Château de Châteauneuf-en-Auxois (21)
Le château de Châteauneuf-en-Auxois : balcon stratégique entre Dijon et Autun !
Dans la commune de Châteauneuf-en-Auxois, dans le département français de la Côte-d'Or en bourgogne. le point d’orgue de votre séjour àdans le vieux bourg médiéval de Châteauneuf sera évidemment votre visite du château. Admirez-le, découvrez ses lieux de vies et profitez de la vue !
Construit sur un éperon rocheux, surplombant d'une centaine de mètres la dépression de l'Auxois, cette longue forteresse surveillait le passage obligé d'une voie remontant du versant séquanien par l'Armançon pour redescendre ensuite vers la vallée de l'Ouche, Dijon, et la Saône. Plongez au cœur d’une période riche de l’histoire des ducs de Bourgogne, vous ne pouvez donc manquer cet édifice incontournable.
Destiné à commander l'ancienne route de Dijon à Autun, on estime que c’est aux alentours de 1150 qu’un seigneur local, Jean de Chaudenay, aménage une place forte, en bois principalement, sur un éperon rocheux afin de dominer la vallée de la Vandenesse, et ainsi protéger son château de Chaudenay. Son fils s’y installe à la fin du XIIe siècle. Le château évoluant au fil des siècles, il ne reste rien aujourd’hui de cette première demeure. Au milieu du XIVe siècle, le château est doté de nouveaux éléments défensifs: une enceinte close de hautes courtines, flanquée de tours massives en fer-à-cheval, et précédée, sur ses flancs nord et est, d'un fossé taillé à même le roc.
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En 1460, le Château de Châteauneuf-en-Auxois change brutalement de propriétaire, suite à un procès condamnant Catherine de Châteauneuf. Héritière de la seigneurie Catherine de Châteauneuf, aime un autre homme que son deuxième époux, Jacques d’Haussonville. Celui-ci refuse de la laisser partir avec un autre, comme le veulent les traditions de l'époque. Catherine de Châteauneuf empoisonne alors son époux avec un gâteau. Une servante le goûte également, et les deux meurent brutalement. Cet événement attire la suspicion de l’entourage de Catherine. Démasquée, elle est emmenée à Paris pour être brulée vive.
Alors que le Château de Châteauneuf-en-Auxois est confisqué à la famille de Catherine de Châteauneuf, les Ducs de Bourgogne en prennent possession. C’est le petit-fils d’un chambellan du duc de Bourgogne, Philippe Pot, conseiller du duc Philippe le Bon qui devient propriétaire du château. Philippe Pot (1428-1493), administrateur et négociateur, a joué un rôle important à la cour ducale des Valois et en Bourgogne annexée, il est hissé au titre de chevalier de la Toison d'Or en 1461. Il devient ensuite grand maître de l'hôtel du duc sous Charles le Téméraire. Après l'annexion de la Bourgogne ducale par Louis XI (réalisée en 1477 et confirmée par le Traité d'Arras en 1482), la carrière de Philippe Pot ne s'arrête pas, dans la mesure où ce dernier fait partie des nobles bourguignons passés au service du roi. Louis XI fait même de lui son grand sénéchal de Bourgogne (1477) et Charles VIII le confirme dans ses propres faveurs et à son poste.
Philippe Pot va réaménager le Château de Châteauneuf-en-Auxois, par des constructions gothiques luxueuses : la chapelle, le grand logis et le logis d'hôte. Philippe Pot change les toitures des tours, et développe à la fois ses éléments de défense et les pièces de vie pour en faire une demeure secondaire. Philippe Pot fait reconstruire le grand logis et installe des appartements dans les tours. Le confort gagne le château et son aspect extérieur s’embellit également. Apparaissent notamment des arcs en accolade pour faire ressortir portes et fenêtres, et les lucarnes sont décorées. Le château devient une véritable demeure d'apparat et de plaisance en plus d'une place forte, la menace de guerre étant moins forte à l’époque.
A sa mort, le lieu va connaître ensuite divers propriétaire. Philippe Pot n'était pas marié et n'avait pas d'enfants, c'est son frère Guyot, puis son neveu Régnier qui héritent du Château de Châteauneuf-en-Auxois. Il revient ensuite à la fille de celui-ci, Anne, épouse de Guillaume de Montmorency. Leur propre fils, agrandit le domaine. A partir de 1567, date du décès du connétable, sa veuve Madeleine de Savoie réside parfois à Châteauneuf et rétablit le culte à la chapelle. Lors des guerres de Religion, en 1590, le château, dont Charles de Montmorenccy a fait une place forte de la ligue, est assiégé par les troupes fidèles à Henri IV, comme beaucoup de châteaux en Bourgogne à cette époque troublée.
