Les routes touristiques en France

Route de l’héritage gallo-romain dans le Rhône Circuit 2 (69)

Votre itinéraire et visites sur le Circuit 2 de la Route touristique "de l’héritage gallo-romain dans le Rhône"

Après vos visites à Sainte-Foy-lès-Lyon (km 0), il est temps de filer vers Vienne labellisée "Ville d'Art et d'Histoire" , via l'A7 (31 km). L'origine de son nom vient de Vienna, mot celte signifiant " bourgade au bord de l'eau ". Installée au bord du Rhône, la capitale des celtes Allobroges sera fidèle à César pendant la guerre des Gaules.

Fidélité qui lui accorde la promotion de colonie latine en 50 avant J.-C. avant de passer colonie romaine sous Auguste en 16 avant J.-C. Elle connaît alors une expansion fulgurante : de magnifiques monuments voient le jour à l'intérieur de ses 7 km de remparts.

Entre fleuve Rhône et collines, Vienne conserve de son long passé un riche patrimoine bâti, dont les monuments les plus anciens remontent à l'Antiquité. L'ère gallo-romaine (Ier av. au IIIe ap. J.-C.) fait la gloire et la richesse de Vienne.

De cette époque, la ville possède un patrimoine archéologique parmi les plus riches de France mis en valeur au Musée archéologique de Saint-Romain-en-Gal/VienneLe musée des Beaux-Arts et d'Archéologie, situé dans l'ancienne halle à grain du XIXe siècle, sur la place de Miremont, abrite des collections d'objets gallo-romains, de faïences françaises, et de peintures allant du XVIe au XXe siècle.

Vienne fut un centre important durant la période romaine, rivalisant avec sa voisine Lugdunum (Lyon). Sa parure monumentale édifiée sur des terrasses successives dominant le Rhône était impressionnante et de nombreux vestiges en témoignent : Temple d'Auguste et de Livie, arcades du forum, théâtre et odéon, hippodrome, murailles, thermes sont encore partiellement ou totalement en élévation. De nombreuses découvertes et fouilles archéologiques  offrent l'image d'une cité riche et puissante : des monnaies (As de Vienne, Dupondius...), de très nombreuses mosaïques, des fresques, travail du marbre (statues, colonnes...), de la vaisselle de terre cuite.

Vienne theatre antique route touristique du rhone guide du tourisme de rhone alpesVienne se distingue par une production de céramiques fines de tradition italique et des vases de tradition celtique avec une production qui atteint un rythme presque industriel avec de nombreux ateliers, ainsi que le travail du plomb sous produit de l'extraction de l'argent, est attesté par plus de 70 signatures de plombiers qui figurent en particulier sur des tuyaux, les archéologues supposent que les mines de plomb locales intensément exploité au xixe siècle l'étaient déjà durant l'antiquité, mobilier...

Témoin de l'ère gallo-romaine l'imposant temple d'Auguste et de Livie du Ier siècle avant Jésus-Christ. Le monument se dresse brusquement sur une place du centre historique, le temple appartenait à l'ensemble monumental du forum de Vienne. Sa restauration, a supprimé les transformations qu'il avait connues au cours de son histoire.

La visite du vaste théâtre antique du Ier siècle de notre ère, l'un des plus grands de la Gaule romaine est incontournable tant ce vaste édifice est impressionnant en plein cœur de la ville. Ce bel hémicycle, adossé à la colline de Pipet est largement ouvert sur la ville. Equivalant aux théâtres antiques que l'on peut voir à Rome et dans tout l'Occident romain, ses 46 gradins pouvaient accueillir 13000 personnes. Les notables de la cité avaient droit au marbre des premiers rangs de l'orchestra". Fidèle à sa vocation première, il sert d'écrin au festival international Jazz à Vienne.

Votre balade historique vous emmènera au jardin de Cybèle et ses vestiges archéologiques gallo-romains... Ce jardin, intégré au centre de la ville, conserve un ensemble archéologique dont l'interprétation par les spécialistes fait encore l'objet de controverses. A remarquer cependant : une double arcade qui appartenait à l'extrémité d'un portique du côté oriental du forum, un bâtiment à gradins (style auditorium) dont subsiste un magnifique mur élevé en pierre calcaire de grand appareil, des vestiges d'habitations et d'aménagement de terrasses.

