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Abbaye Notre-Dame du Breuil-Benoît (Marcilly-sur-Eure-27)
L'Abbaye Notre-Dame du Breuil-Benoît
Marcilly-sur-Eure est située dans le département de Eure en région de Normandie, à 26 km d'Évreux et 31 km de Giverny. Région chargée d'Histoire, à deux pas d'Ivry-la-Bataille, d'Anet et de la Beauce avec ses villes de Dreux et de Chartres. Marcilly-sur-Eure est attesté sous la forme Marcilleium au XIIe siècle, Marsilhe-sur-Eure en 1316 dans les archives de Notre-Dame-du-Parc et Marsille-sur-Eure en 1356.
Parmi les édifices et lieux à forte valeur historique et patrimoniale, la commune de Marcilly-sur-Eure abrite un édifice sobre et sublime, magnifiquement sauvé du péril des siècles... l'Abbaye Notre-Dame du Breuil-Benoît. Située en un endroit isolé de la vallée de l'Eure, paisible et proche de cours d'eau conformément à l'usage cistercien. Pour vous rendre à l'Abbaye Notre-Dame du Breuil-Benoît à partir d'Evreux prendre la D52 (21 km), depuis Rouen suivre la D152, puis la D143 (10 km). Le paysage de la route traverse un milieu d'une nature verdoyante, occupé par des grandes étendues forestières. L'Abbaye de Breuil-Benoît est à la croisée des routes de Dreux à Saint-André-de-l'Eure et de Houdan à Damville par la forêt de Dreux.
Sur la route qui mène de Saint-Georges-Motel à Marcilly-sur-Eure ( D143), vous aperçevrez sur votre droite, un petit chemin de terre qui mène droit à l'abbaye et au château.
Préparer votre visite touristique à l'Abbaye Notre-Dame du Breuil-Benoît
L'abbaye du Breuil-Benoît, impressionnant vaisseau gothique, est surtout la seule abbaye cistercienne normande qui soit restée debout, quand toutes les autres abbatiales, chefs-d'oeuvre de l'architecture cistercienne médiévale normande, sont tombées. Son nom provient de la règle de saint Benoît à laquelle elle est soumise à sa fondation dans un endroit nommé Le Breuil. Le nom latin de l'abbaye est Brolium Benedicti. Tout commence en l'an 1098, Saint-Robert, abbé de l'abbaye Clunisienne de Molesme, voulant rendre à la règle de Saint Benoît son austérité primitive, fonda à Citeaux, près de Dijon, l'ordre des cisterciens qui, rapidement, essaima partout en France, surtout sous l'influence de Saint-Bernard, abbé de Clairvaux. En ces années là, Foulques était Seigneur de Marcilly, "Marcilleium" en latin.
Naissance, au XIIe siècle
En 1137, Foulques de Marcilly appela des religieux cisterciens des Vaux-de-Cernay, près de Dampierre pour fonder, dans un endroit appelé "Le Breuil" (Bois-taillis), une abbaye qui fut placée sous le double patronage de la Vierge et de St Jean-Baptiste et prit le nom d'abbaye. Dans la charte de fondation, Foulques donna aux moines des terrains pour la construction du monastère, des près de l'Ourme, un moulin et le droit de pêche dans le ruisseau qui l'alimentait. En 1140, quelques moines du Brueil allèrent fonder à Soligny l'abbaye de la Trappe sur la demande de Rotrou III, Conte du Perche.
En 1147, Guillaume de Marcilly, fils de Foulques, partit avec la deuxième croisade, lorsque le royaume de Jérusalem est menacé après la chute du comté d'Édesse. Croisade dont le Pape Eugène III confia la prédication à Bernard de Clairvaux et dirigée par le roi de France Louis VII le Jeune et le roi des Romains Conrad III. La croisade échoue et Guillaume de Marcilly fut fait prisonnier par les sarrazins. Selon la légende, il fit le voeu, s'il était délivré, de faire construire une église dans le monastère fondé grâce à son père.
