Sainte-Foy-la-Grande (Bastide-33)

Sainte-Foy-la-Grande est l'une des plus petites communes de France : elle s'étend sur les bords de la rivière Dordogne, au cœur du pays Foyen, à la croisée des départements de la Dordogne et du Lot-et-Garonne. Elle se situe aux limites des vignobles de Monbazillac, Duras et Saint-Emilion, à une centaine de kilomètres de Bordeaux et de ses sites touristiques. Commune de Gironde, elle est aujourd'hui l'une des plus petites communes de France et attire les visiteurs de passage par son charme et son patrimoine architectural et historique.

L’abbaye de Conques avait fondé en 812 un établissement religieux sur l’emplacement de la bastide de Sainte-Foy, qui faisait partie du diocède d’Agen. La bastide de Sainte-Foy-la-Grande qui s'appelle à l'origine Sainte-Foy-en-Agenais est fondée en 1255 sur un territoire presque vierge situé sur les bords de la Dordogne, par Alphonse de Poitiers, comte de Toulouse, frère de Saint Louis (Louis IX). Dès l’année 1256, il accorde une charte de coutumes aux habitants. 

En 1326, Alfonse d’Espagne, seigneur de Lunel et lieutenant du roi, accorde aux consuls de la ville le droit de la fortifier. Sa position stratégique de ville frontalière avec les possessions anglaises en a fait une place forte importante. La bastide ne tarde pas à rentrer dans le giron des Anglais. Elle est un temps conquise par les Anglais au XVe siècle durant la guerre de Cent Ans.

Dès le Moyen-Age, Sainte-Foy-La-Grande bénéficie de la prospérité grâce au commerce du vin et surtout son port, situé à l’écart de la bastide. Sous la domination anglaise, les vins sont expédiés sur des gabarres vers Libourne ou Blaye pour être embarqués sur les navires de haute mer à destination des îles britanniques. Des activités liées à la principale production locale, l’exploitation de la vigne, sont très importantes : tonneliers et charpentiers de la marine installent leurs ateliers le long de la rivière. A cette époque aussi, le transport fluvial des blés et froments du pays participe aussi à la richesse de Sainte-Foy.

La bastide se rend après la prise de Castillon. La fin de la guerre de Cent Ans amène la prospérité, donnant lieu à la construction de belles demeures. Sainte-Foy-La-Grande a toujours occupé une position particulière entre le Périgord et l'Agenais, tant sur le plan historique, religieux que géographique et administratif. Sainte-Foy-La-Grande devint un bastion protestant au XVIe siècle. Les vins de Sainte-Foy-La-Grande sont exportés vers la Hollande après la révocation de l’Edit de Nantes. De nombreux protestants de la région ont alors choisi l’exil vers ce pays.

Le sud-ouest de la France recense quelques 350 bastides constituant un véritable patrimoine identitaire représentatif de l’aspect régional. Toutes les bastides sont différentes, mais elles conservent leur plan régulier, centré autour de la place du marché entourée de maisons à arcades. Le plan de la bastide de Sainte-Foy-la-Grande est l’un des plus représentatifs du système régulier des villes neuves du moyen âge. Les îlots sont carrés dans l’axe nord-sud de la place, et rectangulaires pour les autres. Les quatre anciens quartiers subsistent toujours. Sainte-Foy est originale par son plan orthogonal, divisé par des rues droites qui se coupent à angle droit, excepté deux rues diagonales dans l’angle sud-est. Sainte-Foy-la-Grande présente, au fil de son plan en damiers, un patrimoine architectural remarquable : place centrale à arcades et demeures à colombages des XVe et XVIe siècles.

Pour stationner votre véhicule, vous trouverez le parking du jardin public, situé Allée J.raymond Guyon. Commencer votre balade par la place de la Halle, à l’origine, comme le veut la tradition, la halle en bois était érigée au centre de la place de la bastide. En 1742, la halle est déplacée dans le quartier Imbert, pour permettre la construction d’un hôtel de ville à son emplacement d’origine. En 1853, elle est de nouveau déplacée et installée hors des remparts, boulevard Larégnère. Vingt colonnes trapues d’ordre toscan, en pierre de Rottersac, soutiennent une remarquable charpente en bois, disposée en traits de Jupiter. Sur celle-ci repose une traditionnelle toiture en tuile creuse, qui permet ainsi aux marchands d’être protégés à la fois des ardeurs du soleil et de la pluie. La halle sera pavée en 1895.

