignon marchant entre Cerizay et La Flocellière ravage l’ouest de la commune dans les parages de La Pommeraie, faisant de la localité peut-être la seule dans la Vendée à avoir subi deux colonnes le même jour.
La prochaine étape de ce circtuit de mémoire "de la Guerre de Vendée" dans les Deux-Sèvres sera La Pommeraie-sur-Sèvre, via la D34 (13 km). La Pommeraie-sur-sèvre est situé dans le "Haut-Bocage" vendéen, proche de "la Gâtine". L'organisation ne fut jamais le beau coté des armées vendéennes, et aux premiers jours surtout elle était loin d'être complète.
Il y eut cependant dès lors des capitaines de paroisses choisis par élection, et quelques autres dignitaires dont les attributions n'étaient guère définies. La paroisse de La Pommeraie-sur-Sèvre élut pour son chef Jean Coutant, connu aussi sous le nom de Père Abraham.
A découvrir sur la commune, l’église Saint-Martin-de-Tours du XIIIe siècle. Sa particularité réside en fait à l’intérieur, à la fois pour ses voûtes de style angevines et surtout pour ses peintures murales découvertes lors de l’agrandissement de l’église à la fin du XIXe siècle. La chapelle de Maison-Pré, la fosse à Vidal, Trois souterrains-refuges. A proximité le Château du Deffend situé sur la commune de Montravers.
Continuer vers Saint-Mesmin, via la D27 (20 km). En janvier 1794, un détachement des Colonnes Infernales sous les ordres de Brisset, incendia le château. La grosse tour seule et une partie des communs furent brûlées. Les soldats, eux-mêmes, éteignirent le feu, sur le contre-ordre donné de conserver les bâtiments non encore atteints.
Le 20 février, 1796 à lieu, au château de Saint-Mesmin, un combat entre les Vendéens et les armées républicaines. Une quarantaine de Vendéens avec à leur tête Louis Péault, sergent, garde-chasse du marquisat de Saint-Mesmin, attaquent un détachement républicain comprenant 250 hommes commandés par l'adjudant général Cortez. À la suite d'une contre-attaque, Cortez tente d'encercler les Vendéens qui se replient vers le château de Saint-Mesmin où ils s'enferment pour résister.
Quel est l’étonnement des chefs et des soldats, lorsque les assiégés, forcés de capituler faute de vivres, sortent avec les honneurs de la guerre, au nombre seulement de cinquante hommes, et ayant à leur tête le nommé Péault, ancien garde-chasse. Cet homme, très habile tireur, et chargé par Vasselot de la défense du château, avait nourri le feu presque lui seul, avec les fusils que ses compagnons d’armes lui chargeaient successivement.
À l’époque où tout semblait perdu pour l’insurrection vendéenne, au début de l’année 1796, une poignée d’irréductibles vendéens conduits par Joseph Amand de Vasselot refusèrent de désarmer. La fin brutale de Stofflet et de Charette condamna cependant à court terme ce dernier îlot de résistance. L’affaire du château de Saint-Mesmin du 21 au 23 février 1796 à fait couler beaucoup d’encre sans que l’on en connaisse véritablement tous les détails.
Saint Mesmin possède deux monuments particulièrement connus : le château de Saint Mesmin est une forteresse médiévale des XIVème Mesmin, il a fait l’objet d’importants travaux de fortification fin XIVème siècle. Il possède le charme d’une petite forteresse militaire alliée au souci de confort grandissant de la fin du XVème siècle et l'église.
Poursuivre vers Cerizay, via la D960 et l'avenue du 25 Août (26 km). Le patrimoine de Cerizay a souffert des aléas de son histoire, entre les guerres de religion au XVIe et de de Vendée qui l’ont dévasté. Après la sanglante révolte de la Saint-Louis en août 1792 qui échoue sous les murs de Bressuire, Cerizay est marquée par le passage de Westermann en octobre 1793 puis la colonne infernale de Grignon en janvier 1794. La ville sera épargnée, mais les châteaux et la plupart des villages seront brûlés.
Cerizay a eu pour seigneur Pierre Fuzeau de Cerizay, vicomte de Cerizay (1750-1810). Malheureusement pour lui, en , la ville de Cerizay est pillée par les paysans des villages environnants en insurrection contre le nouveau régime et ses biens lui sont volés. Cette révolte paysanne qui s'achèvera avec l'affaire du Moulin de Cornet à Bressuire, préfigure ce que sera quelques mois plus tard la première guerre de Vendée.
