Les chemins de la liberté (Haute-Garonne)
La Route touristique "Les chemins de la liberté" de Haute-Garonne
De tous temps, les Pyrénées ont été synonyme de chemin de la liberté. De nombreux chemins ont été utilisés à travers les Pyrénées pour rejoindre l’Espagne ou la quitter dans une idée de la liberté. En Haute-Garonne, ces chemins passaient par le Burat, Melles, le Col du Portillon, l’Hospice de France ou la vallée d’Oueil pour rejoindre le vall d’Aran.
L'histoire des vallées est, comme c'est souvent le cas dans les zones de frontières, très éloignée de celle que l'on connaît des manuels scolaires nationaux. Dès la défaîte reconnue, le 1er février 1939, de la République espagnole le chef du Gouvernement souhaite un engagement de l'Angleterre et de la France pour protéger les vaincus, demande sans réponse.
L'exode qui s'ensuivit dirige dans les Pyrénées-Orientales environ 400 000 militaires et civiles, hommes, femmes, enfants et vieillards. La France dépassée par le flux, bien qu'elle se fut engagée à accueillir les soldats désarmés, rassemble les réfugiés sur la plage déserte d'Argelès sous la surveillance de tirailleurs sénégalais.
Durant la 2e guerre mondiale, des personnes de toutes nationalités et de différentes religions ont franchi à pied, les cols pyrénéens pour passer en Espagne et fuir l’envahisseur.
Pour échapper au nazisme et au fascisme, des hommes, des femmes et des enfants ont marché dans le froid, la neige, l’obscurité et la peur. Dans l'ombre des villages cachés et des montagnes sauvages des Pyrénées, la Résistance s'organise : jeunes, moins jeunes, vétérans de la Grande Guerre, riches ou pauvres, des hommes et des femmes convaincus prennent le maquis ou agissent dans l'anonymat le plus complet...
La Route touristique "Les chemins de la liberté de Haute-Garonne" en auto, moto, camping-car, en autocar, à vélo...
Votre parcours "Les chemins de la liberté" en Haute-Garonne debute à Saint-Bertrand-de-Comminges (km 0). Saint-Bertrand-de-Comminges ou 2000 ans d'une histoire tumultueuse successivement écrite par les Convènes et les Romains, puis par les Wisigoths et les Francs...Saint-Bertrand-de-Comminges, plus connu pour son patrimoine historique antique et médiéval, était un maquis très actif à la fin de la 2e guerre mondiale.
Beaucoup de maquis environnants comme Arbas ou Labaderque furent décimés en 1944. Ceux qui ont pu échapper aux allemands reformèrent un maquis à Saint-Bertrand-de-Comminges. Celui-ci joua un rôle important dans la libération de la zone de Saint-Gaudens, mais aussi pour le passage de fugitifs vers la libertés.
Les petites rues tortueuses et pentues de la cité, vous entraînent à la découverte du patrimoine médiéval. Située sur la colline et surplombant le site antique et la vallée, la vieille ville est un adorable dédales de ruelles. Les portes médiévales succèdent aux magnifiques maisons à colombages, typiques de Saint-Bertrand-de-Comminges. Visiter Saint-Bertrand-de-Comminges, c’est un peu comme remonter le temps.
Si vous êtes curieux, poussez donc la lourde porte de la cathédrale Sainte-Marie de Saint-Bertrand-de-Comminges. Comme les ouailles du Moyen-Âge, les visiteurs de notre époque ne peuvent pas la manquer ! La cathédrale Sainte-Marie de Saint-Bertrand-de-Comminges impose sa lourde stature là-haut sur le promontoire où a été bâtie le bourg médiéval.