Une voie romaine est située dans le jardin de ville. Cette voie urbaine dallée, près de laquelle se dresse une borne milliaire, symbolise l'importance commerciale de la cité antique. Sans oublier la Pyramide, un obélisque monumental du cirque romainCette balade dans le centre historique de Vienne vous fera découvrir les principaux sites de la ville. Le passage par le belvédère de Pipet implique une bonne grimpette, mais offre un très beau panorama sur les toits de la cité, la vallée du Rhône et le massif du Pilat.

Traversez le Rhône, en direction de Saint-Romain-en-Gal, via D41J et D502 (33 km). Le site archéologique de Saint-Romain-en-Gal, un des quartiers de la ville antique qui s'étendait sur les deux rives du Rhône, témoigne de la richesse gallo-romaineDurant l'Antiquité, le futur village de Saint-Romain-en-Gal était un quartier résidentiel et commercial de la cité de Vienna, une des plus importantes villes de la Gaule romaine qui s'étendait donc sur les deux rives du fleuve. La découverte d’une “petite Pompéi” à Saint-Romain-en-Gal a rappelé à ceux qui l’auraient oublié le riche héritage romain du département. 

L'ensemble de ce patrimoine est désormais mis en valeur et présenté dans le cadre d'un vaste musée archéologique qui s'étend sur 7 hectares. L'établissement à l'architecture contemporaine présente un panorama de la vie quotidienne dans la ville antique de Vienna entre les Ier et IVe siècles de notre ère. Le site constitue l'un des plus grands ensembles consacrés à la civilisation gallo-romaine en France. Dominant et offrant un panorama sur le site archéologique, le musée Gallo-Romain de Saint-Romain-en-Gal expose les pièces découvertes sur place lors des campagnes de fouilles.

Saint romain en gal site archeologique route touristique du rhone guide du tourisme de rhone alpesLes collections du musée contiennent un fonds de près de 4000 objets dont des mosaïques, des peintures murales, des ensembles statuaires, des objets en céramique, en os, en verre et en métal… Par ailleurs, en extérieur, tandis que des recherches sont toujours effectuées, les visiteurs peuvent observer au plus près les principaux sites mis au jour. C'est le cas de la maison des Dieux Océan (IIe siècle) qui représente 3000 m² avec des pièces de réception, des grands jardins à colonnades, des bassins et des jets d'eau. Un ensemble qui reflète le mode de vie de l'élite romaine dans toute sa splendeur. Sont également visibles les Thermes des lutteurs, représentatifs de ces établissements dédiés au bien être mais aussi à la convivialité et une section de voie romaine avec ses équipements urbains (réseau d'égouts, trottoirs, dallages).

D'autres éléments de patrimoine peuvent être observés dans la commune de Saint-Romain-en-Gal. C'est le cas de l'église fondée dès le IXe siècle et qui, remaniée, desservit ensuite une commanderie de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem établie au XVe siècle, jouxtant le lieu de culte. Une stèle dédiée à saint Ferréol, qui fut martyrisé aux abords de l'actuel village, et le vestige d'une chapelle, sont également à voir.

Si Lyon, Vienne et Saint-Romain-en-Gal sont connus pour la richesse de leur patrimoine archéologique romain, le département du Rhône possède d’autres témoignages exceptionnels de cette période historique comme à Sainte-Colombe-lès-Vienne prochaine étape de ce circuit, via la D502 (121 km). Dans l'Antiquité, la ville de Vienna Allobrogum s'étend de part et d'autre du Rhône. La commune de Sainte-Colombe, en rive droite (côté ouest) abrite un riche patrimoine gallo-romain.

À Sainte-Colombe-lès-Vienne, une équipe de l'association Archeodunum a exhumé un faubourg entier de la Vienne romaine où se côtoient luxueuses demeures et vastes espaces publics très bien conservés. Les vestiges d'un faubourg antique datant de l'Antiquité ont été déterrés à quelques pas de la mairie. Le site occupé pendant trois siècles est remarquable à plus d'un titre: par sa superficie de près de 7000 mètres carrés en milieu urbain, ce qui est très rare, par la diversité des vestiges et par leur état de conservation.

