Libourne (Bastide-33)
Libourne : cœur des vignobles de Saint-Emilion et de Pomerol !
Ancienne bastide fondée au XIIIe siècle, située au confluent de la Dordogne et de l'Isle, connut un riche passé lié au commerce de la laine, du vin, du sel et du bois, dont subsiste un intéressant patrimoine et riche de son histoire variée. Au cœur des vignobles de Saint-Emilion et de Pomerol, dans le département de la Gironde, Libourne est un lieu idéal de tourisme et de découverte de la culture aquitaine.
Dès la préhistoire, les premières populations s'établissent sur ce site stratégique que constitue le confluent des rivières Isle et Dordogne. Un camp Gallo-romain s'y développe et prend le nom de Condate. En lieu et place de l’ancien port gallo-romain de Condatis, sous l’impulsion du roi d’Angleterre Henri III, débute la construction de la bastide. C’est le chevalier Sir Roger de Leyburn, nouvellement promu au grade honorifique de Lieutenant du Roi qui fut chargé de sa construction. L'année 1270 marque l'achèvement des travaux et la bastide est appelée Leyburnis, du nom de son fondateur. La ville tire alors ses ressources du commerce de la laine, relayé ensuite par celui du vin. Au fil des siècle Leyburn se francisa pour devenir Libourne.
Pendant plus de trois siècles de domination anglaise, le commerce du vin connaît en effet son âge d'or. La cour d'Angleterre adore les vins du Libournais et la Dordogne facilite ce commerce florissant. Le commerce du sel, dont la ville avait l'exclusivité par volonté du roi d'Angleterre, contribua très largement à sa prospérité.
Le début du XVIIIe siècle est marqué par un nouvel essor du commerce du vin vers l'ouest de la France et les pays de l'Est. Les gabares, ces embarcations à fond plat chargées de bois, descendent alors toute la vallée de la Dordogne depuis le massif central jusqu'à Libourne, d'où elles repartent chargées de tonneaux de vins.
Celle qui fut longtemps sous domination anglaise, est aujourd'hui, un vrai havre de paix au milieu du Libournais. Les anciennes enceintes sont maintenant détruites en grande partie, mais la bastide de Libourne conserve encore le plan d'Edouard, ses alignements, ses rues se coupant toutes à angles droits, et sa place carrée entourée de couverts.
Paysages de rêve, vignes à perte de vue, ou encore architecture impressionnante, la ville ne manque pas d'attraits pour séduire les visiteurs de passage. En effet Libourne, tout comme Saint-Emilion, peuvent s'enorgueillir d'un passé tourné vers le commerce du vin depuis l'Antiquité.
Préparer votre visite touristique à Libourne
Riche d'un passé important et glorieux, Libourne ne manque pas de sites à visiter et de monuments à découvrir au gré de promenades dans les rues de la ville. Nous vous conseillons de passer à l'office de Tourisme du Libournais situé 40 Pl. Abel Surchamp, pour préparer votre visite de l'ancienne bastide. Dans la vieille ville de Libourne, le tracé des rues épouse celui de l’ancienne bastide portuaire. Ainsi, les quartiers les plus anciens sont abrités comme par une enceinte par les quais.
Commencez votre déhambulation dans Libourne par la porte du Grand Port ou "Grand Portail de la Mer", dernier vestige des fortifications de la ville au Moyen Âge, bâtie entre 1324 et 1330, est, des 9 portes qui entouraient la bastide, la seule survivante. Parmi les portes que comptaient cette enceinte, elle est avec la porte de Saint-Emilion l’un des accès les plus importants de la ville, car elle communique directement avec le port dans sa partie la plus active. La porte du Grand port contribuera pleinement à la défense de la ville entre la guerre de cent ans et les conflits de la Fronde dans les années 1650. A partir de la fin du XVIIe siècle, la construction de plusieurs bâtiments civils en appui sur ses murs lui évitera la démolition lors de la Révolution.
Ensemble fortifié avec soin, la Tour du Grand Port est en fait une porte de ville entourée de deux tours rondes : la tour Richard et la tour Barrée, très élevées, munies de mâchicoulis et d’archères qui constituent un véritable bastion à l’entrée du cours de l’Isle. La Tour du Grand Port a pu retrouver son apparence médiévale après plusieurs campagnes de restauration entre 1930 et 1980. La porte du Grand Port, portait le nom de Porte Richard en l'honneur d'un fils du Prince Noir né à Bordeaux en 1366, elle est l’incarnation du Moyen Age libournais.
