Bèze (21)
Bèze : fontaine aux eaux dormantes !
Bèze niché au fond d'un vallon verdoyant et ombragé, s'est construit autour d'une source résurgente, la Bèze. Située à 30 kilomètres au nord-est de Dijon dans le département de la Côte-d'Or, en région Bourgogne-Franche-Comté. Outre les vestiges de l'ancienne abbaye bénédictine et de ses fortifications, on y admire de belles maisons médiévales, de nombreux lavoirs et une école monastique fondée au XIIIe siècle. Bèze fait partie de l'Association des communes de France aux noms burlesques et chantants.
Le village de Bèze existait déjà dans l'Antiquité, Il tire son nom du celtique bezw qui signifie " rivière à sa source " ou " fontaine aux eaux dormantes ". Des pièces romaines des IIe et IIIe siècles , découvertes dans le bourg en 1850, attestent aussi de son existence à l'époque Gallo-Romaine. En Bourgogne, le déclin des Romains attira des barbares venus de Germanie dont les Burgondes, qui ont laissé leur nom à la Bourgogne.
Mais l'histoire de Bèze est surtout connue depuis Amalgaire, duc mérovingien y créa un monastère sur les terre reçu du roi Dagobert, sous la règle de Saint-Colomban, en 630. La légende dit qu'après avoir laissé son cheval boire à la source, il se promène et est si séduit par les lieux qu'il décide d'y fonder une abbaye. Dès le siècle suivant, les moines transplantèrent des ceps du village jusqu'aux terres de Gevrey. Le Clos-de-Bèze "Grand cru de Bourgogne" est aujourd'hui la vigne la plus ancienne de Bourgogne. L’histoire du village de Bèze et de l’abbaye sont alors intimement liées pendant plus de mille ans.
Préparer votre visite touristique à Bèze
Après avoir stationné votre véhicule, dirigez-vous vers la Source De Beze, situé Chemin des Grottes. C’est ici que naît la rivière qui a donné son nom au village : la Bèze. La rivière prend naissance au sein d’un lac souterrain dans une grotte nommée "la Crétanne", située aux abords immédiats de l’agglomération de Bèze, en Côte-d’Or, au pied d’une falaise surplombant la résurgence, dans le bassin dit de "la douy". Source vauclusienne, c’est l’une des plus importantes de France avec un débit pouvant atteindre 20 m³ par seconde en période de crue. L’eau est étonnamment claire et pendant les périodes où le débit est important, on peut observer des bouillonnements spectaculaires. Les marronniers et platanes en place actuellement au bord du chemin-promenade datent de 1846.
Depuis la source de la Bèze, une agréable promenade le long de la rivière vous permet de rejoindre à pied le centre du bourg et profiter du charme du village, de ses paysages, de sa faune et de sa flore. Traversez le parc de la Source, un pont piéton enjambe la rivière, à hauteur de l'ancienne "cour des Francs", pour passer directement des grottes au parc de la Cure dont la bâtisse 'la Cure" sera rénovée et le jardin aménagé, permettant aux visiteurs de rejoindre facilement le centre du village et l'abbaye.
Avant la construction du bâtiment actuel, une ancienne cure était située à l'angle de la rue Vincenot et du cimetière qui enveloppait alors l'église actuelle place Félix Kir. Le bâtiment, construit entre 1830 et 1835, afin de remplacer l'ancienne Cure qui avait subi les outrages du temps, reproduit avec justesse l'architecture classique de la fin du XVIIe siècle. Entièrement en pierres de taille, il a nécessité près de deux ans de travaux aux tailleurs de pierres du village. La toiture est dotée de jolies tuiles vernissées provenant d'une des tuileries du bourg. Le chanoine Kir, qui fut député-maire de Dijon après la deuxième Guerre Mondiale, a occupé la cure avec sa mère lorsqu'il est curé de la paroisse de 1910 à 1924. Celle-ci y décède et est inhumée au cimetière de Bèze.
Au bout de la rue prendre à gauche dans la rue Vincenot, en direction de l'église Saint-Remi. Saint Remi fut l’évêque qui baptisa Clovis et 3000 de ses soldats à Reims en 498. La première chapelle remonterait au VIIe siècle. La première église fut construite en 960 par les villageois et placée sous le vocable de saint Remi. Cette église fut reconstruite de nombreuses fois car elle fut, comme le village et l’abbaye, détruite et incendiée 7 fois dans son histoire. Elle est détruite pour la dernière fois en 1636 par Matthias Gallas. On distingue encore, au niveau de transept, partie la plus ancienne conservée, des pierres de bossages ainsi que des meurtrières, il s'agissait donc d'une église fortifiée.