"Mu par une inspiration divine", Guillaume de Marcilly se fit enfermer dans une caisse de bois qui fut expédiée au-delà des mers et se retrouva un beau jour, on ne sait comment, dans l'église Saint-Eutrope de Saintes. Extraordinaire miracle ! Les moines de Saint-Eutrope voulurent conserver le coffre que voulaient aussi ceux de Breuil. Le pape décida que les religieux de Saintes conserveraient la boîte mais qu'ils donneraient au Breuil un os de l'épaule de Saint-Eutrope. Ce qui fut fait. Dès lors la relique fut exposée chaque année. Quant à Guillaume, revenu dans ses terres de Marcilly, il tint sa promesse et fit construire une église qu'il mit tous ses soins à embellir et enrichir. Il y fut inhumé et sur sa tombe dans une chapelle située près de la sacristie, on pouvait encore lire avant la révolution cette épitaphe :"ci-gît Monseigneur Guillaume de Marcilly, fondeur de cette chapelle, fils de Monseigneur Foulques, jadis fondeur de cette abbaye qui trépassa en l'an de grâce MCC (1200)"
En 1158, Robert Ier le Grand (1123-1188), comte de Dreux, du Perche et de Braine, fils de Louis VI le Gros, roi de France, donna aux Moines du Brueil un nuid de blé à prendre dans ses moulins des Osmeaux, puis cinquante sous de rente à percevoir sur le revenu de la boucherie de Dreux et le droit de prendre, en sa forêt de Dreux, chaque jour, autant de bois mort que pouvait transporter une charrette à 2 chevaux. Le tout en échange des messes pour lui et sa famille. Simon d'Anet leur donna le panage et la pâture dans la forêt de Croth. D'autres dons furent effectués par les seigneurs de la région dont le plus curieux fut celui de la comtesse de Blois, en 1201 : la mise au service des moines, pour les besoins de leur maison, d'un bourgeois de Chartres en toute propriété exempte d'impôts.
L'abbatiale du Breuil-Benoît ne fut terminée qu'en 1224, année de sa consécration conjointement par Richard, évêque d'Evreux, et Gauthier, évêque de Chartres qui affectèrent au frais d'habillement des moines les revenus de la paroisse de Marcilly. C'est à partir de cette date que les Abbés du Breuil-Benoît furent les patrons de l'église de Marcilly. L'abbé de l'époque était Vincent. Lui succéda, de 1235 à 1247, Thibaut de Marly, de la maison de Montmorency, qui se fit connaître par de si grandes vertus qu'il fut mis au rang de des saints après sa mort en 1247. On le fêtait le 8 juillet. Plus tard, Michel Poncet de La Rivière († 1728) remplit la fonction d'abbé commendataire, le dernier abbé étant Denis Péguilhan de Harboust († 1804).
Déclin
À la mort de son père en 1413, Henri V, roi d'Angleterre prend les rênes du pays, et relance les combats contre les Français lors de la guerre de Cent Ans qui oppose les deux pays entre 1337 et 1453. En 1415, il débarqua en Normandie, ses succès militaires, qui culminent lors de la bataille d'Azincourt le 25 octobre 1415, lui permettent de se rapprocher d'une conquête de la France. En 1421, après s'être emparé de Dreux, les troupes de Henri V occupèrent le Breuil. Les moines furent assassinés, l'église brûlée et les bâtiments conventuels saccagés. Les anglais se retranchèrent dans l'abbaye pour continuer le siège du château fort de la Robertière édifié par Robert 1er de Dreux et où s'étaient réfugiés des troupes Drouaises. Le siège dura plusieurs mois et la Robertière fut détruite.
L'Abbaye Notre-Dame du Breuil-Benoît fut reconstruite et les moines s'y réinstallèrent. En 1545, les reliques de Sainte-Agnès qui faisaient l'objet d'un culte important et qui étaient depuis longtemps au Breuil, furent transférées en grande pompe à la paroisse Saint-Eustache à Paris. A partir de 1551, l'abbaye fut soumise au régime de la commende. C'est à dire que les abbés successifs en eurent le titre et les bénéfices, en récompense de services rendus, sans en exercer la charge. L'un d'eux, Denis Huraut 2ème, fit reconstruire, au début du XVIIe siècle, le logis abbatial qui deviendra le château actuel.