Suivre le Quai Souchet en direction du port. Le quai Souchet occupe une position essentielle dans l’histoire de Libourne. La rencontre des courants des rivières et le phénomène des marées ont en effet creusé dans le lit du fleuve une fosse permettant aux navires de haute mer d’accéder au port de Libourne et d’y séjourner sans s’échouer, même à marée basse, malgré leur fort tirant d’eau. Au moyen-âge, les jurats étaient chargés de la police et de l’administrations du port de Libourne. Ils furent progressivement déchargés de cette mission au profit des fonctionnaires royaux de l’Amirauté, à qui Louis XIV avait donné mission d’administrer les ports de son royaume et leur flotte. L’un de ces fonctionnaires fut Léonard Souchet qui à la fin du XVIIIe siècle fit planter des arbres sur les terrains de la confluence et permit de transformer ce lieu d’activité portuaire en un lieu de promenade ombragée.
Prendre ensuite le quai Général d'Amade, pour arriver au port de Libourne. Le port ne manque pas de charme, avec ses nombreux bateaux à quai. Autrefois port de commerce, il est aujourd'hui port de plaisance avec une visée touristique importante. Le long de l'eau, restaurants et terrasses de café permettent de passer un agréable moment. Libourne possède la particularité d’être le premier port de navigation maritime sur la Dordogne à près de 100 km à l’intérieur des terres.
Cette situation unique au monde privilégia ses échanges avec l’extérieur et le développement d’un commerce florissant, dont le vin fut roi, faisant d’elle l’une des bastides les plus prospères d’Aquitaine. Pour la petite histoire, il se dit que le pavage du port est en pierre anglaise transportée dans les bateaux qui venaient chercher du vin. En effet, ceux-ci ne pouvant venir d'Angleterre à vide, il fallait les lester pour qu'ils puissent naviguer sur l'Atlantique.
Entre le quai Général d'Amade et le quai Priourat, admirer le pont de pierre de Libourne édifié entre 1820 et 1824, toujours en place, il témoigne du passé riche et luxueux de la ville. Construit en pierre et brique, le pont de Libourne était regardé lors de sa construction comme une véritable prouesse technique à l’instar du pont de pierre de Bordeaux. Cet ouvrage d’art manqua d’être détruit par les allemands à la fin de l’occupation. Le 28 août 1944, avant d’évacuer Libourne, les troupes allemandes firent sauter 3 des 9 arches. Les arches détruites à l’explosif et reconstruites à la Libération sont encore reconnaissables à leur couleur plus vive de leurs briques neuves.
Le lond du quai Priourat, vous trouverez de nombreuses maisons et chais des négociants de Libourne. Apparue au milieu du XVIIIe siècle, la profession de négociant en vins se développe au siècle suivant. Son exercice nécessite de vastes locaux de stockage et d’expédition. Les quais de la Dordogne, le long du Priourat, présentent pour ce commerce des terrains disponibles et une desserte tant fluviale que routière. Les chais sont alors construits en retrait des voiries pour la manutention des barriques. Les quais comportent des cales pour le chargement des gabarres. Les façades richement sculptées de certains chais témoignent de l’opulence de leur propriétaire.
Entre le quai du Priourat et la rue des Quatre Frères Robert s’étend le quartier du Priourat. Situé hors les murs de la bastide, sur des terrains inondables, ce site doit son nom à un prieuré, propriété du clergé au moyen-âge. Prendre la rue du Priourat jusqu'à la rue Lamothe. En plusieurs endroits de Libourne subsistent quelques pans de courtine constitués de deux parements faits de matériaux hétérogènes : pierres, galets de lest noyés dans un mortier grossier, il s'agirait des restes des remparts. Aujourd’hui, les portions des murs les mieux conservés dans la rue Lamothe n’atteignent plus que douze mètres environ et s’arrêtent au niveau des machicoulis ; les créneaux et le chemin de ronde ayant disparu.
A l’intérieur de Libourne, l’efficacité de la défense se trouvait renforcée par l’existence d’un chemin qui permettait de faire le tour du périmètre interne des murs. Ce chemin existe encore, rue des Murs et son prolongement, rue Lamothe et rue des Chais. Il permettait aux défenseurs de se porter rapidement en tous points de la muraille en cas d’attaque. Devenues inutiles, les fortifications ont été détruites à la Révolution ou peu après, englobées dans des propriétés privées.