Il est bien difficile d’imaginer qu’il existe encore des vestiges de la longue histoire de Cerizay, lorsqu’on se prend à flâner dans ses rues. Il demeure cependant d’intéressantes traces des siècles passés. Les Guerres de Vendée y ont toutefois laissé quelques souvenirs, à l’abbaye de Beauchêne et dans les rues de la ville.
Le château de la Roche est pendant quelques temps le quartier général de l’armée catholique d’Anjou et du Bas-Poitou en 1794. Les chefs locaux sont Marigny, ancien officier de marine, fusillé par les siens à Combrand, puis Richard, marchant de boeufs à Cirières, tué début 1796. Située au sud-ouest de la commune, l’abbaye de Beauchêne possède une verrière moderne représentant Marigny et Lescure, en prière devant un autel, parmi des combattants vendéens.
Ces deux généraux ont chacun une rue à Cerizay, ou plutôt une avenue pour le premier d’entre eux. Celle-ci correspond à la route de Mauléon, qui passe, sur la commune de Combrand, près du logis de la Girardière, où Marigny fut assassiné le 10 juillet 1794. La rue de Lescure se trouve dans le quartier de la Herse.
On rencontre près de cette dernière une rue Louis Richard. Né à la Bréchatière, près de Cirières – comme Roucher, le capitaine de la paroisse du Pin – ce Louis Richard se fit connaître en rassemblant des rescapés de la Grande Guerre pour reformer la division de Cerizay au tout début de l’année 1794. Cette petite troupe mena plusieurs opérations contre les Colonnes infernales.
A son retour d’outre-Loire, Marigny reprit le commandement de cette unité dont il fit une nouvelle armée. Lorsque celui-ci fut exécuté, Richard rompit avec Stofflet. La paix de la Jaunaye, signée par le premier, rejetée par le second, accentua la rupture entre les deux hommes. Richard participa cependant à la reprise d’armes, mais il fut pris et fusillé le 23 février 1796.
La rue Jean Charles Elie Bernard relie le quartier de l’Aubrière à Beauchêne. Originaire de Fontenay-le-Comte, ce personnage était fermier général au château de Puy-Guyon, aujourd’hui ruiné. Il combattit dans l’armée de Lescure, fit la Virée de Galerne à laquelle il survécut avant de rallier l’état-major de Marigny.
Passer Moncoutant, via la D744 (40 km), puis se diriger en direction de Pugny, via la D19 (46 km). Le château de Pugny fut l'un des points de départ de l'insurrection de la Saint-Louis en août 1792, prélude à la Guerre de Vendée. Cette révolte de la Saint Louis lors de laquelle fut détruit le château de Pugny débuta à Moncoutant, place de l’église, le dimanche 19 août.
De nombreux documents indiquent que les habitants de la paroisse de Pugny et que les occupants du château furent au cœur des événements. C’est suite au signalement de ce rassemblement et pour rétablir l’ordre que se dirigèrent vers Pugny les gardes nationales de Fontenay, la Châtaigneraie et Pouzauges. N’y trouvant au château que quelques domestiques, elles le pillèrent et l’incendièrent, le 24 ou le 25 août. La révolte se termina en bain de sang à Bressuire.
Selon les témoins, les combats et les massacres qui suivirent firent de 300 à 600 morts.
Prendre la direction de Bressuire, via la D748 (63 km). Peu de monuments anciens ont survécu aux Guerres de Vendée : Il faut .flâner au hasard des rues pour apercevoir encore quelques vieux édifices témoins de l’Histoire de la ville, tels que : Le Château, l’église Notre-Dame, La Chapelle Saint-Cyprien. C’est à Bressuire en août 1792, que se produit la première insurrection contre la République, écrasée au combat des Moulins de Cornet, le 24 Août.
La révolte qui secoua le pays Châtillonnais du 19 au 24 août 1792 éclata trop tôt. Elle fut pourtant un coup de semonce qui aurait dû alerter les autorités sur les risques que leur politique anticatholique faisait courir au pays. Elle fut aussi, et surtout, une répétition de leurs mesures de répression.
Le 19 août, une bande armée se porta sur Moncoutant, puis sur La Forêt-sur-Sèvre et Cerizay, faisant sonner le tocsin et appelant les paysans à la révolte. Leurs chefs s'appelaient Adrien-Joseph Delouche, de Bressuire, et Gabriel Baudry d'Asson, un ancien militaire qui vivait retiré dans ses terres à Saint-Marsault. Ce dernier engagea les insurgés à marcher sur Châtillon-sur-Sèvre.