En contrebas de Saint-Bertrand-de-Comminges, la basilique Saint-Just-de-Valcabrère s’élève au milieu des prés, dans un décor toscan. C’est l'une des plus belles églises romanes de l’Occitanie
Les communes de Saint-Bertrand-de-Comminges et Valcabrère sont devenues des lieux touristiques emblématiques. Elles sont distinguées par le label grands sites de la Région Occitanie Pyrénées Méditerranée, le label sites patrimoniaux remarquables et le label des plus beaux villages de France. Elles sont également inscrites au Patrimoine Mondial de l’Unesco pour les chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle.
Après autant d'attraits à découvrir au fil de cette promenade à Saint-Bertrand-de-Comminges, prendre la direction de Salechan via la D825 et la route de Luchon (12,4 km). À Salechan, rendez-vous à la gare qui était un des terminus pour les évadés provenant de toute la France et le départ de leur périple à pied. Vous pourrez remarquer une plaque commémorative rendant hommage à Émile Verdier, ancien chef de gare et résistant.
En cas de danger ou présence allemande, il plaçait un signe visible sur la voie ferrée de manière à ce que les personnes recherchées puissent sauter du train avant la gare pour se cacher. Aujourd'hui, Saléchan est un joli village, typique et agréable, où il fait bon vivre. La commune se situe en rive gauche de la Garonne, au pied des Pyrénées, dans la Barousse.
A découvrir à Saléchan : la Chapelle Saint-Julien du XIIe siècle. À l'angle extérieur nord-ouest, deux bas-reliefs gallo-romains ont été remployés dans la maçonnerie. Admirer l'église Saint-Julien-de-Brioude et la croix du Cap Deth Mailh. Cette croix en pierre sculptée est scellée sur un rocher à 680 mètres d’altitude dans le sentier qui rejoint le sommet dit Mailh de Pourchingles séparant Saléchan d’Esténos à environ 1500 mètres d’altitude.
Il indiquait la direction que les habitants prenaient obligatoirement soit pour voyager soit pour des raisons économiques ou religieuses. En fait, on les trouvait essentiellement sur les voies de communication importantes et on déposait une offrande sur son socle. En général un rocher ou une grosse pierre plate en récitant des prières en rapport avec le but de la marche.
Poursuivre vers le village de Marignac via la D125 (19,1 km). Juste au-dessus de la commune se dresse la montagne de Montcuq. Vers le sud, la commune est dominée par le pic du Burat et dont le ruisseau traverse le village. Au nord-est, le majestueux pic du Gar, dont la vue est imprenable depuis Marignac, fait partie intégrante du panorama local.
Marignac est située dans le couloir naturel de la Garonne et connaît dès le Xe siècle Av J.C.des vagues de migration. Située en périphérie de Lugdunum Convenarum (Saint-Bertrand de Comminges), la localité de Marignac est desservie par une grande voie romaine qui mène de Luchon au val d'Aran.
Le village proprement dit est fondé au XIIe siècle. En 1312, Philippe IV le Bel confisque les biens des Templiers, parmi lesquels la chapelle de Saint-Martin, le roi de France devient alors coseigneur de Marignac.
Une gentilhommière se trouve à l'entrée du village de Marignac sur la route principale, nommée Les Bengalis qui fut une ancienne maternité. Deux autres sont construites à la sortie du village sur la même voie. L'église de la Nativité-de-la-Sainte-Vierge du XIIe siècle, elle est située dans la basse vallée de la Neste.
La commune de Marignac compte encore trois chapelles : la chapelle de saint Martin du Xe et XIe, elle fut l'un des sièges des Templiers, la chapelle du Calvaire au pied de la montagne d'Arie, et la chapelle saint Roch entre le village et le hameau de Saint-Martin et trois châteaux : celui d'Espouy, celui de Sacère accolé à l'église, et le château Lucien Saint.
Une ancienne tour de guet datant vraisemblablement de l'époque gallo-romaine, communiquait avec les autres tours de la vallée de la Pique (Rouziet, Caltefort, Moustajon, Castelvielh, Gouaux, Oô, Garin, Castelblancat) et de la Garonne (Castech de Géry, Saint-Béat, Fos, Bezins, Eup, Chaum, Fronsac, Galié). Cette tour fait partie d'un ensemble de 19 tours qui formaient un grand système de signaux servant à prévenir la plaine et à avertir les vallées.