Par miracle, de belles statues des XVe et XVIe siècle. sont toujours là, ayant traversé le cyclone révolutionnaire qui s'acharnait à les mutiler. À l’extérieur, vous pouvez voir une statue en pierre sur un piédestal qui représente le Christ au lien ou le Dieu de pitié. Il est appelé ainsi parce qu’il a les mains jointes. Ses amputations de la tête et de la jambe gauche sont sans doute l’œuvre de vandales. À côté est érigée une croix qui faisait partie de l’ancien cimetière.
En sortant de l'église Saint-Remi, prendre la rue des deux ponts, puis la rue de l'église. Tournez ensuite à droite dans la rue du Foulon, une nouvelle fois à droite rue de la Fontenelle, jusqu'à la Petite fontaine. Faire le tour de ce quartier en tournant toujours à gauche. A votre arrivez dans la rue de l'église, prendre à gauche dans la rue des Deux ponts. Les deux ponts sur la Bèze font partie de la route menant à Fontaine-Française. Avant leur réalisation au XVIIIe siècle, les anciens ponts qu'ils ont remplacés, laissés en place pendant les travaux, se trouvaient immédiatement en amont. La rue allait alors en ligne droite de l'église à la place centrale, alors qu'elle décrit maintenant une courbe et cette courbe porte le nom de « rue des Deux-Ponts ». C'est le 20 décembre 1756 que les États de Bourgogne décrètent la création d'une route allant de Dijon à Gray, en passant par Bèze et Fontaine-Française.
Après le pont prendre sur votre gauche la rue de l'Encloitre en direction du Cellier aux moines. Remarquez la belle maison Bourguignonne du XVIIIe siècle avec ses deux tours carrées, ancienne maison occupée par des gens d'armes. En face, avant la place du champs de Mars se trouve une ancienne maison du XVIIIe siècle de gardes forestiers. Sur la place du champs de Mars," la tour des chaux" est une ancienne tour de défense. L'appellation ancienne "tour des chaux" proviendrait soit de la situation d'un trou à chaux près de sa base, soit de la présence de chouettes dans les combles d'où chaux ou choues en patois local. Tour maîtresse de défense, faisant office de tour de guet et de corps de garde, elle est à trois étages, avec des murs de deux mètres d'épaisseur et un diamètre intérieur de sept mètres. Un escalier, aménagé dans l'épaisseur du mur, conduisait sur le chemin de ronde des remparts.
Poursuivez votre balade en direction du lavoir des sœurs, place du Champ de Foire. Adorable lavoir semi-circulaire dont la toiture est supportée par d'élégantes colonnes de pierre monobloc. Accolé à la tour d'Oysel, il forme avec celle-ci un bel ensemble. C'est un peu l'image phare du village. On suppose que son installation est le fait de la surélévation de deux à trois mètres des vannages de la forge installée immédiatement en aval de l'abbaye. Sa construction daterait de cette fin du XVIIe siècle. La légende rappelle que les moines, troublés dans leurs prières par le bruit des battoirs et le bavardage des lavandières travaillant pour eux à l'intérieur du monastère, aient décidé un jour de créer ce lavoir à l'extérieur pour retrouver la paix. Profitez du point de vue sur la rivière.
A proximité la Tour Oysel faisait également partie au moyen-âge des remparts de l'abbaye réalisés à partir de 1423 par l'abbé Simon de Torcenay pour répondre aux inquiétudes dues à la guerre de Cent ans. L'appellation "tour d'Oysel" vient du mot oiseaux et de la transformation de la tour en colombier, appellation ancienne venue jusqu'à nous par la tradition populaire. Un plan très précis de l'abbaye, daté de 1690, signale la tour d'Oysel sous le nom de "colombier de l'abbaye". Cette transformation d'une tour de défense en pigeonnier prouve que ces installations de défense n'étaient plus prises en considération en cette fin du XVIIe siècle.
La prochaine étape de votre parcours sera l'abbaye de Bèze, 18 Rue de l'Encloitre. L'histoire de Bèze fut marquée par la présence d'une ancienne abbaye bénédictine dont subsistent aujourd'hui des vestiges et des fortifications. Fondée en 630, l'abbaye bénédictine Saint-Pierre de Bèze est l'une des plus ancienne de Bourgogne: elle fut en effet la quatrième des abbayes mérovingiennes du diocèse de Langres, après Moûtiers-Saint-Jean, Saint-Bénigne et Saint-Seine. Ses bâtiments subsistants, qui datent pour l'essentiel du XVIIIe siècle, à l'exception des restes d'une chapelle du XIIe siècle, sont les témoins d'une histoire qui embrasse donc plus d'un millénaire, du début du VIIe siècle à la Révolution française, où elle fut vendue comme bien national.