Ce sont des incendies successifs qui ont permis de conserver tous les éléments en place quand les habitants ont fui la catastrophe, transformant le secteur en une véritable petite Pompéi viennoise. Ce site, bordé par la voie de la Narbonnaise, édifiée par Agrippa vers 10 avant J-C et le Rhône, est dans le prolongement du pont sud édifié à la période flavienne et se trouve sur la rive droite du fleuve, alors que la colonie fondée par les romains est située sur l'autre rive. De Claude à Néron, sont construites la place du marché et la maison des Bacchantes, la maison de Thalie et le grand édifice public. L'ensemble est complété par un réseau hydraulique complexe. Les appartements au-dessus des boutiques étaient dotés d'eau courante.

La maison des Bacchantes est une domus édifiée au Ier siècle sur l'actuelle. Elle fut détruite lors d'un incendie au début du IIIe siècle, les étages s'étant effondrés sur le rez-de-chaussée, elle préserva ainsi sa décoration.  Baptisée la Maison des Bacchanales, en raison d'une mosaïque au cortège de bacchantes et de satyres entourant un Bacchus. Les étages effondrés ont été préservés, le mobilier abandonné sur place. Composée d'une trentaine de pièces toutes richement décorées couvrant une superficie de 900 m2. L'ensemble de mosaïques date de la période flavienne. 

La Maison de Thaliedomus édifiée au cours du IIe siècle de notre ère, se développe sur 1 200 m2 avec trois jardins comportant bassins et fontaines en marbre. De nombreuses mosaïques recouvrent les sols des différentes pièces, ainsi qu'un pavage de marqueterie de marbres de différentes couleurs provenant du monde méditerranéen. Une superbe mosaïque préservée dans sa quasi-totalité, a été trouvée dans la maison de Thalie et Pan, on y voit Thalie, les fesses dénudées, kidnappée par un Pan lubrique.

Reprendre A7, en direction de Taluyers (58 km). Taluyers se trouve déjà sur les hauteurs offrant quelques coteaux aux vins du Lyonnais qui s'épanouissent sur ce joli terroir. Lors de votre passage à Taluyers, vous pourrez découvrir les vestiges de l'aqueduc romain du Gier, l'un des aqueducs qui servaient autrefois à alimenter Lugdunum. il traverse la commune de Taluyers en tranchée dont le seul vestige visible est un regard situé sur une propriété privée, au lieudit du Prapin.

Ne manquez pas d'aller voir la belle église romane du XIIe siècle avec son abside décorée de pilastres et son clocher clunisien octogonal, copie de celui de la basilique Saint-Martin d'Ainay à Lyon, ainsi qu'un ancien prieuré restauré. Vous pourrez également découvrir sur la commune de Taluyers les deux tours d'un ancien manoir prieural du Xe siècle, avec une façade remaniée au XIVe siècle..

Reprendre votre véhicule pour filez vers Saint-Laurent d'Agny, via la D105 (61 km). Le site de Saint-Laurent-d’Agny est habité, sans discontinuité, depuis plus de deux millénaires. L’occupation gauloise ségusiave, longtemps pressentie a été confirmée par les fouilles archéologiques sur le site de Goiffieux. L’occupation romaine, au 1er siècle av. JC, allait durablement transformer ce lieu en villa coloniale puis, sous le règne de Tibère entre 15 et 25 de notre ère en palais rural bénéficiant des attributs d’une certaine opulence avec des thermes particuliers, un bassin d’agrément et une vaste piscine.

Saint laurent d agny villa gallo romaine route touristique du rhone guide du tourisme de rhone alpesLa finesse des décors dont certains parements des thermes et surtout la mosaïque de Bacchus témoignent du statut privilégié du maître des lieux et laisse imaginer l’importance et la richesse d’un domaine à vocation agricole vivant en autarcie. Une reproduction de la mosaique est visible sur la façade du "Petit théâtre des Silènes" situé entre l'Equipement Sportif et Associatif et la Salle d'animation. A l’immédiate proximité de la villa dont il est contemporain, le passage en souterrain de l’aqueduc du Gier, venant des contreforts du Pilat et approvisionnant Lugdunum participe à la romanisation du site.