Traversez Marignac et tournez à droite après le pont. Continuez en montant et en tenant la gauche avant de croiser la stèle gravée en mémoire des évadés. Elle marque le départ du sentier en montagne vers le pic du Burat à 2 154 m d’altitude. C’est ici que les passeurs, qui connaissaient bien la montagne prenaient en main ces évadés. Une randonnée pédagogique retrace le témoignage de ces personnes.
Continuer vers le village de Melles par la N125 (31,9 km), petit village à flanc de montagne à la frontière espagnole (Val d'Aran). Située dans le Comminges, et limitrophe avec le département de l'Ariège. Vous êtes au Pays de l’Ours. Proche du Pont du Roy, Melles est à l’origine du renforcement de la population ursine dans les Pyrénées Centrales.
Chaque ruelle du village de Melles vous fera découvrir mille détails de la tradition pyrénéenne. Chaque pierre abrite le souvenir d’une histoire riche et passionnante. Commencer par l'église Saint-Pancrace de Melles, consacrée en 1892, ses dimensions reflètent une certaine importance de population à l’époque.
Depuis Melles, les évadés empruntaient des sentiers pour arriver à Canejan en Espagne. À l’entrée du village, on peut encore voir un tombereau ayant servi à cacher et à faire passer des évadés.
Redescendez sur la commune de Fos via la D44H, la frontière géographique entre la France et l’Espagne se situe au Pont du Roy. En 1936, Fos constituait un point de passage des réfugiés de la guerre d'Espagne, avant d'être ensuite un point d'évasion de la France occupée. Ce passage était étroitement surveillé par les Allemands. On peut encore voir l’ancienne route sur la gauche.
Le village de Fos bâti dans la pure tradition montagnarde comprend deux monuments classés : l'église Saint-Pierre-aux-Liens reconstruite au XVIIIe siècle et la Tour du Castéras, ruines au-dessus du village de Fos. Lors de vos flâneries dans le village, vous apprécierez son patrimoine bâti : les maisons en pierre sèche et leurs toits en ardoise à forte pente, les escaliers (les pénales), Chapelle du Batan, les fontaines, bassins et lavoirs aux vieux piliers de bois.
Prendre la N125, à environ 4 km après la frontière, tournez à gauche pour monter vers Canejan (46,4 km). La route n’est pas large et plutôt sinueuse, soyez prudent(e)s. Faites un petit détour par l’église du village ou celle de San Joan de Toran qui accueille chaque année un pèlerinage local. Redescendez pour reprendre la nationale, tournez à droite direction Bausen via la N230 (57,2 km), petit village traditionnel en pierres sèches.
Bausen est une commune de la comarque du Val d'Aran dans la province de Lérida en Catalogne (Espagne). Elle a sur son territoire l'ancien poste-frontière avec la France du Pont-du-Roi et le village de Pontaut. Ce village idyllique du Bajo Aran est célèbre pour sa forêt d’hêtres millénaire, la Forêt de Carlac, par ses vues impressionnantes sur la Vallée de Toran, et surtout par une légende réelle qui eut lieu au début du XXe siècle: les Amants de Bausen.
Admirer l'église Sant Pèir ad Vincula du XVIIIe siècle. Près du portail de style Renaissance se trouve une stèle funéraire romaine en marbre sombre, où sont gravés en bas-relief trois bustes humains, deux femmes et un homme, chacun sous un arc outrepassé orné de signes astraux. Canejan et Bausen étaient des lieux de transit pour les évadés qui avaient réussi à franchir la frontière. Mais, leur périple ne s’arrêtait pas là.
