Routes des Bastides et monastères (Hautes-Pyrénées - Gers)
La Route touristique "des Bastides et monastères" dans les Hautes-Pyrénées
Venez découvrir et partager en famille ou entre amis cette route touristique des Bastides et monastères dans les Hautes-Pyrénées.
Les chemins de crêtes avec les Pyrénées pour toiles de fond, les sentiers de randonnées au coeur des forêts, aux douces collines boisées, aux allures et traditions gasconnes, l'architecture rurale des villages, sont autant de paysages que vous apprécierez tout au long de votre parcours, riche de bastides et de sereins monastères.
Les vallées de Neste et Baronnies, pays des Quatre-Vallées, vallée de Magnoac, sont les témoins de la présence de l'homme depuis la préhistoire : gouffres, grottes, châteaux et chapelles sont là pour le rappeler
Au Xème siècle, le Magnoac formait avec la Neste, la Barousse et l’Aure une unité politique reconnue par la Couronne de France. A la Révolution, ces vallées furent réunies à la Bigorre pour former le département des Hautes-Pyrénées.
La Route touristique "des Bastides et monastères" en auto, moto, camping-car, en autocar, à vélo...
Située sur un plateau à 600 M d'altitude, la ville de Lannemezan (km 0) sera le point de départ pour cette route touristique "des Bastides et monastères" dans les Hautes-Pyrénées. Lannemezan propose à ses visiteurs un important patrimoine dans lequel se mêlent histoire et architecture typique de la région.
Située dans un carrefour des civilisations, s'inspirant à la fois des traditions venues de l'Atlantique et de la Méditerranée, Lannemezan dès l'époque romaine, avec la paix retrouvée, se bâtit sur la route du sel et du fer qui lui a donnée son essor économique avec les thermes de Capvern.
Peu de bâtiments vous rappelleront qu'elle fut une bastide créée en 1274 mais quelques places, dont celle du château et sa forme caractéristique, s'en font l'écho discret. Bien placée et bénéficiant d'un paysage des plus agréables, Lannemezan présente de nombreux beaux édifices et autres monuments dans ses rues.
On peut notamment admirer l'église Saint-Jean-Baptiste. Un bâtiment gothique de l'époque médiévale avec une nef romaine du XIXe siècle, un portail du XIIIe siècle, ainsi qu'un clocher inachevé du XIXe siècle. Des vestiges archéologiques ont été découvert sur le territoire de la commune.
Après avoir apprécie les promenades dans le bois de la Plantade, puis la Chapelle des Bourtoulets prendre la direction de Galan via la D939 (11,2 km). Deux-tours portes, fermées chaque soir, assuraient la sécurité de l’accès à la rue principale de Galan. La tour-porte sud de Galan est le dernier vestige monumental des murailles de cette commune.
Cette unique tour-porte fortifiée conservée est une construction en pierre de 6,20 x 5,50 m. Elle est dotée d’une grande porte charretière voûtée de 2,40 m de largeur et de plus de 3 m de hauteur.
L'église Saint-Julien de Brioude est construite à partir du début du 11ème siècle a évolué au cours des siècles. D’un point de vue architectural, l’église est dominée par les deux styles architecturaux principaux du moyen-âge, les styles roman et gothique. On note également deux éléments très rares : des peinture murale médiévale et beaucoup de vitraux représentant des Saints, rare en milieu rural.
L’origine de la Halle Mairie remonte probablement à l’âge médiéval, vers le 14ème siècle, comme le reste de la bastide de Galan, toutefois, aucune trace écrite ne permet la vérification.
Suivre la direction de Monlong via la D28 (19 km), admirer l'église Saint-Jean-Baptiste de Monlong. Puis, se diriger vers le site de Garaison par la D34 (23,5 km). Le sanctuaire de Notre-Dame de Garaison a été le plus connu, le plus rayonnant et le plus fréquenté du sud de la France jusqu'aux première apparitions de Notre-Dame de Lourdes à Bernadette.
C’est aux alentours de 1515 que la Vierge Marie apparaît à 3 reprises à Angèle de Sagazan une jeune bergère. « Ici, je répandrai mes dons », « Je veux que l'on construise une chapelle », « N’oubliez pas de remercier Dieu de ses bienfaits » sont les messages adressés par la Vierge. En 1540, une chapelle est construite à l'endroit précis de l'apparition. Dès 1841, une école commence à fonctionner.