Pour préparer votre visite, nous vous conseillons de passer à l'office de Tourisme du Pays Foyen, situé au 102 Rue de la République. De nombreuses maisons remarquables sont présentes dans de nombreuses rues de la bastide. C’est notamment le cas de l’Office de Tourisme qui occupe une imposante maison à colombage à deux étages. Henri IV ayant fait cinq séjours à Sainte-Foy-la-Grande, dont un de trois semaines en 1584 pendant lequel il rendit visite à Montaigne, récompensa les consuls de Sainte-Foy pour leur accueil. Il en annoblit deux et les autorisa à élever une tourelle surmontée d'une girouette à l'angle de leur demeure. Cette maison devait appartenir à l'un de ces consuls.

La maison du XVe siècle, avec poutres apparentes, présente donc une tourelle du XVIe siècle. Chaque étage est en saillie sur le précédent et repose sur les poutres. Le bâtiment, restauré, conserve à l’intérieur ses poutres d’origine et un escalier de bois implanté entre le premier et le deuxième étage. Des croisillons de bois ornent les deux façades. La tourelle a dû être en encorbellement mais sa base est noyée dans la maçonnerie. Une Girouette en fer forgé demeure au-dessus de la tourelle.  Au début du XXe siècle, ce logis est successivement occupé par un grossiste, puis un bar-restaurant et enfin par le Syndicat d’Initiative qui s’y installe en 1932. L’office de Tourisme du Pays Foyen abrite un musée d’archéologie locale. La ville a également consacré un musée de la batellerie, évoquant le commerce du vin transporté sur des gabarres et des couraux jusqu’à Libourne sur le fleuve Dordogne, "la rivière Espérance".

A proximité de l’Office de Tourisme, au 94 et 96 rue de la République, vous pouvez également observer une remarquable maison à colombages entièrement restaurée qui possède des fenêtres à meneaux du XVe siècle et des petites sculptures en bois sur les poutres de la façade avant. Cette maison du XVe siècle à deux étages sur rez-de-chaussée, chaque étage faisant saillie sur le précédent et reposant sur un bandeau de bois sculpté. Les montants des fenêtres autrefois à meneaux sont également sculptés. A l'angle de la maison et entre les fenêtres se trouvent de grosses poutres ornées de personnages. A droite, un homme nu mutilé volontairement, avec un chien à la base. Au centre, un animal à tête humaine, la base de la poutre formant niche. A gauche, une femme en robe à plis est agenouillée. Un ange sur le cul de lampe.

Continuez votre promenade dans la rue de la République, à l'angle de la rue Victor-Hugo, admirer une belle maison d'angle à tourelle, construite entièrement en pierre de taille. Cette maison devait appartenir à l'un de ces consuls, la date de 1583 surmontant le porche semble être celle de la construction de la tourelle. Cette maison du XVIe siècle devait avoir des colombages qui ont disparu lors d'une réfection qui semble remonter au XVIIe siècle. Cette maison est dite "Maison Bellet" du nom d’une importante famille foyenne, qui a comporté des médecins, avocats au parlement de Guyenne, consuls et notables administrant la cité de Saint-Foy-la-Grande. On sait qu’Henri de Navarre a séjourné plusieurs fois dans cette maison entre 1577 et 1588. 