Sur Saint-Laurent-d’Agny l’aqueduc parcourt 2450 m en terrain peu accidenté : d’abord 650 m à Arsillon, puis après l’indentation de Mornant,1800 m à travers la plaine de Jonchay et Prapin. Le canal reste enterré et invisible sauf un vestige qui surplombe le côté nord du « Chemin du Loup ». Il s’agit des restes d’un regard qui permet de voir par dessous la maçonnerie de fondation, la moitié droite du canal avec son piedroit revêtu de tuileau et une partie de la voûte. 

A la fin du IXème et début du Xème siècle, la vie locale s’organisa sur la colline où fût édifiée la Chapelle Saint-Vincent, première paroisse connue, appelée Dagnicus. Située sur un ancien lieu de culte primitif, cette chapelle dédiée au patron des vignerons, est typique d'un style roman très primitif. Elle est perchée sur un promontoire et offre, à partir de son esplanade, un des plus beaux panorama de la région.

Au début du XIIIe siècle, une église romane, Sancto Laurentio, est édifiée au cœur du bourg donnant au village de Saint-Laurent-d’Agny, la trame de son organisation actuelle. C’est vraisemblablement au XIIe siècle que fut terminée la construction du château fort, en lieu et place de l’actuel Château de Souvigny, accompagnant le développement du village au pied de la colline. 

L'itinéraire touristique passera par Soucieu-en-Jarrest, via la D30 (66 km). Au fil des siècles, la physionomie du village s’est considérablement modifiée. Disparue, elle aussi, cette villa gallo-romaine dont on aurait trace à Argencieux. À l’est du Bourg, sur le plateau du Grand-Champ, de l’aqueduc du Gier construit par les Romains, subsistent des vestiges, les arches avec le Chameau et le réservoir, la Gerle.  Une belle rangée d’arches est visible à Soucieu-en-Jarrest.

Le centre bourg de Soucieu-en-Jarrest, caractérisé par ses hautes façades de pierre rappellent que la commune fut au début du XIXe siècle reconnue pour son activité du tissage du velours de soie. Agrandie au début du XIXe siècle sur des soubassements datant du XIIe siècle ou du XIIIe siècle, l’église abrite deux tableaux représentant des scènes de l’ancien testament. Le viaduc du Garon est l’unique témoignage de l’ancienne ligne de chemin de fer qui reliait le quartier de Lyon Saint-Just à Mornant.

Poursuivre en direction de Chaponost en restant sur la D30 (72 km). L’aqueduc romain du Gier s’étend sur 6 km sur la commune de Chaponost sur le site du plat de l'Air. Il est exceptionnel de par l’alignement de quatre-vingt-douze arches dont soixante-douze sont encore visibles dans toute leur élévation, sur plus de 550 mètres de long.  L'enfilade d'arches se termine par une grosse pile qui comprenait un réservoir d'où partaient des tuyaux de plomb qui descendaient le rampant puis la colline jusqu'au pont siphon de Beaunant. 

Chaponost aqueduc gallo romaine route touristique du rhone guide du tourisme de rhone alpesCet ouvrage hydraulique de grande technicité s'étend sur six kilomètres sur la commune de Chaponost, apparaissant à l'air libre sous forme d'arches ou de murs (sites du Plat de l'air, du Guichardet, du Garon, de la Colombe et de la Gagère), ou encore de réservoirs de chasse (site du Plat de l'air) et de fuite (site de la Gagère), et passe également sous terre (notamment site de la Madone). Sur la commune de Chaponost, avec une alternance de sections enterrées et aériennes permettant de gérer la variété du relief traversé. 

C'est l'une des plus importantes réalisations romaines dans le domaine hydraulique et l'une des plus grandes au monde. Il est le quatrième et dernier aqueduc construit pour alimenter Lugdunum. Chaponost a su conserver son caractère de village rural et des espaces de nature préservée. De nos jours, il reste des témoins du passé : l'aqueduc romain du Gier, la porte médiévale du château, l'église de 1891, le lavoir communal de 1881, les croix de chemins, les loges des champs, petites cabanes rudimentaires servant à s'abriter, prendre le repas et ranger les outils.  

Dirigez-vous vers Saint-Martin-en-Haut, via la D311 (91 km). On trouve des vestiges de l'époque romaine sur la commune : la voie romaine reliant Lyon à Saint-Symphorien-sur-Coise est visible au hameau de Fontfroide. Le site de Rochefort est sûrement le lieu le plus apprécié des touristes à Saint-Martin-en-Haut. Il se compose d'une chapelle avec une Vierge et un vitrail classés, ainsi que des ruines d'un ancien château datant du XIIIe siècle.