Continuer vers Castelnau-Magnoac via la D9 (34,8 km). Le XIIème siècle est la grande période d’éclosion des Castelnaux. Bâtis à l’initiative d’un seigneur pour rassembler les populations dans des zones qu’il protège, Castelnau-Magnoac en est un exemple typique. Après avoir stationné votre véhicule au abord de la Place de l'Estelette, admirer la collégiale de l'Assomption de Castelnau-Magnoa.
La collégiale de Castelnau-Magnoac est un édifice gothique, le monumental clocher barlong est une véritable forteresse à trous d'arquebuse et baies en meurtrières. Venez découvrir cet édifice et la richesse architecturale de l'ensemble du bâti dont le clocher à caractère militaire est unique en son genre ainsi que les stalles en chêne sculpté du XVIe siècle installées dans le choeur.
À l'intérieur du clocher-tour de la collégiale de Castelnau-Magnoac, un musée d'art religieux présente une collection d'objets et tableaux du XVe au XIXe siècle, font l'objet d'une visite hors du commun. Ensuite, une visite au musée du Corps Franc Pommiès s'imposera. Profiter du lac de Castelnau-Magnoac pour une balade bucolique avant de reprendre la route vers la bastide de Trie-Sur-Baïse via la D632 (50,1 km).
Nichée au bord de la rivière Baïse entre les Pyrénées au sud et les collines du Gers au nord, la bastide de Trie-Sur-Baïse fût Fondé en 1323. Elle suit le plan traditionnel des bastides médiévales, trouvées seulement dans le sud-ouest : un plan carré, une place centrale avec une halle et des arcades abritées autour des bords, et une église impressionnante sur la place principale.
Beaucoup de villes bastides, y compris Trie-Sur-Baïse, ont ajouté plus tard des fortifications et des tours pour protéger le centre de la ville contre les envahisseurs. Des vestiges des fortifications de la cité sont encore visibles telles que la Tour Ronde et la Tour Carré datant des XIVe et XVe siècles.
Le monastère des Carmes a été fondé en 1365. En 1569, à la suite d'un incendie, seule l'église échappe à la destruction. Mais, le monastère est reconstruit 60 à 70 ans plus tard. Durant la Révolution il a fait partie de ces possessions de l’Église devenues biens nationaux pour être revendues. Une fois encore, seule l'église subsiste. Les autres bâtiments furent démantelés.
Le cloître a ainsi été reconstruit, à partir d'éléments achetés avant la Première Guerre mondiale par le collectionneur George Grey Barnard, dans l'enceinte du musée The Cloisters, à New York. L'église, édifice de type gothique méridional, a été restaurée en 1992 pour devenir un centre d'activités culturelles.
La mairie, imposant édifice Empire, abrite, en son rez-de-chaussée, une halle aux extensions de type Baltard. L'église Notre-Dame-des-Neiges est dotée d'un clocher aux lignes massives surmontée d'une flèche de style gothique flamboyant.
Après vos visites à Trie-Sur-Baïse, reprendre le parcours touristique des "des Bastides et monastères" dans les terre Gascogne. Prendre la direction de Miélan via les D17 et D3 (64,8 km) au coeur de l'Astarac, au piémont pyrénéen, dans la Gers. Le village de Miélan est une bastide du XIIIème siècle, vous pourrez voir la place des arcades ainsi que des maisons typiques à colombages.
Miélan faisait partie du pays des Affites, stratégiquement positionné entre les comtés d'Astarac, de Pardiac et de Bigorre et qui contrôlait par ailleurs deux voies antiques reliant, l'une Toulouse au Pays Basque et l'autre, les Pyrénées à Bordeaux. La découverte d'un sarcophage sur un site appelé Le Gleysa laisse à penser à une possible occupation antérieure, probablement gallo-romaine.
A voir dans la commune : Miélan conserve des éléments de l’architecture médiévale dont des maisons à colombage. Mais de nombreuses demeures ou bâtiments publics relèvent également du style Second Empire. Votre promenade vous fera aussi découvrir la chapelle Saint Jean Baptiste, les promenades et la maison du bailli. Le cimetière abrite plusieurs mausolées ou tombeaux remarquables.
La prochaine étape sera la bastide royale de Marciac via la D3 (83,8 km), fondée en 1298 située sur la rive du Bouès. Marciac a conservé ses caractéristiques originelles. La bastide est divisée en îlots rectangulaires, avec des rues parallèles et perpendiculaires formant un ensemble parfaitement symétrique. Marciac, marquée par un lourd passé religieux a conservé des monuments remarquables.