Le périple touristique passera par Bossost par la N230 (66,3 km), situé sur une commune de la comarque du Val d'Aran dans la province de Lérida en Catalogne. À Bossost, se trouvait une prison enfermant passeurs, évadés et opposants. Depuis cette prison, beaucoup étaient transférés à Sort puis vers Saragosse, Barbastro ou Lerida avant de terminer au camp de concentration de Miranda del Ebro.
Seuls les hommes étaient prisonniers, les femmes et enfants étaient conduits dans différents logements. espagnols cherchant à fuir la guerre civile déclenchée par la prise de pouvoir de Franco, passaient par Benasque, l’Hospice de France avant d’arriver à Luchon. Ce chemin était lui aussi, un nouveau départ vers la liberté.
De belles découvertes vous attendent à Bossost, le village possède un patrimoine roman important. Son église paroissiale, de la Mair de Diu dera Purificacion, est un bel exemple de l’art roman lombard que certains maîtres de la Vallée de Boí arrivèrent à apporter au Val d’Aran, datée du XIIe siècle. De plus, Bossòst est entouré de sept chapelles romanes aussi qui avaient été construites afin de se protéger de la peste.
Accolé à la nef, mais de construction antérieure, le clocher est considéré comme le plus beau clocher roman de la vallée. Sa tour fortifiée nous rappelle qu’elle a appartenu à un ancien château médiéval.
À la sortie de Bossost, prenez sur votre droite la direction du col du Portillon (75,3 km). Un itinéraire le plus spectaculaire que l’on peut faire depuis Bossòst, qui passe à travers une abondante forêt de sapins, avec une halte que vous ne devez pas perdre au Coth de Baretja, d’où d’un belvédère vous aurez une vue spectacularie sur le Baish Aran, Bossòst sur le flanc, et la forêt de Margalida en face. Le col du Portillon est emprunté par la route des cols.
Emprunté par les évadés, ces derniers partaient du Luchonnais pour traverser la frontière située en haut du col. Les chemins utilisés ne passaient que par la montagne. En effet, un poste de Kommandantur était situé à Luchon. Il est également intéressant de citer un autre moment important de l’Histoire : la Retirada, exil espagnol en 1936 qui va continuer jusqu’en 1939.
Poursuivre votre chemin vers l’Hospice de France via la (95,3 km) point de passage historique entre la France et l’Espagne. A 1380 m d’altitude, il a vu passer depuis le XVIIIè s. beaucoup de monde, des pèlerins en chemin vers Saint-Jacques de Compostelle jusqu’aux Républicains espagnols lors de la Retirada. Dans un décor grandiose de cascades, de pâturages et de forêts, ce lieu a été entièrement rénové.
Profiter du panorama, depuis Superbagnères, sur les sommets des "plus de 3000 " des Pyrénées et l’Aneto. Luchon, témoigne d'une histoire riche et généreuse. Puis direction Bagnères-de-Luchon "la reine des Pyrénées", via la D125 (107 km) , Luchon s’inscrit dans un paysage majestueux où les Pyrénées exercent toute leur magie.
Célèbre station thermale des Pyrénées, La villa Raphaël à Bagnères-de-Luchon fut le siège de la Grenzpolizei - police des frontières au sein de la Gestapo - de novembre 1942 à août 1944. En novembre 1942, la peur s'abat sur la zone libre jusque là : les allemands arrivent par centaines, des chars, des camions, des voitures, des jeeps, des side-cars, des motos, déferlent sur ce pays tranquille.
La villa Raphaël, belle et riche demeure située boulevard de Gorsse avait été choisie par le premier chef de la Grenzpolizei, le SS- Karl-Heinz Müller en raison de son éloignement de l'agglomération : personne ne devait entendre les hurlements de douleur et les cris de terreur des futurs prisonniers après quelques séances de tortures...
Les quatre douaniers dont le chef, le capitaine Schultz et un interprète s'installent, quant à eux, aux Chalets Spont sur les Allées d'Etigny, le plus grand bâtiment, donnant sur l'avenue est parfait pour recevoir les bureaux de l'Administration allemande des Douanes. Tandis que la kommandantur, s'installe dans les bâtiments de l'ancien évêché à Saint-Bertrand de Comminges.