En face se trouve une Maison à pans de bois avec moulures sculptées du XVe siècle. Dirigez-vous ensuite vers la rue des Frères-Reclus, au 24 se trouve la maison dite Tour du Temple, appelée aussi la "maison des prêtres". Cette ancienne maison forte appartenait aux Templiers et a dû être construite entre 1280 et 1310. Edifice bâtie sur plan barlong., sur trois étages au-dessus du rez-de-chaussée, formés chacun d'une seule pièce pourvue de plancher. L’édifice est bâti en petit bel appareil smillé, comme celui des remparts de la ville. Une tour carrée, plus étroite et plus élevée que la maison, en flanque la façade orientale. Le rez-de-chaussée servait de magasin, le premier étage, éclairé par six fenêtres trilobées, est pourvu une grande cheminée. Le second étage est recouvert d’une voûte d’arêtes, dont la retombée des arcs se fait sur des culs-de-lampe représentant quatre têtes humaines frustes et grimaçantes. Le troisième étage, salle principale de la maison, est éclairé par quatre fenêtres géminées. Une tour carrée flanque la façade est. L'entrée à l'ouest se fait par deux portes ogivales.

Au niveau du n°38 de la Rue des frères Reclus, on distingue un androne, cet égoût à ciel ouvert recueillant les eaux usées ou pluviales, à qui on prête également le rôle de coupe-feu, qui sépare les maisons les unes des autres. La façade ouest de la maison Félix, restaurée en 1998 est remarquable. C’est une vieille maison de pierre qui se développe sur deux étages, avec des traces d’arcades au rez-de-chaussée, de doubles baies trilobées géminées au premier étage. Elle a probablement été pourvue d’une galerie au second. Faisant face à cette demeure, on découvre une autre vieille maison au rez-de-chaussée en pierre de taille dont les deux étages mêlent colombages et briques.

Continuez en direction de la Place centrale à arcades (place Gambetta, ancienne place d'Armes, ou place de l'Hôtel de ville). Les couverts, ou galerie à arcades, datent de la fin du XVème siècle. Ce sont un élément constant de la majorité des bastides édifiées à l'époque. Ils marquent une volonté d'urbanisme moderne et fonctionnel. Ils ceinturent la place centrale et constituent des galeries couvertes donnant accès à des logements ou, plus généralement, à des commerces et étals. Au dessus sont bâties des habitations à colombages. L’une d’elles est la maison natale de Paul Broca. Le couvert sud a été détruit sous Napoléon III pour permettre le passage des véhicules ou diligences empruntant la route impériale 136.

La mairie de Sainte-Foy-la-Grande se trouve sur la place. L’Hôtel de Ville ainsi que la halle d’origine ont été remplacés en 1869 par un nouvel Hôtel de Ville posés sur des arcades où se tenaient jusqu’en 1968 de petits marchés quotidiens. Dans la rue Pasteur au 43, se trouve la maison Corriger, c'est l’une des plus anciennes maisons du XIIIe siècle de la cité, construites en pierre. Il n’en subsiste que le rez-de-chaussée matérialisé par de larges baies ogivales surmontées d’archivoltes retombant sur des culs-de-lampe. Des corbeaux, formés de figures grimaçantes, servaient à maintenir un auvent. Cette maison, occupée aujourd’hui par une galerie d’art, a abrité de nombreuses années l’atelier de l’artiste Paul Corriger (1923-2009). Des fresques colorées de sa main ornent les bâtiments publics de sa ville natale (la gare, la poste, l’hôpital et le lycée).

Le Temple protestant, situé également dans la rue Louis-Pasteur, à l'angle de la rue Chanzy, date du début du XIXe siècle, il remplace celui du XVIe siècle. Sainte-Foy-la-Grande est célèbre par ses personnalités illustres, les médecins Gratiolet et Broca, les géographes E. et O. Reclus et l’historien de l’art Elie Faure. La Religion Réformée implantée à Sainte-Foy au XVIe siècle, est toujours très présente dans la cité. Le premier temple est ainsi construit sur l’actuelle place du marché à la volaille, à l’époque où la ville était sous influence huguenote. Il a été détruit sur ordre du parlement de Guyenne, en 1681, prétextant qu’il a été construit sur les "deniers publics". L’une des deux cloches du temple a été donnée à l’église Notre-Dame.

