Route touristique du patrimoine industriel (90)
La Route touristique du patrimoine industriel du territoire de Belfort
Souvent oublié par les visiteurs, le patrimoine industriel occupe une place majeure dans le paysage culturel et naturel de la France. L'industrialisation a façonné les paysages de notre pays Le patrimoine industriel est dès lors devenu une composante indissociable de notre environnement.
Cependant ce patrimoine a longtemps été méconnu et peu valorisé. Aujourd’hui, cette route touristique du patrimoine industriel du territoire de Belfort, vous emmène dans le Parc natruel régional du Ballon des Vosges.
Le ballon d'Alsace est l'un des premiers sommets significatifs lorsqu'on aborde le massif des Vosges par le sud. Il offre ainsi un large panorama, la Forêt-Noire à l'est, le Jura, la trouée de Belfort et, par temps clair, la chaîne des Alpes bernoises et le mont Blanc au sud, et les crêtes des Vosges au nord.
Il chevauche quatre communes, quatre départements et deux régions : Lepuix (Territoire de Belfort, Bourgogne-Franche-Comté) ; Plancher-les-Mines (Haute-Saône, Bourgogne-Franche-Comté) ; Saint-Maurice-sur-Moselle (Vosges, Grand Est) ; Sewen (Haut-Rhin, Grand Est).
Votre escapade touristique est une découverte de L’histoire des premières mines, probablement débuté vers le Xe siècle. Mais le véritable essor arrive plus tard, après la prise de possession de la région par la Maison d’Autriche qui fera venir des mineurs originaires de Saxe et du Tyrol.
Au XVIIe siècle, avec l’exploitation du plomb, du cuivre et de l’argent, du zinc, la région des Vosges du Sud devient un véritable centre métallurgique. De nombreux emplois dépendent alors de l’activité minière : mineurs, fondeurs, forgerons, charbonniers...
Plusieurs villages sur ce parcours conservent les empreintes de cette activité industrielle. C’est le cas d’Auxelles-Haut, de Giromagny et de Rougemont-le-Château où il est encore possible de voir des galeries de mines. L’essor de Giromagny sera le plus impressionnant et la ville devient même le siège de la justice des mines d’Alsace.
Le siège de la Communauté de Communes expose encore aujourd’hui différents objets et documents relatifs à l’activité minière passée.
Une fois l’âge d’or de la mine passé, l’industrie textile arrive dans la région avec une production qui a recours aux paysans tisserands travaillant à domicile. Ce système de fabrication dispersée favorise le développement d’un grand nombre d’unités de production de petite ou moyenne taille.
C’est le cas à Rougemont-leChâteau, Anjoutey, Etueffont,… A Giromagny, au début du XIXe siècle, la famille Boigeol augmente la capacité de production et l’entreprise ouvre de nouvelles usines à Auxelles et à Lepuix.
A la fin du XIXe , l’aventure textile amorce son déclin. La dernière usine fermera définitivement ses portes en 1965.
La Route touristique du patrimoine industriel en auto, moto, camping-car, en autocar, à vélo...
La route touristique du patrimoine industriel débutera du village de Rougemont-le-Château. Le village est situé au pied des Vosges du sud, à la limite entre la région de Franche-Comté et celle d'Alsace au point de jonction de deux anciennes voies romaines dont l'une reliait Langres à Strasbourg en longeant le massif vosgien et l'autre venait de Belfortaprès avoir traversé Offemont.
Rougemont-le-Château est situé au sud des Hautes-Vosges, est adossé à la montagne avec un large horizon sur le Jura et les Alpes. A la Fin du XIe siècle est fondé le prieuré de Saint-Nicolas dans la vallée qui porte ce nom.
Bourg fortifié au Moyen Âge, le XIXe siècle voit le village s'industrialiser, comme la plupart de ceux du pays sous-vosgien situés sur des cours d'eau. D'abord un tissage mécanique de 250 métiers installé par Victor Ehrard vers le milieu du siècle qui fabriquait du calicot mais aussi une usine de pièces détachées pour l'industrie textile, quincaillerie, serrurerie, petite fonderie, une tuilerie et un four à chaux vers la fin du siècle.