En 1627, Château de Châteauneuf est vendu à Charles de Vienne, seigneur de Commarin, propriétaire de plusieurs domaines, cumulant de hautes fonctions en Bourgogne et au-delà. Le château sera réaménagé de manière conséquente au XVIIe siècle par la famille de Vienne, qui possède également le château de Commarin dans la vallée. Au rez-de-chaussée du grand logis, une tour de défense datant du XIVe siècle est réaménagée en salle à manger. Au cours du XVIIe siècle, le château médiéval est une nouvelle fois en grande partie réaménagé. Ainsi le premier étage de la tour maîtresse reçoit-il un décor spécifique incluant les portraits des commanditaires. Installée au premier étage de la tour carrée, partie la plus ancienne du Château de Châteauneuf du XIIe - XIIIe siècles, la chambre dite "de Vienne" conserve aujourd'hui des éléments témoignant de cinq siècles d'utilisation.
En juillet 1782, le Château de Châteauneuf-en-Auxois et les terres sont acquis par Jacques-François de Damas, marquis d'Antigny, propriétaire de Commarin par héritage. La petite-fille de Jacques-François de Damas se marie avec un Vogüé et le château passe dans cette famille en 1802. Lors de la Révolution française, tous les symboles royaux et armoiries sont dégradés ou bien détruits. Au début du XIXe siècle, l’époque médiévale est en vogue, et le château de Châteauneuf devient donc un lieu qui attire l’intérêt des passionnés. Le comte Georges de Vogüé (1898-1987), fils d'Arthur, cède la forteresse à l’État en 1936.
Le 26 août 1939, 912 oeuvres d'art du musée des Beaux-Art de Dijon ont été mises à l'abri au château de Châteauneuf. En effet, dès 1936, le Direction des Musées de France avait demandé la préparation d'un plan d'évacuation des collections dans le cas où une nouvelle guerre éclaterait. Le 26 août 1939, un ordre préfectoral d'évacuation fut donné. Dix voyages ont été organisés pour acheminer les œuvres les plus importantes du musée ainsi que les documents les plus précieux de la bibliothèque municipale de Dijon et des archives départementales de la Côte-d'Or jusqu'au château. En 1982, une toiture est ajoutée au logis des hôtes, tandis que le château est remeublé pour permettre aux visiteurs de se replonger dans la vie quotidienne du Moyen Age au XVIIe siècle.
Ce vaste vaisseau de pierre de 75 m de long sur 35 m de large, bâti sur un éperon rocheux situé à 475 mètres d’altitude, domine la vallée du canal de Bourgogne. Elle doit sa sévérité à son enceinte polygonale flanquée de tours massives et à ses larges fossés, que l'on franchit par l'un des anciens ponts-levis. Dans la cour intérieure, le donjon primitif s'entoure de deux corps de logis construits au XVe siècle. Entre architecture guerrière et lieux de vie aristocratiques, la visite du Château de Châteauneuf-en-Auxois nous fait traverser les siècles, huit espaces de visite s’offrent à vous !
Le Château de Châteauneuf est défendu à l'est par un fossé précédé d'un glacis, au sud par un fossé et un parapet de contrescarpe, et à l'ouest par des terrasses. Les irrégularités du plan semblent s'expliquer par la fusion de deux cours distinctes : au nord, une cour ancienne triangulaire garnie d'une tour à chaque angle : le donjon rectangulaire au nord, la tour gauche du pont-levis à l'est, la tour du logis principal à l'ouest. Cette cour s'ouvrait par un pont-levis à balancier aujourd'hui muré, bâti entre ces deux premières tours.
Au sud, une cour carrée postérieure, dont le niveau de sol a été plusieurs fois remonté, était cantonnée des deux tours précédemment citée aux angles nord, et de deux tours en fer à cheval aux angles sud. Au nord, le donjon a une emprise au sol de 10 x 12 m, et une hauteur d'environ 20 m côté cour et 24 m côté terrasse. Les baies les plus anciennes sont d'une part deux fenêtres jumelles à arc surbaissé côté terrasse, d'autre part une série de huit fenêtres de tir sous la corniche. Plusieurs de ces fenêtres ont été bouchées, par des conduits de cheminées ou des bâtiments contigus ; les fenêtres de tir dominant la cour ont été débouchées lors des fouilles de 1995 : on y a découvert deux systèmes de fermeture successifs : d'une part des tourillons de huchette à l'extérieur du linteau, d'autre part des tourillons de mantelet sur le tableau extérieur de l'embrasure.