A l'annonce de ce coup de force, les autorités de Cholet mirent rapidement sur pied une petite troupe de gardes nationaux qu'elles envoyèrent reprendre Châtillon. Les soldats investirent la ville que les révoltés avaient évacuée pour marcher sur Bressuire, ne les rencontrant qu'à la hauteur de Rorthais, avant de se replier sur le chef-lieu du district pour y passer la nuit.
Pendant ce temps les rebelles avaient rameuté des renforts dans toutes les communes environnantes pour partir à la conquête de Bressuire, le 22 août. Mais la ville était fortifiée et les assaillants, mal organisés, ne parvinrent pas à forcer ses défenses. Le 24, un combat eut lieu aux Moulins de Cornet, qui donna la victoire aux assiégés. Cette déroute qui fit 500 morts parmi les paysans, signa la fin de leur soulèvement.
La répression fut cruelle. Des gardes nationaux tranchèrent les nez et les oreilles de leurs victimes pour en faire des colliers. Plusieurs témoins attestent ce fait épouvantable et bien d'autres, comme celui de ce patriote qui épingla fièrement une oreille en guise de cocarde. La répression et quelques mesures judicieuses empêchent le pays Bressuirais de prendre part dès le mois de mars au grand soulèvement Vendéen.
Le 3 Mai 1793, Bressuire est prise par la grande Armée Catholique et Royale à la tête de laquelle, figurent parmi ses chefs, Henri de la Rochejacquelein et Lescure. Bressuire sera occupée tantôt par les Blancs, tantôt par les Bleus, avant d’être complètement incendiée par la Colonne incendiaire de Grignon le 14 Mars 1794.
Au printemps 1794, le Bressuirais est dévasté par la colonne incendiaire du général Grignon qui incendie et extermine plusieurs villages. Suite aux massacres, les deux tiers des communes du district de Bressuire se soulèvent à nouveau selon l'administrateur Jarry. Les insurgés prennent pour chef Louis Richard, dit "le Bonhomme Richard", qui rassemble sous ses ordres 2 000 paysans et dont l'objectif est de prendre Bressuire.
La place est occupée par le général Grignon, mais menacée à tout moment d'être attaquée et malgré un renfort de 500 hommes, le général en chef Louis Marie Turreau donne l'ordre à Grignon de l'évacuer. Celui-ci obtempère mais l'évacuation se déroule dans une grande confusion, les Républicains n'emportent même pas les subsistances saisies. Mais le 24 février 1794, Richard, renforcé par Stofflet et son armée qu'il a appelé au secours, attaque Bressuire.
Les Vendéens écrasent d'abord la cavalerie aux portes de la ville puis pénètrent dans la place. La résistance des Républicains est inefficace et ils sont rapidement mis en déroute. Les soldats blessés ou malades trouvés dans les hôpitaux sont achevés et les Républicains réfugiés dans l'église sont massacrés. Les pertes républicaines auraient été selon les Vendéens de plus de 300 morts.
La période révolutionnaire laisse Bressuire exsangue. Il lui faudra beaucoup de temps pour se relever.. Riche de son histoiree, la commune a conservé au fil de siècles un important patrimoine architectural qui se dresse encore fièrement aujourd'hui. Cependant, avec les destructions successives du centre, les édifices conservés ne remontent en général pas au-delà du XVIIe siècle.
Partez à la rencontre de ce patrimoine de Bressuire en commençant par le château de Bressuire du XIe siècle, avec les ruines des enceintes, une partie du donjon et quelques vestiges des chemins de ronde. L'ancienne église Saint-Cyprien édifiée au Xe siècle, l'église actuelle, l'église Notre-Dame, date elle aussi du Xe siècle. Également classée, l'église de Saint-Sauveur-de-Givre-en-Mai a été édifiée au XIIe siècle.
Plusieurs autres sites jalonnent le centre ancien de Bressuire, à l'instar de l'ancien château de Noirlieu construit entre la fin du XVIe et le début du XVIIe siècle, ou encore le domaine de la Dubrie édifié au XVIe siècle et modifié au XVIIIe. A l'intérieur de Bressuire, d'anciennes demeures témoignent de la richesse de la ville au fil des siècles. Un musée municipal, installé dans les anciens greniers à grains de la ville, retrace l'histoire de la commune et de ses environs à travers plusieurs collections.