Un autre abbé, Michel Poncet de la Rivière, évêque d'Uzès et d'Angers, prononça l'oraison funèbre du grand Dauphin, fils de Louis XIV, en 1711 et celle du régent en 1723. Il devint membre de l'Académie Française en 1728 au fauteuil 30. Le dernier abbé fut Denis Péguilhan de Larboust, grand maître honoraire de la chapelle du Roy, conseiller au conseil royal, abbé commendataire des abbayes de St Chinon et du Brueil Benoît (de 1762 à 1790). Il célébra le 7 août 1776 à l'abbaye le mariage entre "Messire Jacques, Charles, Alexandre Doynel, Chevalier comte de Montécot fils de très haut et très puissant Seigneur Messire Jacques, Claude, Thérèse Doynel, Chevalier Marquis de Montécot et de très haute et puissante Demoyselle Charlotte, Françoise de Perthuy et d'autre part Demoyselle Jeanne Henriette de la Carte, fille de très haut et très puissant seigneur Messire Philippe, Louis, Chevalier Marquis de la Ferté et de la Carte, chef du nom et armes de la maison de la Ferté, ancien colonel des régiments de la marche d'infanterie, seigneur de la Leuze, Vaupilon, St Eliphe, Meaucé, St Victor de Buton, Fontaine-Simon et autres lieux, habitant en son château de la Loupe et très haute et puissante Dame Marie, Anne, Henriette de la Rabodange"... (retranscription de l'acte d'Etat Civil).
C'est l'époque des abbés commendataires qui précipitera la chute de l'Abbaye Notre-Dame du Breuil-Benoît. Les abbés commendataires mènent au Breuil une vie plus mondaine que monacale. Au début du XVIIe siècle, ils se font construire un véritable château pour leurs rendez-vous de chasse. En 1769, l’abbaye ne compte plus que deux religieux.
Révolution et Empire
Puis ce fut la révolution. En 1790, le monastère fut fermé et les biens morcelés furent vendus en mars 1791. Avant la vente, les autels, grilles, tombeaux et cercueils en plomb furent adjugés à M.Semillard qui les revendit à M.Duchemin le 27 août 1793. Cette même année, les objets de culte et les cercueils furent profanés, volés, dispersés, ... L'église de l'Abbaye Notre-Dame du Breuil-Benoît fut en partie détruite : on démolit les transepts pour en employer les pierres comme matériaux de construction. On laissa se dégrader les voûtes du choeur. Ensuite les bâtiments furent entre les mains de M. Darde puis de la baronne Locard tandis que les terres appartenaient au baron Emilien Desmousseaux de Givré, sous préfet de Dreux.
Les bâtiments en 1857 et les terres en 1860 furent achetés par M. le Comte de Reiset (directeur des musées du Louvre) qui a transformé le manoir abbatial en un charmant château. La chapelle, à cette époque, servait de grange. Le comte de Reiset fit reconstruire la nef en la fermant d'un mur formant un chevet droit à la hauteur des transepts. Face à l'impossibilité de rebâtir également le chœur, il préserve cette partie dans un état de ruine romantique. Restaurée en partie, elle fut transformée en musée par le comte de Reiset qui l'a remplie de souvenirs rapportés de ses voyages lorsqu'il était ministre plénipotentiaire. Il était possible d'y admirer de nombreux tableaux, des statues anciennes et des tapisseries dont l'une avait été exécutées par Marie Antoinette et sa fille Elisabeth pendant les deux dernières années de leur vie. Près de la chapelle de nombreuses anciennes plaques de cheminée. Monsieur de Reiset a été maire de Marcilly de 1867 à 1870. Il restaura l'église ainsi que plus tard, le château de Brazais qu'il acquit en 1902. Il était membre du conseil général de l'Eure, commandeur de la légion d'honneur et avait de nombreuses décorations de l'Europe entière.
Renouveau
À la suite du décès du comte le 2 mars 1905 à 83 ans, sa veuve meurt dans les années 1920. Les collections sont en partie dispersées en ventes publiques, notamment en 1922 ; l'abbaye cesse d'être entretenue. L'abbatiale Notre-Dame du Breuil-Benoît est rachetée en 1995 par M et Mme Martin, les nouveaux propriétaires s’attellent à sa remise en état. Ils commencent aussitôt son nettoyage et sa restauration : le monument est bientot degagé de la végétation envahissante et des debris de meubles et de charpente pourrie. C’est seulement alors que leur apparaît l’étendue d’un sinistre causé par plus de vingt ans d’abandon. La voûte est percée en plusieurs endroits, la charpente est irrécupérable sur les bas-côtés et le chevet, les arcs-boutants sont à la limite de l’effondrement, et le clocheton menace de basculer dans le vide. Mais grâce à leur courageet après de longues années de restaurations, le monument est aujourd'hui sauvé. La nef a retrouvé sa couverture de tuiles plates, et une croix de pierre a été hissée au faîtage en signe de renouveau. La volonté et les soins attentifs de ses propriétaires ont sauvé d’une ruine certaine cette église cistercienne. N'est-ce pas là le plus beau miracle du Breuil ?