Patrimoine industriel de Rougemont-le-Château : Tissage de coton Winckler puis Roy, puis usine de construction électrique Teen, actuellement MCB10 et Tissage de coton Erhard puis Manufacture de Rougemont, puis usine de petite métallurgie Filiac. L'usine de petite métallurgie Schmerber, puis Schmerber Fils et Cie, puis Kern, puis Tréfilor, puis usine de traitement de surface des métaux Revêtement et Décoration, actuellement Thécla et l'usine de préparation de produit minéral Keller, puis scierie Munsch.
Prendre la direction d'Anjoutey via la D25 et la D27 (6,6 km), communes du parc naturel régional des Ballons des Vosges. Le bassin houiller stéphanien sous-vosgien s’étend sur le territoire communal et aux alentours, entre Bouhans-lès-Lure, Ronchamp, Lomont à l'ouest et Rougemont, Romagny à l'est.
Longtemps agricole, Le village d'Anjoutey a vu s’installer au XIXe siècle des petites industries qui profitaient de la force motrice hydraulique de la rivière : un moulin à tan transformait les écorces de chêne récoltées par les habitants en une poudre destinée au tannage des cuirs. Vers1855, le tissage mécanique et les différents ateliers de tissage à bras occupaient plus de deux-cents personnes.
Commencer votre visite par la ferme de la charme, cette ferme, qui existe dès 1500, est la propriété des seigneuries de Roppe, coseigneurs du village d’Anjoutey.
Les anciens bâtiments de la Charme sont mentionnés dans l’ouvrage de Jehan Bauhin, botaniste et médecin du comte de Montbéliard au XVIe siècle, qui raconte le périple d’une louve enragée causant la mort sur son passage, notamment à la ferme, où elle mord une chambrière du seigneur de Roppe. Sur ce site, un calvaire commémore le décès par la rage de Jean - Claude Jodly, en 1781.
Patrimoine industriel d'Anjoutey : Tissage de coton Koehl, puis Kahn-Lang, puis de la Société textile d'Anjoutey, actuellement ateliers municipaux et pisciculture.
Revenir sur vos pas, puis poursuivre vers ?Etueffont par la D12 (10,1 km). Le village est situé au pied du versant sud du massif des Vosges, sur la rivière La Madeleine, cours d’eau qui prend sa source au pied du Baerenkopf et qui traverse ensuite Anjoutey. Pendant l'antiquité, un camp fortifié gallo-romain est installé au sommet du Fayé. Ce bourg regroupe les deux anciens villages, Etueffont-Haut et Etueffont-Bas, depuis 1973.
Dès la fin du Moyen Âge, Etueffont se tourne vers l'industrie naissante : une forge qui transforme le fer produit par le fourneau de Bethonvilliers, l'exploitation minière de plomb argentifère dans le massif des Vosges tout proche, l'exploitation forestière et la fabrication du charbon de bois.
Par la suite un moulin est installé sur la rivière, des étangs sont creusés. Dès le début du XIXe siècle le tissage à bras se développe suivi vers le milieu du siècle par le tissage mécanique Boigeol-Japy, à cette époque des recherches pour découvrir un gisement de houille sont entrepris.
En 1879, les frères Zeller, originaires d'Oberbruck installent des tissages et une filature à Étueffont. Ces usines prospèrent pendant un demi-siècle (1880-1930), donnant du travail à plusieurs centaines d'ouvriers. Mais la crise de 1929 amorce le déclin du textile qui cessera son activité à Étueffont vers 1960.
Visiter l'église Saint-Valbert, dédiée à saint Valbert qui daterait du début du XVIIIe siècle et la chapelle du Mont Bonnet, érigée en 1888.
Patrimoine industrie d'Etueffont : Tissage et filature de coton Zeller Frères et Cie, puis Ets Zeller frères, puis usine d'articles en caoutchouc et de pièces détachées en matière plastique Transac. La forge-musée d'Étueffont est un témoin très intéressant de l'activité de cinq générations de forgerons.
Cette ancienne forge qui appartenait à la famille Petijean a été aménagée en musée. Quatre générations de Petitjean se sont succédé dans cette bâtisse d’Etueffont où maison et atelier ne faisaient qu’un. Rien n'a été refait, des meubles, des objets et des habits ont été fournis par les habitants du coin pour embellir le bâtiment.
La visite débute par la projection du film « Camille le Forgeron », puis c’est la découverte de la forge et de la maison, avec son logement et sa grange où sont présentés la vie d’antan et les nombreux outils agricoles du forgeron-paysan.