Au nord du donjon, au droit de sa façade occidentale, une tour de même hauteur, d'emprise au sol plus réduite, vient épauler le donjon. Son rôle est double : d'une part, un mur de refend perpendiculaire au mur du donjon montre que cette tour a eu un rôle de contrefort ; d'autre part, une archère surplombant le fossé oriental indique qu'elle servait aussi à flanquer la courtine orientale. Cette courtine était couronnée d'un chemin de ronde en encorbellement côté cour dont ne subsistent plus que les corbeaux. Elle est percée de deux canonnières à double ébrasement et fente de visée verticale.
Au milieu de cette courtine, une tour carrée hors-œuvre dont le sommet a été arasé au niveau du sommet des courtines, et qui abrite actuellement les toilettes, porte les traces d'un pont-levis archaïque à balancier. Sa façade est ouverte d'une porte charretière murée large de 2,10 m, munie de feuillures de 17 cm, et dont la partie haute est détruite. Sous cette porte, une rainure longue de 2,12 m et large de 70 cm semble le logement du contrepoids. À l'aplomb de cette rainure, dans l'empattement taluté taillé dans la roche, une encoche garde la trace du pont dormant. Cette tour-porche est enfin défendue sur chacun de ses flancs par une petite archère.
Au sud de la cour triangulaire, les deux tours flanquantes offrent un certain nombre de caractères similaires : elles n'ont pas de cave, sont garnies d'archères ; la tour occidentale en a gardé trois, la tour orientale n'en a qu'une, transformée en cheminée, puis en canonnière, et sont couvertes de toits coniques. Néanmoins, la tour occidentale seule est construite en moyen appareil, et semble pour cela faire corps avec le corps de logis qu'elle flanque. Au milieu de la façade est du château, l'accès se fait actuellement par un porche garni d'une porte charretière à arc surbaissé, d'une porte piétonne à gauche, de trois rainures de flèches de pont-levis, et surmonté d'un blason bûché. Le parapet crénelé qui régnait sur l'ensemble a disparu.
Le pont-levis est encadré à gauche par une tour ancienne précédemment décrite dont les archères ont été remplacées par des canonnières, et à droite par une tour semi-circulaire extérieurement identique à la première, mais bâtie sur cave, et vraisemblablement plus moderne de la fin du XVe siècle. Côté cour, la tourelle de gauche est desservie par un escalier en vis dans une tourelle à pan coupé hors-œuvre, et celle de droite par un escalier identique en-œuvre en façade. Les angles sud du château sont garnis de deux tours en fer à cheval hors-œuvre, comprenant chacune un étage de cave voûté en cul de four à orifice zénithal et trois canonnières, un rez-de-chaussée voûté à trois canonnières, et deux étages habitables avec cheminées et fenêtres à coussiège, actuellement en ruines.
Entre ces deux tours, la façade sud du Château de Châteauneuf s'ouvre d'un troisième pont-levis à porte charretière en arc brisé et porte piétonne rectangulaire à gauche, trois rainures et un blason bûché. Ce pont-levis s'ouvre au nu de la façade, sans tour-porche ; il est construit en moyen appareil, comme la façade, et flanqué de part et d'autre de deux canonnières à ébrasement ovale et chambre de tir interne, qui semblent plus récentes que les autres canonnières du château. Sur les montants de la porte piétonne, des encoches de garde-corps montrent que cette porte a été utilisée, ce que confirme les trois piles de pont qui la précèdent.
En revanche, la porte charretière n'a ni pile de pont, ni encoche de garde-corps. Elle n'a jamais été mise en service, ce qui est normal puisqu'elle s'ouvre à 3 m environ au-dessus du niveau de la contrescarpe. La cour est occupée par trois bâtiments. Au nord, le logis principal s'appuie sur le donjon et la courtine occidentale ; construit entièrement en moyen appareil. Le logis principal est flanqué côté terrasse par une tour semi-ronde précédemment décrite, et côté cour par une tourelle octogonale demi-hors-œuvre dissimulant un escalier en vis ; ses larges croisées, ainsi que la distribution intérieure, ont été mis au goût du XVIIe siècle.
Au droit de ce bâtiment, au nord, la chapelle est un bâtiment rectangulaire indépendant. L'espace de quelques mètres laissé vaquant entre la nef et la courtine a été fermé pour y construire diverses remises ; l'intérieur est couvert d'une voûte de bois, et décoré de fresques sévèrement restaurées au XIXe siècle. Enfin, dans l'angle sud-est, le logis dit de Philippe Pot, éternellement en restauration, est très similaire au logis principal, à l'exception de la tourelle d'escalier, ronde et en-œuvre en façade, et couronnée d'une lanterne sur le toit. Le grand logis avec son architecture gothique est remeublé et un espace d’accueil est réalisé. Les meubles sont fabriqués ou prêtés par différents musées.