En se promenant dans les rues de Saint-Martin-en-Haut, on peut apprécier un patrimoine bâti et naturel des plus intéressants. Le château de la Bâtie est une demeure privée remaniée aux XVIe et XVIIIe siècles. Il ne se visite malheureusement pas. Dans la ville, l'église en granit bleu construite à la fin du XIXe siècle ne manque pas non plus d'intérêt. Cette ancienne cité médiévale était autrefois un lieu de pèlerinage très fréquenté. 

Pour finir ce parcours Yzeron sera votre dernière étape, via la D311 (99 km). La commune d'Yzeron est située dans les monts du Lyonnais, perché sur un piton rocheux à 700 m d’altitude au carrefour des vallées de l’Yzeron et du Garon. Yzeron, pays de moyenne montagne, alterne pentes ardues et vallons aux lignes douces.

L'histoire d'Yzeron fut de de tout temps marquée par sa géographie montagneuse et l'abondance de ses sources. Dès l'Antiquité, les Romains captent l'eau de l'Yzeron pour alimenter Lyon puis au Moyen Âge. L'alignement de l'édifice de l’aqueduc de Gier s'achève par quatre arches surmontées du réservoir de chasse du siphon de l'Yzeron, une conduite forcée qui permet de franchir une vallée trop profonde et qui fonctionne selon le principe des vases communicants. 

Malgré l’ampleur de l’ouvrage, l’aqueduc de Gier ne suffisait pas à alimenter Lugdunum en eau. Il était secondé par celui de l’Yzeron, aussi appelé aqueduc de Craponne, de l’époque augustéenne également, qui est le seul à disposer de plusieurs branches de captation. Un sentier de découverte permet aujourd’hui de découvrir son histoire. vous pourrez aussi voir les vestiges de l’aqueduc de Sainte-Foy, le long du chemin de Narcel.

Dans le village d'Yzeron, à l'angle de l'ancien cimetière, à proximité, se dresse encore une croix très ancienne dite byzantine. Par ailleurs, sur la place du hameau, demeurent trois tilleuls de Sully, supposés avoir été plantés au XVIIe siècle. Près de la mairie, ne pas hésiter à se rendre au niveau de la table d'orientation récemment installée. Elle permet de bénéficier de panoramas donnant sur les Alpes et l'agglomération lyonnaise.

C'est sur le bien nommé hameau de Châteauvieux, à quelques kilomètres au sud-est du bourg, que l'on peut observer l'élément de patrimoine le plus notable de la commune : il s'agit d'une chapelle de style roman dédiée à Saint Jean-Baptiste datant du XIe siècle. À l'entrée, un remarquable bénitier à deux vasques a été conservé. 

Fin de cette deuxième étape de cette Route touristique "de l’héritage gallo-romain dans le Rhône".

Vous pouvez ce parcours touristique en suivant : itinéraire du circuit 1 de la route touristique "de l’héritage gallo-romain dans le Rhône".

Pour vous rendre sur la route touristique "de l’héritage gallo-romain dans le Rhône"

Ciel dégagé

Sainte-Foy-lès-Lyon

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Min: 9 °C | Max: 11 °C | Vent: 36 kmh 170°

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N'oubliez pas !

Par respect pour les habitants et l'environnement, merci de respecter les panneaux signalétiques et consignes. Merci de respecter le droit de propriété et de ne pas pénétrer sur les terrains privés :

  • Observez le code de la route en tous lieux et en toutes circonstances, et soyez courtois avec les autres usagers que vous pourrez croiser sur votre chemin.
  • Camping et Feux interdits (pas de barbecue)
  • La nature est fragile et des chutes de pierres sont parfois fréquentes.
  • Veuillez ramasser vos déchets avant de partir.
  • Plus que les sacs plastiques ou les pailles, ce sont les mégots de cigarettes qui pollueraient le plus les océans. les filtres à cigarettes se dégradent très lentement. Deux ans en moyenne.
  • L'un des "petits gestes élémentaires" à accomplir : ne plus jeter ses mégots par terre. ​Pensez boite à mégots !

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Date de dernière mise à jour : 10/10/2021