Des fragments de colonnes appartenant à ce premier édifice ont été pieusement conservés. Ils prennent place désormais sur l’esplanade François Mitterrand, sur une terrasse dominant la Dordogne. Le temple actuel, a été construit sur le terrain de Matthieu Jouhanneau-Larégnère. Les travaux débutent en 1824, et s’achèvent en 1829. En 1870, la décoration du portail est complétée de colonnes, feuilles de palmes et d’une bible ouverte. Le Temple protestant conserve un bel orgue alsacien de Stiehr et Mockers construit en 1842, restauré en 1995 par le facteur gersois Patrice Bellet.

Vous remarquerez aussi dans la rue Pasteur les traces d’une baie en ogive et une petite porte encadrée de pilastres plats, surmontés de chapiteaux et d’un entablement dans la rue des Remparts, restent du couvent des Récollets. Le couvent s’est installé vers 1630 à Sainte-Foy-la-Grande, pour lutter contre la Réforme. A ce titre, on y dispensa un enseignement de qualité. Le couvent vendu comme bien national, en 1791 et transformé par son nouvel acquéreur en manufacture de tabac.

La rue des Remparts comporte l’immeuble de la Vieille Auberge, maison à colombages bien conservée et la maison Gayet avec sa porte cloutée. De nombreux bâtiments de Sainte-Foy-la-Grande datent de l'époque médiévale, comme une des maisons de la rue Alsace-Lorraine, étudiée par le musée du Pays foyen. Datant des XIIIe et XIVe siècles, la maison Corriger en pierre élevé sur trois niveaux a eu dans le passé des fonctions religieuses et militaires ; au XXe siècle, il sert de commerce, puis de garage. Des inscriptions sur les poutres, graffitis datant de la Révolution, traces de tapisserie et dessins de saints sur les murs sont encore visibles. Entièrement bâtie en pierre, elle comporte de larges baies. La Maison Corriger, dans son jardin, rue de Chanzy conserve un pan de l'ancienne muraille intéressant.

La rue Chanzy, en effet comporte un pan de la muraille et une tour de guet construits en 1306, vestiges des remparts médiévaux. La Tour de la Brèche dont on aperçoit une partie de l’élévation est le seul vestige de la Citadelle détruite en 1635. Un pan de mur, allée de Coreilhes, est un vestige du fort de Coreilhes. On peut également observer, boulevard Larégnère, une tour et un tronçon du rempart, tous deux restaurés par la municipalité. Une autre tour transformée en maison d’habitation se trouve rue Waldeck Rousseau, près du boulevard Gratiolet.

La bastide de Sainte-Foy-la-Grande, comme le stipule la charte de fondation, est entourée de murs bâtis en appareil moyen dont le blocage est extrêmement dur  : ils sont épais d’un mètre environ et bosselés de tours rondes du côté de la campagne. Les murailles étaient percées de quatre portes du côté de la terre, et, vers la rivière, d’une cinquième. Ces portes n’existent plus ; elles s’ouvraient toutes, excepté celle de la Rivière et de Tourny, entre deux tours saillantes, et les fossés suivaient les mouvements des tours, faisant devant elles une courbe. La porte de Tourny était protégée par une tour carrée. La porte du sud avait, de plus, une barbacane murée semi-circulaire, dont le passage se trouvait près de la tour orientale. A la fin du XVI e siècle, les murailles sont renforcées sur ordre d’Henri de Navarre, futur roi de France. On bâtit alors en bord de Dordogne la Citadelle (à l’est) et le fort de Coreilhes (à l’ouest. Après l’entrée de Louis XIII en 1622, ces constructions sont démantelées, la ville ne conservant que ses remparts du XIVe siècle

Revenez vers l'église Notre-Dame, construite au XIIIe siècle et agrandie au XVIIe et au XIXe siècle, cette église mérite le détour. L'église Notre-Dame est détruite en  partie par les Huguenots en 1561, peu avant les guerres de Religion, lors desquelles la majorité de la population est désormais protestante. Cependant, la défaite des troupes protestantes face aux armées royales sous Louis XIII et les conversions forcées opérées sous Louis XIV retournent la situation. Les seuls éléments anciens sont la façade, l’oratoire et ses curieux culots figurant des têtes sculptées et enfin la tribune.