Poursuivre vers Vescemont en restant sur la D12, puis prendre la D24 (17,4 km). La commune de Vescemont est située sur un très ancien lieu de passage. À l'époque de l'empire romain, la vallée de la Rosemontoise était le seul point de passage entre la Lorraine et la Trouée de Belfort.
De nombreuses monnaies de Trajan, empereur romain de 98 à 117 ont été découvertes à Vescemont et la tradition populaire situe un camp romain à l’emplacement du fort de Giromagny. On peut encore voir quelques vestiges du château du Rosemont qui se dressait sur un rocher à la limite de la commune de Riervescemont. Le château du Rosemont a été construit vers 1050 par l’un des premiers comtes de Montbéliard.
Située dans le Pays sous vosgien, la commune de Vescemont s'est bâtie le long de la vallée de la Rosemontoise, entourée de part et d'autre de sommets vosgiens d'où descendent de nombreux ruisseaux.
Incontournable pour cette étape, le site naturel classé : Pierre dite "Pierre écrite". Classée pour son caractère artistique, elle se trouve à 975 m, à la limite avec la commune de Riervescemont, près du point culminant de Vescemont (988 m).
Le patrimoine industriel : Usine de décolletage Sonnet, puis Ackermann, puis Picquerez, actuellement Décolletage du Rosemont et l'usine de bonneterie Cheviron. A noter : une scie entraînée par une roue à aubes - Scierie Demeusy rue des Carrières, un puits à balancier et la maison "Morel" à l'architecture innovante.
La prochaine étape de la route touristique du patrimoine sera Giromagny via la grande rue et la D14 (19,2 km). Giromagny est considérée comme la capitale du pays sous-vosgien, petite région dominée par le ballon d'Alsace et occupant la partie belfortaine des Vosges méridionales. Au XVIIIe siècle, le grès de Giromagny était réputé car composé de quartz blanc et d'amphibole noire à grains fins, ce qui donne une teinte gris fer. Il pouvait être poli.
Le bassin houiller stéphanien sous-vosgien concerne donc aussi Giromagny. L'essor de Giromagny date de la fin du Moyen Âge avec le début de l'exploitation des mines d'argent, plomb et cuivre par les Habsbourg, alors seigneurs du Rosemont. L'activité des mines s'est poursuivie jusqu'au XVIIIe siècle, avec un fort ralentissement pendant la guerre de Trente Ans.
En 1648, le cardinal de Mazarin devient propriétaire des mines de Giromagny, ce qui n'empêche pas leur déclin et un fort ralentissement économique de la ville qui durera jusqu'au Premier Empire.
En 1813, les frères Boigeol installent une filature mécanique puis, en 1820, un tissage de 40 métiers à bras fabriquant du calicot. Par la suite, l'installation d'une machine à vapeur permettra le fonctionnement de métiers à tisser mécaniques en compensant l'irrégularité de la fourniture d'énergie hydraulique de la rivière la Savoureuse.
Patrimoine industriel : usine de bonneterie Cheviron, maison, puis usine de serrurerie Zeller, filature de coton Boigeol-Japy, puis tissage de coton Boigeol Frères et Warnod dit du Brûlé, puis Etablissements Textiles de Giromagny, usine de boissellerie Warnod, puis usine de construction automobile Lambert, puis usine de matériel d'équipement industriel Labouille, actuellement usine de traitement de surface des métaux.
La filature de coton Ernest Boigeol et Cie dite des Prés-Heyd, puis usine de pièces détachées en matière plastique Maglum, actuellement CTAA16 et la filature et tissage de coton dits du Rioz, de la société Boigeol Frères et Warnod, puis Warnod-Boigeol et Cie, puis des Etablissements textiles de Giromagny, puis usine de bonneterie la Lainière de la Savoureuse.
Admirer la Maison Mazarin, Place des Mineurs, cette résidence est l’ancienne maison de la justice des mines construite par ordre de l’archiduc. Son origine remontant à 1561 en fait l’un des plus anciens bâtiments de la ville.
En 1659, Louis XIV offre au cardinal Mazarin, les anciennes possessions des Habsbourg en Alsace. Cette propriété en porte donc le nom même si ce dernier n’y a jamais séjourné !
Suivre la direction de Lepuix via la D465 et la rue de Belfort ((21,3 km). Le village est situé au confluent de deux vallées d'origine glaciaire : la vallée de la Beucinière et celle de la Savoureuse. Le sous-sol de la commune est riche en filons métallifères (plomb, cuivre, argent…) qui furent exploités dès le Moyen Âge de façon industrielle.