A ne pas manquer également, l'église Saint-Jean-Baptiste, reconstruite au XIXe siècle dans un style néo-gothique et possédant un chœur du XIVe siècle. Au XIe siècle, la construction de l'église Saint-Jean commence. Le lieu choisi est situé dans une zone marécageuse et remplie de fougères, fozera en gascon, et le village gallo-romain de Condate devient Fozera. Cette église détient, depuis le XVIIe siècle, la Sainte Épine, offerte par Charlemagne en 811 et visible lors des Journées du patrimoine.
Poursuivre votre escapade touristique par la rue Jules Ferry, puis vers la place Abel Surchamps (ancienne Place Royale), grande place bordée d'arcades. Toutes les bastides ont été érigées sur le modèle du camp romain avec une place centrale (le forum) entourée d’arcades (couverts ou cornières). Deux grands axes perpendiculaires, le cardo et le decumanus, ainsi qu’une multitude de rues secondaires forment un plan en damier géant. La bastide de Libourne formait un carré parfait de 55 m de côté, soit une superficie de 3 000 m2.
Depuis 600 ans le marché se tient sur la place. Dans un coin de la place Abel Surchamp, à l’emplacement de l’actuel marché couvert, l’église Saint-Thomas, démolie au XIXe siècle était la deuxième de Libourne après l’église Saint-Jean-Baptiste. La place actuelle, rénovée, ne comporte plus de maisons médiévales. Les plus anciennes datent du XVIe siècle avec des arcades en bossage. La plus ancienne se trouve à l’angle de la rue Fonneuve et de la rue Victor Hugo. Elle possède un haut pignon en façade et des arcades surbaissées décorées de claveaux saillants. Guilhem Cholet, potier d’étain de son état, l’habitait en 1598.
Parmi les beaux immeubles bordant la place, on trouve également l'hôtel de ville de Libourne, construit en 1427, il fut agrandi au XIXe siècle. L'l’Hôtel de Ville est l’un des monuments les plus emblématiques de la bastide. C’est en son sein qu’avaient lieu les élections du maire et des jurats, dans la salle du conseil, chaque 22 juillet, jour de la Sainte-Madeleine. C’est aussi ici que les membres des différentes corporations venaient prêter serment en apposant leur main droite sur le Livre Velu, le livre des lois de Libourne. A cette époque, les bastides étaient dotées d’une charte de constitution et l’Hôtel de Ville, coeur du pouvoir décisionnaire, se devait d’en imposer.
Dès le Moyen-Age, l'hôtel de ville de Libourne se para d’une architecture gothique, entièrement remaniée dans un style néogothique pur, inspiré de Viollet-le-Duc. Si vous levez la tête en y entrant, vous pourrez saluer les architectes qui vous sourient du haut des écussons à leurs effigies, placés sur les clefs de voûte principales.
De la galerie, il est possible d’accéder au jardin intérieur. Au milieu, sur un socle de pierre blanche, se trouve le buste en bronze de Robert Boulin, médaillé de la Résistance, maire de Libourne, député de la Gironde et ministre avant sa tragique disparition en 1979. Au deuxième étage de l’Hôtel de Ville se trouve le Musée des Beaux-Arts, fleuron de l’art libournais, dont la collection fut largement étoffée par le duc Decazes au XIXème siècle. Labellisé musée de France, il possède de belles collections d'œuvres d'Henri de Toulouse-Lautrec, d'Albrecht Dürer ou encore d'Auguste Rodin.
Au Dos à l'hôtel de ville de Libourne, vous pouvez contempler, à droite, plusieurs maisons du XVIIIème siècle, ainsi que à gauche, un très bel ensemble de maisons néo-classiques (n°27, 28, 29 et 30). Suivre la rue Montesquieu jusqu'au 45 All. Robert Boulin, où se trouve la chapelle du Carmel, aujourd'hui centre culturel. Vestige du couvent du Carmel fondé en 1838 par l'Abbé Charriez, la chapelle est devenue, sous l'impulsion de la municipalité, un centre culturel d'Art Contemporain d'envergure nationale après le départ des religieuses rattachées au Carmel de Prouillan en 1972. Vous pouvez admirer son architecture superbement mise en valeur et ses deux rosaces exceptionnelles. Ouverte uniquement pendant les périodes d'exposition.