Poursuivre en direction de Chiché, via la N149 (76 km). La population de cette commune est également sévèrement réprimée. Entre décembre 1793 et mars 1794, vingt-quatre chichéens et chichéennes sont condamnés à la guillotine. Installée près de l'église, une stèle rappelle d'ailleurs ces événements tragiques. Le bourg subit la répression des troupes du général Westermann. Il est une nouvelle fois incendié le 1er juillet 1793.
En 1794, les troupes révolutionnaires tentent de cerner les Vendéens. Un camp retranché permettant de recevoir un millier de fantassins et cent cinquante cavaliers est installé à Chiché. Des traces de ce camp demeurent encore aujourd'hui près du lieu-dit Les Loges. Deux combats se sont déroulés pour tenter de prendre le camp.
Le 12 juillet 1794, les Vendéens projettent tout d’abord d’attaquer le camp de Chiché, puis les Vendéens de la division de Cerizay s’étant dispersés suite à la mort de Marigny, l’armée de Stofflet changera d’objectif et préfèrera se diriger contre La Châtaigneraie. Il faudra donc attendre le 2 septembre pour que le camp soit enfin attaqué.
Il est dommage qu’il n’ait pas pu l’être plus tôt car en septembre, le camp de Largeasse, situé entre Chiché et La Châtaigneraie vient d’être constitué, ce qui rend encore plus difficile une éventuelle percée ou du moins une prise à revers. Au terme de cette période tourmentée, la région est en ruines et la population réduite de moitié. Un épisode de guerre civile qui aura cruellement marqué l'histoire de Chiché.
A découvrir sur la commune de Chiché : l'église Saint-Martin et la mairie, l'ancienne chapelle Notre-Dame-de-Recouvrance, la chapelle de la Poraire datant du XIIe siècle.
Traverser Amailloux, via la N142 (84 km). Abritant un camp vendéen, Amailloux fut le premier bourg incendié de la guerre de Vendée le 1 er juillet 1793 par les troupes de l'implacable général révolutionnaire Westermann. Le maire de la commune, Louis Fradin fut guillotiné à Niort et de nombreux habitants périrent dans les combats ou furent massacrés lors des passages des « Colonnes infernales » de Turreau.
Un calvaire porte le nom de « la croix de la Belle » fût érigé en 1833 par deux frères Paul et Jules de Couhé de Lusignan en ex-voto pour leur acquittement. En effet, ils avaient participé en 1832 à la tentative de soulèvement de la Vendée par la duchesse de Berry. Lors d'un combat sur ces lieux ils furent arrêtés et enfermés au donjon de Niort pour être fusillés lorsqu'ils furent libérés après plusieurs mois d'emprisonnement.
A découvrir sur la commune d'Amailloux : l'église Saint-Étienne, le Château de Fougerit, le Château de Tennessus des XIVe et XVe siècles, aujourd'hui aménagé en chambres d'hôtes, le Château de Villebouin (ruines), le Château de Villegué (ruines).
Retour vers Parthenay, via la N149 (98 km).
Fin de cette deuxième étape de cette Route touristique "des cités de caractère".
Poursuivez ce parcours touristique en suivant : itinéraire du circuit 1 de la route touristique "de la guerre de Vendée".
Pour vous rendre sur la route touristique "de la Guerre de Vendée"
Saint-Pierre-des-Échaubrognes
10 °C Couvert
Min: 10 °C | Max: 10 °C | Vent: 26 kmh 255°
Le saviez-vous ?
- Itinéraire du circuit 1 de la route touristique "de la Guerre de Vendée".
- Itinéraire du circuit 2 de la route touristique "de la Guerre de Vendée".
Henri de la Rochejaquelein, généralissime de l’armée vendéenne à 21 ans, est sans doute, avec Louis-Marie de Lescure, le plus célèbre des généraux vendéens du Bocage.
Aux paysans qui lui ont proposé de prendre leur tête, il dira : « Si j’avance, suivez-moi ! Si je recule, tuez-moi ! Si je meurs, vengez-moi ! ».
Il aurait prononcé ces mots devant 2 000 soldats dans la cour du château de la Durbelière.
Une statue en son honneur fut érigée en 1895, en mémoire de ce héros des contre-révolutionnaires tué à Cholet à 22 ans.
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Date de dernière mise à jour : 11/07/2021
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