L'exploitation de la forêt s'est intensifiée avec celle des mines, la demande en charbon de bois, bois de construction et matériaux de boisage des mines ayant fortement augmenté au XVe siècle. Les mines de Lepuix étaient difficiles à exploiter notamment en raison de la présence de nombreuses venues d'eau.
Ces difficultés furent à l'origine de la mise au point de systèmes d'exhaure. C'est-à-dire destinés à faire remonter l'eau du fond de la mine et à l'évacuer, extrêmement sophistiqués pour l'époque. Après l’exploitation des forêts à destination des mines, l’activité du bois persiste avec la création de scieries à caractère industriel.
La commune compte cinq bâtiments répertoriés par le service de l'inventaire général du patrimoine culturel de la France :
- filature de coton Boigeol-Japy dite de la Fonderie, puis tissage de coton Ernest Boigeol et Cie, puis Jean-Ernest Boigeol et Cie, puis P. Dreyfus et Cie, puis Schaeffer Impressions, actuellement magasin de commerce. La filature a été créée en 1855 et comprenait 200 ouvriers en 188956 ;
- tissage de coton Briot et Cie, actuellement Centre d'Aide par le Travail (usine de menuiserie) et stockage du Secours Catholique ; tissage de coton Boigeol-Japy dit du Pont, puis Jean-Ernest Boigeol et Cie, puis Industrie textile de Lepuix ; tissage de coton Ernest Boigeol et Cie dit des Grands Champs, puis Jean-Ernest Boigeol et Cie, puis Intertexta ; tissage de coton Boigeol-Japy dit de la Papeterie, puis pisciculture, actuellement maison ;
Installés sur l’ancienne « Fonderie autrichienne » de 1565, les tissages du Pont sont encore visibles aujourd’hui mais uniquement de l’extérieur. Outre la construction du premier bâtiment à trois étages lancée en 1854 par Ferdinand Boigeol, on y voit encore la haute cheminée carrée prévue pour le tirage de la chaudière et les salles de tissage avec leurs toits en shed ou en dent de scie. Un magasin de vente est ouvert jusqu’en 1985. La fermeture des portes aura lieu en 1987.
Pour finir votre parcours touristique, prendre la direction d'Auxelles-Haut via la D12 et D48 (27,4 km). Établi sur le revers méridional du massif des Vosges et dominant la Trouée de Belfort, le village à l'ambiance pittoresque compte parmi les plus montagnards du département.
Des mineurs venus du Tyrol et de Saxe ont travaillé à l'extraction du minerai de plomb, de cuivre et d'argent. L'exploitation des mines a cessé à la fin du XVIIIème siècle, les filons le splus rentables étant épuisés.
Cette activité industrielle très ancienne a laissé une marque profonde dans la structure de l'habitat : on voit à Auxelles-Haut quantité de maisons de mineurs et d'ouvriers, petites et serrées les unes contre les autres, près des mines, contrairement à ce que l'on voit à Auxelles-Bas où la maison typique est la grosse ferme paysanne.
On peut encore voir à différents endroits les vestiges de l'activité minière : galeries de mines et déblais dans le village, haldes dans la lande du Mont Ménard.
Au XIXe siècle, un tissage mécanique entraîné par la force de l'eau est construit par l'industriel Boigeol. On peut encore voir les ruines de deux petits barrages qui portent son nom, au nord du village dans le vallon du Rhôme, et qui étaient utilisés comme réserve d'eau permettant d'alimenter le moteur hydraulique.
La lande du Mont-Ménard, très facilement accessible depuis le cœur du village, ou la Chaume du Querty, plus éloignée, offrent aussi de beaux panoramas et un grand dépaysement.
Patrimoine industriel : maison, puis usine de décolletage Plubeau et Cie. Mines.