Le long de l’église Notre-Dame se trouve une des plus anciennes venelles de Sainte-Foy-la-Grande, le ruet Notre-Dame qui prolonge le ruet Alphonse de Poitiers. Le ruet est une venelle ou voie large de deux mètres environ, destinée à faciliter l’accès à l’arrière des habitations. Dans ce ruet Notre-Dame se trouve une maisons en pierre du XIIIe siècle. On aperçoit toujours aujourd’hui, deux grandes portes ogivales et une autre petite porte de même forme facilitant l’accès au rez-de-chaussée, qui, lorsque les portes étaient fermées, n’était éclairé que par un petit jour placé entre les deux grandes portes et au niveau du sommet de la clef de l’arcade. Le premier étage, séparé du rez-de-chaussée par un bandeau taillé en larmier, était éclairé par deux fenêtres géminées trilobées séparées par une colonnette ; chaque fenêtre est recouverte par une archivolte ogivale surmontée d’un cordon retombant sur deux culs-delampe

En sortant du ruet Notre-Dame, prendre sur votre droite pour revenir flaner rue Alsace-Lorraine, au n°55, vous pourrez apercevoir aussi une jolie fenêtre trilobée d’une maison du XIIIe siècle. Au 59, se trouve la maison d’une des figures de Sainte-Foy-la-Grande : Pierre-Anselme Garrau (1762-1829), « bienfaiteur des religions », homme politique de la région : maire de Sainte-Foy, président du district de Libourne, député…. Il siégea à la Convention et vota la mort de Louis XVI en 1793. Nommé commissaire dans l’armée napoléonienne en 1796, il s’en fera exclure pour s’être opposé plusieurs fois à Bonaparte. Il intègre le Conseil des Cinq-Cents l’année suivante. Sous Louis XVIII, la loi contre les régicides l’oblige à l’exil. Absous, il rentrera finir ses jours à Saint-André-et-Appelles, commune voisine de Sainte-Foy-la-Grande.

Dirigez-vous vers la Rue Jean-Jacques Rousseau pour découvrir l'immeuble des Filles de la Foi. Ce vaste bâtiment, du XVIIe siècle, est une ancienne caserne de la garnison royale. En 1686, en pleine période de rénovation du catholicisme, Louis XIV ordonne l’installation en ces lieux d’une communauté des Filles de la Foi où les religieuses suivent une éducation de choix. Le couvent occupe alors l’ensemble de l’îlot compris entre les rues Jean-Jacques Rousseau, des Lauriers, Denfer-Rochereau et Jean-Louis Faure. L’immeuble, du XVIIe siècle, possède un toit à brisis, percé de jolies lucarnes. Un splendide escalier de pierre avec sa rampe en fer forgé ouvragée dessert le bâtiment du rez-de-chaussée au second étage. Pendant la Révolution, le bâtiment devient une école publique, puis une caserne de hussards. En 1825, le collège protestant est installé dans l’immeuble, il accueillera sur ses bancs tout au long du XIXe siècle les plus illustres des Foyens, Paul Broca, Elisée Reclus et Elie Faure. L’établissement est renommé à travers tout le pays. Récemment restauré, le bâtiment a été transformé en appartement privés.

N'oubliez pas !

Par respect pour les habitants et l'environnement, merci de respecter les panneaux signalétiques et consignes. Merci de respecter le droit de propriété et de ne pas pénétrer sur les terrains privés :

• Observez le code de la route en tous lieux et en toutes circonstances, et soyez courtois avec les autres usagers que vous pourrez croiser sur votre chemin.
• Camping et Feux interdits (pas de barbecue)
• La nature est fragile et des chutes de pierres sont parfois fréquentes.
• Veuillez ramasser vos déchets avant de partir.
• Plus que les sacs plastiques ou les pailles, ce sont les mégots de cigarettes qui pollueraient le plus les océans. les filtres à cigarettes se dégradent très lentement. Deux ans en moyenne.
• L'un des "petits gestes élémentaires" à accomplir : ne plus jeter ses mégots par terre. ​Pensez boite à mégots !

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