Prendre la direction de l'avenue du Maréchal Foch où se trouve la fontaine Roudeyre. La fontaine Roudeyre est l’une des multiples sources qui bordait jadis les rives de l’isle et qui sontà l’origine du nom donné au faubourgs qui s’y est développé, hors des murs de la bastide, à partir du XVIIIe siècle, le faubourg des Fontaines. L’aménagement le plus ancien du lavoir remonte à 1683. Les constructions actuelles ont été édifiées en 1832. Le lavoir était alors entouré de parois de bois et entièrement couvert d’un toit de tuile. Au début des années 1960, les travaux de restauration qui sont alors décidé ne laissent subsister que les éléments de pierre qui soutenaient à l’origine les charpentes, et donnent au bassin son profil de péristyle gréco-romain.
Revenir sur vos pas, puis prendre sur votre droite la rue Louise michel pour se rendre sur le Quai des Salinières. Aux XVIème et XVIIème siècles, sur l'Isle, c'est toujours le commerce du sel qui domine. Sur le quai des Salinières, le va-et-vient permanent des sacquiers et des portefaix anime le port. Le sel, venu des Charentes et de la Bretagne, est redistribué dans tout le Périgord par la rivière. Sur la Dordogne, ce sont les grands navires venus des Flandres qui génèrent l'animation. Les bâteaux hollandais viennent en nombre charger les vins du "Haut" (Bergerac, Monbazillac, Sainte-Foy) mais aussi des châtaignes, des noix, des graines de lin... Le nom du quai des Salinières que vous longez est un précieux héritage et témoigne de l’exclusivité accordée à Libourne dans le commerce du sel par le roi Edouard III, au XIVe siècle.
Continuez vers la rue Jean Jacques Rousseau, pour découvrir les vestiges de l'église de l'ancien couvent des Cordeliers. Le couvent des Cordeliers et son église agrandie au XVe siècle ont été fondés vers 1287 par les jurats de Libourne, avec l'approbation d'Edouard 1er d'Angleterre. C'était le lieu habituellement choisi pour les grandes assemblées populaires ou la "cour" des princes de passage. Les jurats tenaient leurs assemblées dans le réfectoire. Ils prêtèrent serment dans l'église jusqu'à la Révolution.
Mis à sac par les Huguenots en 1563, le couvent des Cordeliers hébergea en 1581 le duc d'Alençon et la reine Marguerite de Navarre puis, lors du séjour de Louis XIV à Libourne en 1650, les évêques d'Alais et d'Angoulème ainsi que des seigneurs de la cour. A la Révolution, après la dispersion des religieux, les bâtiments furent vendus et en grande partie détruits. L'église subsista jusqu'à sa démolition presque complète en 1962, malgré la découverte de fresques. Commencée à la fin du XIIIe siècle, l'église fut d'abord un grand bâtiment rectangulaire, non voûté. Au XIVe siècle ou au début du XVe, un bas-côté fut ajouté, voûté et orné de sculptures et de fresques, et divisé en quatre chapelles.
Depuis quelques années, Libourne abrite une plaine de loisirs, Libourne-Plage. Située sur les bords du lac des Dagueys, elle propose différentes activités comme un bassin pour les enfants, des terrains de beach volley, un mini-terrain de basket, ou encore des espaces de pique-nique. L'occasion de faire une pause bucolique pendant cette étape touristique.
Les sites classés aux Monuments Historiques ne manquent pas à Libourne, à commencer par le château du Pintey et son pigeonnier, du XVIIIe siècle situé au 75 Av. de la Roudet, à proximié du lac des Dagueys. A l'origine, le château est davantage une maison de campagne. De chaque côté d'un corps central souligné par un fronton triangulaire, se développent deux ailes contenant chacune deux salles desservies côté est par un couloir voûté d'arêtes. Les communs sont établis perpendiculairement au château.
Si vous souhaitez suivre l'une des route des vins de bordeaux, la route du patrimoine par exemple ; commencez par le château de Sales, construit au XVIIe siècle, situé au 11 Chem. de Sales. Plus grand domaine de l’appellation, le Château de Sales se distingue aussi car il est l’un des rares domaines du Bordelais à avoir été intégralement transmis de génération en génération depuis son acquisition par Bertrand de Sauvanelle à la fin du XVème siècle. Avec sa longue façade flanquée de deux tours carrées se reflétant dans le plan d’eau du parc, sa cour d’honneur et son jardin de bambous, le Château de Sales est une demeure raffinée où il fait bon passer un moment. Faites-vous guider dans les chais où l’on vous explique le rôle des cuves ciment thermo-régulées et des barriques en chêne. Dégustez ensuite avec modération, dans un environnement élégant, les vins élevés et mis en bouteille sur place.