Villas raffinées, Bagnères-de-Luchon rappellent les splendeurs d’une ville fréquentée par les grands de ce monde, de Napoléon III à Gustave Flaubert. Cette ville d’eau a conservé une élégante architecture Belle Epoque. Promenez-vous sur les Allées d’Etigny, cœur battant de la cité, puis appréciez la balade jusqu’au quartier des Thermes. Celui-ci se déploie dans l’écrin centenaire du parc des Quinconces.
Depuis Luchon, prenez la direction de la vallée d’Oueil et du Port de Balès via la D51 (127 km), séparant la Haute-Garonne et les HautesPyrénées. Il faut imaginer les évadés arpentant les sentiers de nuit à travers cette vallée sinueuse. Arrivés en haut du col, une stèle commémorative rappelle leur passage.
Depuis la gare de Saléchan, pour les candidats à l’évasion, 2 chemins étaient possibles pour atteindre le Port de Balès : soit par Ferrère, soit par Sost. Ces 2 chemins arrivaient à Mayrègne avant de continuer vers le lac d’Oô et les Gourgs Blancs. Le port de Balès ou col de Balès est un col s'élevant à 1 755 mètres d'altitude.
La route qui passe par le col de Balès est longtemps restée une piste forestière versant vallée de la Barousse dans les Hautes-Pyrénées et une piste pastorale versant vallée d'Oueil en Haute-Garonne. La Barousse est une vallée, comprenant la vallée de l'Ourse et intègre également la petite vallée de Siradan. Les principales cités sont Loures-Barousse et Mauléon-Barousse.
Suivre la direction de Ferrère via la D925 (143 km), offrez-vous donc une promenade dans le village pour découvrir l'église Saint-Michel du XIXe siècle avec des fresques réalisées par Nicolas Greschny en 1954. Il faut franchir le seuil des églises des villages, d’architecture parfois austère : le visiteur y découvrira bien souvent un très riche patrimoine mobilier, doré et polychrome, qui contraste fortement avec la pierre et l’ardoise.
Poursuivre ce parcours touristique vers Mauléon Barousse (146 km). Prendre le temps pour un arrêt au gouffre de la Saoule (cascade sous une voûte), situé au bord de l'Ourse de Ferrère à l'entré du village sur la route de Ferrère, est en fait situé sur la commune voisine d'Ourde. A découvrir à Mauléon Barousse : le château de Mauléon avec sa tour pentagonale du XIe siècle, l'église Saint-Laurent du XVIIIe siècle, et la chapelle gothique en ruine.
Retour sur Saint-Bertrand-de-Comminges via la D925 (160 km).
Carnet pratique de la route touristique "Les chemins de la liberté" de Haute-Garonne
Les incontournables de cette route touristique
Visites & Activités
- Les visites des villages et des villes.
- Circuits de randonnées pédestres et cyclotouristiques
- Pêche, VTT, canoë-kayak, escalade, parapente, ski, randonnées en raquettes, Canyoning,...
Activités et Festivités
- Saint-Bertrand-de-Comminges
- Le musée du blason et des ordres de chevalerie : 0622353010 - Site internet
- Visites individuelles : Visites de la cité médiévale et des extérieurs de la cathédrale pour un public d'individuels par les guides des Olivétains.
- Le musée archéologique : sur RDV 05 61 88 31 79
- Pour cheminer avec l'histoire de Saint-Bertrand à Valcabrère : La Via Garona GR® 861 : connecté aux chemins de Compostelle déjà existants « Conques-Toulouse », la «Voie d’Arles et la « Voie du piémont pyrénéen », Via Garona est un chemin pédestre labellisé GR® de 170 km - Les chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle - Site internet
- Bagnères-de-Luchon
- Musée des Arts et des Traditions Populaires du Pays de Luchon
- Musée de l’Aéronautique
- Musée de l’Hospice de France
- Visites guidées du vieux Luchon et de la vallée...