Parmi les parties remarquables du Château de Châteauneuf-en-Auxois, en contrebas on trouve la chapelle, l’une des sections les plus anciennes, construite aux alentours de 1280, et redécorée à la fin du XVe siècle par Philippe Pot aux couleurs de ce dernier, noir, jaune et rouge. Sous les lambris du plafond, réside une charpente en chêne datant de la fin du XIIIe siècle. On y trouve également des vestiges religieux, un lavabo liturgique ainsi que deux vasques pour les ablutions. La Chapelle avec ses carreaux vernissées et ses peintures du Xe siècle abrite également une Vierge à l'oiseau du XIVe siècle.
La visite du Château de Châteauneuf-en-Auxois peut s'accompagner de celle de son jardin d'inspiration médiévale situé à gauche, juste avant le pont-levis. Il s’inspire à la fois du jardin des paysans, de celui des moines et du jardin courtois des seigneurs. Composé de sept carrés, entourés de plessis, le jardin pédagogique du château de Châteauneuf recrée l’univers du Moyen Âge avec ses croyances, ses coutumes, ses goûts alimentaires et ses classifications propres. Un ouvrage relatant la riche histoire du château vient de paraître aux éditions Lieux-Dits, suite à un important travail de recherche de la part du service Inventaire et Patrimoine de la Région Bourgogne Franche-Comté.
Carnet pratique de Châteauneuf-en-Auxois
Les incontournables de Châteauneuf-en-Auxois
- Les visites des villes et villages.
- Circuits de randonnées pédestres et cyclotouristiques.
Visites :
- Le château
- L’église Saint-Jacques et Saint-Philippe
- La visite guidée du village
- Châteaux et remparts : la forteresse
- Panoramas : la vue sur les monts du Morvan et la plaine de l’Auxois depuis le belvédère
Activités & Festivités :
- Fête de Saint-Hubert en octobre, avec différentes animations, marchés gourmands, bénédiction des animaux et autres manèges en tous genres.
- Fin juillet, tous les deux ans, les années paires, les jolies ruelles de Châteauneuf s'animent à l'occasion des Médiévales : joutes équestres, danses médiévales, spectacle de feu, tirs d'artillerie, échoppes d'artisans… plongent les visiteurs dans une ambiance 100% Moyen Âge.
Marchés à visiter
- Bligny-sur-Ouche : marché Mercredi (13km)
- Nuits-Saint-Georges : marché Vendredi (25km)
- Beaune : marché Mercredi & Samedi (26km)
- Epinac : marché Mercredi & Dimanche (27km)
- Chenove : marché Mercredi & Dimanche (29km)
- Saulieu : marché Samedi (32km)
- Dijon : marché Mardi, Mercredi, Jeudi, Vendredi & Samedi (32km)
- Longvic : marché Dimanche (33km)
- Chagny : marché Jeudi & Dimanche (35km)
- Venarey-les-Laumes : marché Mercredi (38km)
Sites touristiques à visiter près de Châteauneuf-en-Auxois
- Abbaye de la Bussière : jardin remarquable (6km)
- Parc et jardin du château de Barbirey sur Ouche : jardin remarquable (10km)
- Beaune : ville fleurie 4* et ville d'art et d'histoire (26km)
- Cirque du Bout du Monde : site de grand beauté naturel (26km)
- Hospices de Beaune (Beaune) : monument religieux (26km)
- Parc et jardins du château de Sully : jardin remarquable (26km)
- Basilique de Saint Andoche (Saulieu) : monument religieux (32km)
- Dijon : secteur sauvegardé (32km)
- Flavigny : plus beaux village de France (34km)
- Jardin de la Chaux : jardin remarquable (35km)
Plus d'information
- Mairie Châteauneuf-en-Auxois - Grande Rue - 21320 Châteauneuf - Tél.: 03 80 49 21 64 - mairie.chateauneuf21@wanadoo.fr - Site internet
- Châteauneuf-en-Auxois Tourisme : site web
- Office de Tourisme de Pouilly-en-Auxois - Tél : 03 80 90 74 24 - Site internet
- Les plus beaux villages de France : site internet
- Côte d'Or : site internet
- Bourgogne médiévale : site internet
- Destination Bourgogne : site internet
- Bourgogne Franche-Comté : site internet
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Date de dernière mise à jour : 04/12/2022
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