Son Jardin de fleurs avec de 200 roses anciennes et son orangerie est traversé par la Bèze, et planté de nombreux arbres remarquables: platanes bicentenaires, séquoia, catalpa, hêtre pourpre etc... Dans le potager, une grande orangerie, construite en 1910, est dotée d'une couverture en tuiles vernissées d'une tuilerie du bourg, dont la mosaïque colorée est du plus bel effet.
Revenez sur vos pas jusqu'à la place de Verdun où se trouve l'école monastique. L’abbaye de Bèze fut une des premières à posséder une école monastique, dès 655. Celle-ci se trouvait dans l’enceinte de l’abbaye afin d’éduquer les jeunes moines. Plus tard, elle reçut des enfants des seigneurs et des nobles désirant s’instruire. Ce bâtiment, vendu comme bien National à la Révolution, a été divisé en quatre propriétés. Il en reste cette belle façade gothique du XIIIe siècle. La façade a failli partir pour les États-Unis en 1913. L'édifice était encore désignées au XXe siècle sous le nom de "Vieux Monastère" et même au XIXe siècle sous celui de "Petit Monastère".
Depuis la place de Verdun à gauche de la mairie une jolie maison, située impasse des Tourelles, attire le regard. Sa façade est flanquée d'une élégante tourelle à chaque angle dont la coiffe élancée et colorée est du plus bel effet. Cette maison a été construite au début du XXe siècle par le propriétaire de "La Grande Tuilerie-Briqueterie" de Bèze. Remarquez apposé sur le mur de la maison suivante un superbe angelot joufflu. Là, comme un peu partout dans le bourg, on retrouve des angelots ou de petites statues de saints placées dans des niches creusées dans les murs, ayant échappés à l'avidité des acheteurs de biens nationaux à la Révolution qui négociaient les dépouilles religieuses et les autres, érigeant ainsi d'immenses fortunes.
Face à vous engagez-vous dans la rue Domaine Clément, à une cinquantaine de mètre sur votre droite, se trouvait le four banal. Sous l'Ancien Régime, il y avait là le four banal qui communiquait directement, par l'arrière, avec le moulin, banal lui aussi. Sous la surveillance d'un moine, occupant l'étage, ce four alimentait en pain les villageois et les moines de l'abbaye ainsi que les miséreux. Actuellement, on ne voit de la rue que la voûte de la halle du four, murée aux trois quarts, l'accès à ce rez-de-chaussée s'effectuant depuis une voie publique fortement exhaussée avec le temps. À l'étage, la double fenêtre aux arcades tréflées éclaire une salle à alcôve avec des moulures en stuc d'époque Louis XV et une cheminée en pierre de Prémeaux de la même époque conservant sa plaque armoriée non identifiée, datée de 1758.
Quelques mètres plus loin, se trouve la maison où naquît Dom François Clément, historien et spécialiste des dates, bénédictin de la congrégation de Saint-Maur, en 1714. Au carrefour, sur votre droite admirez le petit pigeonnier, datant probablement du XIXe siècle. Très élégant, de taille moyenne et de forme carrée, il comprend deux étages. L'étage supérieur, avec sa pierre d'envol, est destiné aux pigeons. Un escalier demi circulaire le dessert par l'extérieur. Le rez-de-chaussée etait réservé au logement de matériel divers nécessaire à l'élevage.
Profitez de la vue sur le clocher de la vieille église du XIIIe siècle, puis prendre la ruelle Saint-Prudent sur votre droite. La chapelle saint-prudent (privé) construite vers 1011, sous l'abbatiat de Guillaume de Volpiano, pour abriter les reliques de saint Prudent rapportées de Narbonne vers 883 par Geilon, évêque de Langres. Elle fut sans doute reconstruite au XIIIe siècle puis remaniée au XVe siècle. La chapelle dépendant de l'office de sacristain de l'abbaye puis amodiée au prieur de Til-Châtel en 1579. Elle remplaça l'église paroissiale interdite au culte en 1698. Bâtiment adossé au chevet construit à la fin du XVIIIe siècle ou au début du XIXe siècle. La chapelle fut ensuite transformée en maison d'habitation au début du XIXe siècle, subissant alors de nombreux remaniements. Elle conserve encore, apparente dans son grenier, sa charpente d'origine voûtée en bois de châtaignier et la petite rose éclairant faiblement son chevet.