Les lieux de sauvetage de la Haute-Garonne
- Bellegarde-Sainte-Marie 31530 Abbaye de Sainte-Marie-du-Désert - Toulouse AFDU - Armée Juive - Armée secrète - Château de Larade - Centre médico-social de Toulouse - Paroisse Saint-Exupère - Paroisse Saint-Michel - Réseau Westerweel - Couvent Notre-Dame-de-la-Compassion - Institution Sainte-Marie-de-Nevers - Couvent de Marie-Réparatrice - Noviciat des Jésuites - Organisation Juive de Combat - Revel 31250 Camp volant de Revel - Cintegabelle 31550 Château d'Ampouillac - Seyre 31560 Château de Seyre - Saint-Loup-Cammas 31140 Clinique psychiatrique Saint-Loup - Villemur-sur-Tarn 31340 École Saint-Pierre - Aspet 31160 Maison des Pupilles de la Nation - Lévignac-sur-Save 31530 Orphelinat de Lévignac.
- Anonymes, Justes et Persécutés durant la période Nazie dans les communes de France. Les 89 Justes parmi les Nations de la Haute-Garonne - Site internet
Plus d'information :
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- Saint-Bertrand-de-Comminges : site web
- La cathédrale de St-Bertrand-de-Comminges : site web
- Marignac : site web
- Melles mairie : site web
- Le petit Mellois : site web
- Pays de l'Ours : site web
- Découvertes Pays Mellois : site web
- Fos : site web
- Luchon : site web
- Luchon mairie : site web
- Luchon SuperBagnère : site web
- Pyrénées patrimoine baroque : site web
- Musée de la résistance en ligne : site web
- Tourisme Saint-Gaudens : site web
- Tourisme monuments Nationaux : site web
- Haute Garonne tourisme : site web
- Occitanie : site web
- Visite Val d'Aran : site web : site web
Pour vous rendre sur la route touristique "Les chemins de la liberté" de Haute-Garonne
Gourdan-Polignan
8 °C Légère pluie
Min: 8 °C | Max: 8 °C | Vent: 4 kmh 313°
Le saviez-vous ?
Le crocodile de Saint-Bertrand-de-Comminges
Voici une des curiosités de la cathédrale de Saint-Bertrand-de-Comminges. La légende raconte que saint Bertrand aurait occis d'un coup de son bâton pastoral le terrible crocodile qui dévorait les jeunes femmes avant leur mariage...
La réalité est toute autre. Ce crocodile empaillé est sans doute un ex-voto rapporté de Terre Sainte au XIV° par un pèlerin pour remercier le saint de l'avoir protégé lors de son périlleux voyage...
N'oubliez pas !
Par respect pour les habitants et l'environnement, merci de respecter les panneaux signalétiques et consignes.
Merci de respecter le droit de propriété et de ne pas pénétrer sur les terrains privés.
Nos coups de coeur sur la route touristique "Les chemins de la liberté" de Haute-Garonne
Hébergement :
Restauration :
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Date de dernière mise à jour : 01/06/2021
Commentaires
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- 1. Ribaut Gilles Le 04/03/2024
Bonsoir,
J'emprunte très souvent la RN 125 entre la frontière et Gourdan Polignan , la fameuse route de la liberté qui a permis à beaucoup de républicains espagnols d'échapper aux exactions de Franco et aux opprimés par le régime nazi de gagner l'Espagne. C'est une belle route du souvenir.
Mais je suis outré par les immondices qui bordent cette route , c'est une injure à ceux qui l'ont empruntée et qui y ont souffert! Bouteilles, plastiques, papiers et autres jonchent les bas côtés. C'est honteux! N'est-il pas possible qu'un service quelconque nettoie régulièrement les abords de cette route qui se veut touristique et mémorielle???
Merci pour m'avoir lu et peut-être réagi pour pallier à cela.
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