Les vestiges de abbatiale Notre-Dame du Breuil-Benoît forment encore un impressionnant chef-d'œuvre du premier gothique, émouvant car c'est le seul qui subsiste aujourd'hui de l'architecture cistercienne médiévale normande. Construction puissante et harmonieuse avec les chapelles du choeur ouvertes sur l'extérieur depuis la destruction du transept qui ajoutent au site un charme romantique. Un édifice sobre et sublime, magnifiquement sauvé du péril des siècles. Ce lieu accueille régulièrement des concerts et des expositions, ainsi que d'autres manifestations : conférences, séminaires, dans un environnement préservé. Implantée en fond de vallée, entourée du ruisseau des Ourmes, du Couesnon et du ruisseau des Champs Ferrets, protégée par des boisements, l’Ancienne Église abbatiale bénéficie d’un environnement remarquable et reste confidentielle.
L'édifice est orienté et construit selon un plan en croix latine terminé par un chevet à pans coupés. Le transept a disparu, l'édifice se présente donc en deux parties, la nef et le chœur, séparés par un espace. La nef a été refermée et le choeur est partiellement en ruines sur sa partie nord. La nef comporte trois vaisseaux, un principal et deux collatéraux et elle est divisée en six travées. Le chœur est constitué d'un déambulatoire et de chapelles rayonnantes.
La façade de abbatiale Notre-Dame du Breuil-Benoît est divisée en trois parties verticales par les contreforts qui l'épaulent. Elle est percée dans sa partie centrale d'un portail en arc brisé, surmonté d'une rose, et d'un triplet de baies cintrées accompagnées de deux oculi polylobés. Une baie rectangulaire est percée dans le haut de la façade. Le côté sud est percé d'une baie en plein cintre, le côté nord est, lui, percé d'une porte et d'une baie rectangulaire aménagée dans une ancienne baie cintrée bouchée.
Le flanc sud est contrebuté par cinq arcs boutants simples et piles de culée. Il est percé de six baies cintrées dans sa partie inférieure et autant dans sa partie supérieure. Le mur occidental du bras sud du transept, seul restant, est épaulé de deux contreforts d'angle et percé d'une baie en plein cintre. La croisée du transept est dotée de deux tours d'escalier, au nord et au sud; celui au nord est terminé par une toiture en flèche polygonale. Le côté est de la nef a été refermé, ce mur est percé d'une baie cintrée pour chaque bas-côté, de deux baies à double lancettes et oculus polylobé dans sa partie basse, d'une baie circulaire surmontée d'un triplet de baies en plein cintre.
Cette ancienne abbatiale Notre-Dame du Breuil-Benoît, fait partie d'un domaine privé, où se dresse l'élégant "château du Breuil-Benoît". Celui-ci est l'ancien logis abbatial a l'élégance d'un château Louis XIII aux gracieux chaînages en brique et pierre. Si son histoire vous éloigne de l'idéal monastique, il n'est pas désagréable à l'oeil. Le parc de l’Abbaye est en accès libre toute l’année, et l’association vous propose des visites guidées en groupe sur RDV lors des Journées du Patrimoine.
La commune de Marcilly-sur-Eure comporte également plusieurs monuments à découvrir : l'église Saint-Pierre des XVIIe et XVIIIe siècles, en crépi, les contreforts de la tour du clocher sont plus anciens. Le château de Brazais ; le château de la Mésangère ; un ancien moulin, l'ancienne gare, par laquelle passe de nos jours la voie verte de la vallée de l'Eure...
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Visites à Marcilly-sur-Eure
- Abbaye du Breuil-Benoît - 27810 Marcilly-sur-Eure - Tel : +33 2 37 43 00 30 - site interrnet
- Association de l’Abbatiale Notre Dame du Breuil Benoît - Abbaye du Breuil Benoît - 27810 Marcilly sur Eure - Tél. : 02.37.43.00.30 - regis.martin.acmh@wanadoo.fr - Site internet
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