Carnet pratique de la Route touristique du patrimoine industriel
Les incontournables de cette route touristique
Visites & Activités
- Anjoutey
- Sentier de randonnée Anjoutey - St-Germain-le-Châtelet : 7.4 kms
- Sentier de randonnée Anjoutey - Etueffont : 9.7 kms
- Étueffont
- Forge-musée d'Étueffont : Un petit film retrace la vie des Petijean, forgeron de père en fils qui n'ont pas voulu commercialiser leurs haches, faute de quoi les descendants ont arrêté la forge. De nombreux outils et objets forgés sont exposés dans cette maison traditionnelle construite dans les années 1840. Forge-musée d'Étueffont - 2 rue de Lamadeleine - 90170 Etueffont Tél : +33 (0)3 84 54 60 41
- Sentier de randonnée Etueffont - Lamadeleine-Val-des-Anges : 12.1 kms
- Sentier de randonnée Anjoutey - Etueffont : 9.7 kms
- Sentier de randonnée Petitmagny - Etueffont : 5.9 kms
- Sentier de décourte "sur les Hauts d'Etueffont"
- Sentier d'Art reliant Etueffont à Rougemont-le-Château
- Giromagny
- Fort Dorsner à Giromagny, ouvert les dimanches et jours fériés de juillet à septembre de 14h à 18h.
- Musée de la Mine.
- Sentier minier. Mines de plomb argentifère - 7,3 km Pour aller à la découverte de ce passé minier, arpentez le sentier des mines de Giromagny. A travers la forêt, replongez dans cette histoire où vous pourrez découvrir deux entrées de mines. Des panneaux d’interprétation se trouvent également sur le parcours.
- Rougemont-le-Château
- Sentier de randonnée Rougemont-le-Château - Leval : 6,4 km.
- Sentier de randonnée Rougemont-le-Château - Saint-Nicolas : 8,9 km.
- Sentier de randonnée Étueffont - Lamadeleine-Val-des-Anges - Saint-Nicolas : 12,1 km.
- Sentier de randonnée Rougemont-le-Château - Romagny-sous-Rougemont : 8,4 km.
- Lepuix
- La scierie Demouge fonctionne à partir d’un système de roues à aubes construit sur le torrent de la Beucinière. Une association a aujourd’hui pour but de promouvoir et de mettre en valeur cette scierie communale à haut-fer datant de 1878. Lieu-dit Chauveroche - 90200 Lepuix Tél : +33 (0)3 84 29 32 45
- L’Association pour l’Histoire et le Patrimoine SousVosgien tente aujourd’hui de préserver ce patrimoine. Les Grands-Champs - 90200
- Étang des Belles Filles, site lacustre de toute beauté, du Petit Haut et des Roseaux.
- Cascade du Saut de la Truite.
- Site de la Roche Fendue (bouquet de trois rochers) et Site du Querty (panorama sur Belfort).
- Abri forestier de la Grande Goutte.
- Stages de peinture et randonnée aquarelle dans le massif du Ballon d'Alsace.
- Sentier panoramique autour du sommet du Ballon d'Alsace.
- Sommet du Ballon d'Alsace.
- Auxelles-Haut
- Auxelles-Haut est un point de départ de nombreuses randonnées (pédestres, VTT, raquettes) et de découvertes de paysages protégés et valorisés et offre des points de vue remarquables sur le Territoire de Belfort et les départements environnants, le Sundgau, le Jura et les Alpes.
Festivités?
Plus d'information
- Anjoutey : site web
- Etueffont : site web
- Lepuix : site web
- Maison du Tourisme du Ballon d'Alsace - Route du Ballon d'Alsace - Bâtiment des Démineurs - 90200 Lepuix - Tél. 03 29 25 20 38 - accueil@destination-ballondalsace.fr
- Giromagny : site web
- Rougemont-le-Château : site web
- Territoire de Belfort : site web
- Franche Comté tourisme : site web
Pour vous rendre sur la Route touristique du patrimoine industriel
Rougemont-le-Château
2 °C Légères chutes de neige
Min: 2 °C | Max: 3 °C | Vent: 11 kmh 86°
Le saviez-vous ?
N'oubliez pas !
Par respect pour les habitants et l'environnement, merci de respecter les panneaux signalétiques et consignes :
- Feux interdits (pas de barbecue)
- Camping interdit
- La nature est fragile et des chutes de pierres sont parfois fréquentes.
- Veuillez ramasser vos déchets avant de partir.
- Plus que les sacs plastiques ou les pailles, ce sont les mégots de cigarettes qui pollueraient le plus les océans. les filtres à cigarettes se dégradent très lentement. Deux ans en moyenne.
- L'un des "petits gestes élémentaires" à accomplir : ne plus jeter ses mégots par terre.
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Date de dernière mise à jour : 01/05/2021
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