Saint Prudent fut l’un des premiers martyrs de l’Église de Narbonne. On fixe généralement à 257 l’année du martyre de saint Prudent, à Narbonne. Les Chrétiens ensevelirent son corps. Puis ses persécuteurs le déterrèrent et jetèrent ses restes en pâture aux oiseaux de proie et aux autres bêtes sauvages. Les reliques du saint furent déposées dans un tombeau sur lequel fut élevé un oratoire. En 882, Geilon, évêque de Langres qui revenait de Saint-Jacques-de-Compostelle, s’arrêta près de Narbonne pour y passer la nuit. Il y apprit que dans une chapelle peu éloignée de l’hôtellerie reposaient les reliques du martyr Prudent. L’évêque s’y rend, il s’agenouille avec respect devant l’autel et la pensée lui vint d’emporter ces reliques. Il demande l’avis de son chapelain et prend les ossements sacrés et se hâte vers la Bourgogne. Ce « pieux larcin » fut donné en présent par l’évêque aux religieux de Bèze en 883 pour que ces reliques soient plus à la portée des fidèles. Les reliques furent placées à l’entrée du portique du monastère. Devant l’affluence des pèlerins venus pour honorer le saint martyr, les moines durent construire non loin une chapelle spacieuse où le buste du saint fut apporté.
Poursuivre votre balade vers le séchoir à oublon bâti en 1904, bâtiment remarquable, un des derniers en Europe construit en bois. Bèze a été, pendant près d'un siècle, l'image phare de la culture du houblon dans la région. L'architecture de cet ensemble est très particulière, les deux bâtiments en bois flanqués de part et d’autre du four était des lieux de travail (égrenage, triage, emballage et expédition), et les deux bâtiments en briques situés derrière ces derniers étaient les séchoirs. Les trois bâtiments en brique sont équipés d'une cheminée de forme pyramidale couverte en ardoise faisant référence au clocher de l'église de Bèze de même forme.
Si la culture du oublon a été introduite en Bourgogne et en Flandre par le duc de Bourgogne Jean sans Peur, qui fonda en 1409 « l'Ordre du houblon », ce n'est qu'en 1833 que Victor Noël, ancien maître des forges à Beire-le-Châtel, l'introduit en Côte d'Or. Très vite cette culture devient une ressource non négligeable et s'étend dans les cantons de Mirebeau-sur-Bèze, Fontaine-Française, Is-sur-Tille et Selongey.
Revenir vers le Pont de Penaisot, passez devant le lavoir "Penaisot". Ce lavoir du XIXe siècle, construit au cœur du village, est la mémoire encore vivante de la vie difficile des lavandières jusqu'au milieu du siècle dernier. Ce lavoir abrite un vaste bassin entièrement dallé, avec deux hauteurs de pierres à laver pour répondre aux périodes d'étiage et de crue. Une vanne à l'arrivée d'eau permet de vider et nettoyer le bassin. À la sortie du bassin, une autre vanne sert à affiner le niveau d'eau. Au niveau du pont, admirez l'ancien moulin à huile, et de l'autre côté du pont ; la maison à colombage. Sur sa droite se trouve la maison la plus ancienne de Bèze : l'ancien grenier à blé du village.
Reprendre le cour des Francs en direction des grottes aux sublimes eaux turquoise. Cours des Francs, rue des remparts, rue des potiers : le nom des rues ont leurs importances : elles rapellent l'histoire du village, l'histoire de la France ! Dans le cour des Francs se trouve la tour des Francs du XIIIe siècle. Au passage, profitez du belvedere des grottes et ne manquez pas la visite de la grotte où l'on navigue en bateau sur la rivière souterraine à l'eau cristalline. La première salle de la grotte est connue depuis le moyen-âge, cependant, la rivière souterraine n’a été découverte qu’en septembre 1950 par Mrs Renaud, Sage et Velard.
Carnet pratique de Bèze
Les incontournables de Bèze
- Les visites des villes et villages.
- Circuits de randonnées pédestres et cyclotouristiques.
Visites :
- Les grottes : À pied, puis en barque sur une rivière souterraine de 300 mètres de long, venez explorer ce lieu aux airs mystérieux... Visites guidées sur réservation. Renseignements au 03.80.75.31.33 ou tourisme@mairiedebeze.fr
- Abbaye de Bèze : l'abbaye est ouverte à la visite en été. Parking gratuit devant l'entrée de l'Abbaye. Site internet
Activités & Festivités :
- Le 15 août : la fête des cornichons et des andouilles, avec l'élection du roi des cornichons et de la reine des andouilles.
Plus d'information
- Mairie de Bèze - Renseignements au 03.80.75.31.33 ou tourisme@mairiedebeze.fr : site internet
- Grottes de France : site internet
- Côte d'Or : site internet
- Bourgogne médiévale : site internet
- Destination Bourgogne : site internet
- Bourgogne Franche-Comté : site internet
Sites touristiques à visiter près de Bèze
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- Dole : secteur sauvegardé (45 km)
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Marchés à visiter proche de Bèze
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Date de dernière mise à jour : 03/12/2022
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