Carnet pratique de Libourne
Les incontournables de Libourne
- Les visites des villes et villages.
- Circuits de randonnées pédestres et cyclotouristiques.
Visites
Activités & Festivités :
- En avril, place à la foire aux fleurs et aux miels, l'occasion d'acheter fleurs, arbustes, ou encore décorations de jardin. La foire des Rameaux se déroule à la même période, avec un marché et une fête foraine.
- La principale attraction culturelle de Libourne est le fameux Fest'arts. Ce festival de théâtre de rue se déroule chaque année, au mois d'août, et permet d'assister à de nombreux spectacles. Les artistes de tous les horizons prennent place dans les rues de la ville et proposent danse, jonglage, théâtre ou musique aux visiteurs de passage.
- En novembre, la ville accueille la foire de la Saint-Martin, avec différents étals de commerçants de bouche ou d'artisanat, et une fête foraine.
Plus d'information
- Hôtel de ville - place Abel-Surchamp - Libourne - site internet
- Office de Tourisme du Libournais - 40 Pl. Abel Surchamp- bienvenue@tourisme-libournais.com : site internet
- Guide Bordeaux Gironde : site internet
- Gironde Tourisme : site internet
- Aquitaine On Line : site internet
- Nouvelle Aquitaine Tourisme : site internet
Marchés à visiter près de Libourne
- Libourne : mardi, vendredi et dimanche matin.
- Branne : marché Jeudi & Samedi (11km)
- Coutras : marché Mercredi & Samedi (15km)
- Castillon-la-Bataille : marché Lundi (17km)
- Creon : marché Mercredi (18km)
- Ambares-et-Lagrave : marché Vendredi & (20km)
- Carbon-Blanc : marché Jeudi (21km)
- Bassens : marché Dimanche (22km)
- Cavignac : marché Jeudi (23km)
- Cenon : marché Mercredi (24km)
- Begles : marché Mercredi (28km)
Sites touristiques près de Libourne
- Jardins du château de Vayres : jardin remarquable (6 km)
- Saint-Emilion : site du patrimoine (7 km)
- Collégiale et chapelle de la Trinité (Saint-Emilion) : monument religieux (7 km)
- Jardin du Fond de l’or : jardin remarquable (9 km)
- Eglise de Saint Pierre (Petit-Palais-et-Cornemps) : monument religieux (16 km)
- La Sauve Majeure abbaye (chemins de pèlerinage) : site du patrimoine (17 km)
- Abbaye de La Sauve Majeure abbaye : monument national (17 km)
- La Sauve église St Pierre (chemins de pèlerinage) : site du patrimoine (17 km)
- Grotte Pair-non-Pair : monument national (25 km)
- Montcaret site achéologique : monument national (25 km)
- Bordeaux basilique Saint-Michel (chemins de pèlerinage) : site du patrimoine (27 km)
- Tour Pey-Berland : monument national (28 km)
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- A voir dans Libourne
- A faire dans Libourne
- Parcours touristique dans Libourne
- Histoire de Libourne
Pour vous rendre à Libourne
Libourne
14 °C Couvert
Min: 14 °C | Max: 14 °C | Vent: 26 kmh 153°
Le saviez-vous ?
N'oubliez pas !
Par respect pour les habitants et l'environnement, merci de respecter les panneaux signalétiques et consignes. Merci de respecter le droit de propriété et de ne pas pénétrer sur les terrains privés :
- Observez le code de la route en tous lieux et en toutes circonstances, et soyez courtois avec les autres usagers que vous pourrez croiser sur votre chemin.
- Camping et Feux interdits (pas de barbecue)
- La nature est fragile et des chutes de pierres sont parfois fréquentes.
- Veuillez ramasser vos déchets avant de partir.
- Plus que les sacs plastiques ou les pailles, ce sont les mégots de cigarettes qui pollueraient le plus les océans. les filtres à cigarettes se dégradent très lentement. Deux ans en moyenne.
- L'un des "petits gestes élémentaires" à accomplir : ne plus jeter ses mégots par terre. Pensez boite à mégots !
Nos coups de coeur à Libourne
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Date de dernière mise à jour : 12/02/2022
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