La ville originelle était entourée d'une enceinte percée de huit portes, comportant des tourelles tout et autour de laquelle était creusé un large fossé. De larges privilèges firent le succès rapide de cette bastide. Le projet de restitution architecturale du Marciac du XIVe siècle, va permettre aux visiteurs de la bastide d'être immergés dans sa "gloire architecturale", dont les 1 750 mètres de son ex-rempart représentaient une pièce maîtresse.
On reconnaît la bastide royale de Marciac de loin grâce à ses 2 clochers : celui de l'église Notre-Dame de L'Assomption du XIIIe siècle et celui de l'ancien couvent des Augustins du XIVe siècle. A l'extérieur du village, la chapelle Notre-Dame de la Croix (XIXème siècle) borde le chemin de Saint-Jacques. L'église Notre-Dame de Marciac possède le plus haut clocher du département du Gers avec 87m.
La Place de la Bastide de Marciac est très vaste, ses dimensions sont de 130 mètres sur 75 mètres. La vaste Halle bâtie sur 35 piliers de pierre de taille en 1345 au centre de la Place abritait les boucheries et le marché du mercredi au rez-de-chaussée, le conseil de la commune et les archives à l'étage, les écoles à partir de 1789. Cette Halle fut détruite en 1871, sans doute pour cause de vétusté.
Des maisons à cornières aux énormes piliers de bois bordent la place centrale de Marciac. La mairie, fière de ses trois étages, et la remarquable maison Guichard, siège de l'office de tourisme, la jouxtent. À côté de la mairie se trouve l'ancienne maison des abbés de l'abbaye de la Case-Dieu avec sa façade en pierre et ses fenêtres à meneaux.
À la sortie de Marciac, un lac de 30 hectares, attend les amateurs d'activités de plein air. Le conseil régional d'Occitanie a reconnu Marciac comme étant l'un des 40 Grands Sites d'Occitanie.
A présent suivre la direction de Villecomtal par la D286 (102 km), le comte Arnaud Guilhem III a souhaité que cette petite ville fortifiée devienne le siège des "Petits États de Pardiac". Fortifié dès le Moyen Âge, le village reçoit une charte de coutumes en 1337. De ses murailles, il ne reste qu'une vielle porte à voûte en berceau brisé.
L'ancienne porte d'enceinte dite "tour du château d'Arcourt" de Villecomtal, située au bord la route nationale 21, constitue le principal vestige du château des comtes de Pardiac. Une ancienne maison bourgeoise du XIXe siècle, nichée au fond d'un parc, abrite un restaurant. George Sand, en son temps, fut conquise par le charme de ce site.
L'église Saint-Jacques est un édifice du XIXe siècle dont les origines remontent au XIVe siècle. Le Château de Betplan est remarquable par sa façade classique, ses toitures à forte pente et ses terrasses à balustres. Il se trouve à la sortie de Villecomtal, sur la route départementale 38.
La prochaine étape sera pour visiter Rabastens-de-Bigorre via la N21 (106,2 km), à la limite du département du Gers et aux portes de la Bigorre, , dans le Pays du Val d'Adour. Rabastens-de-Bigorre, l'une des très rares bastides royales fondées au Moyen Âge, fondée en février 1306 par le représentant du roi en Bigorre, le sénéchal Guillaume de Rabastens.
L'église gothique Saint-Louis construite dans les décennies suivantes, est un des rares éléments architecturaux de l'époque qui soit encore visible à Rabastens-de-Bigorre.
De l'ancienne bastide et des monuments qui marquèrent au XVe siècle la puissance de la ville comme les maisons de bois et de pierre, une vaste halle en bois, six moulins, une grande église dédiée à Saint-Louis (1340), un Hôpital, un couvent de frère des Carmes et de puissantes fortifications en briques et galets - murailles, portes, châteaux, il reste aujourd'hui l'église, trois anciens moulins et trois lavoirs anciens.
Prolonger cette escapade touristique Saint-Sever de Rustan par la D6 (115,3 km). Au creux de la vallée de l'Arros sur sa rive gauche, il existe une abbaye inattendue, surnommée "le Petit Versailles en Gascogne", l'abbaye de Saint-Sever de Rustan qui offre aux amoureux des belles pierres l'un des plus émouvants ensembles architecturaux des Hautes-Pyrénées.
Tous les styles architecturaux majeurs du dernier millénaire sont présents, de la plénitude romane aux fastes des boiseries Louis XV en passant par l'exubérance du baroque. Le XVIIIe siècle fût son apogée. Cette abbaye favorise la naissance du bourg fortifié qui devient rapidement capitale du pays de Rustan. Les maisons à colombages de Saint-Sever de Rustan associent le bois, la brique crue, la brique cuite et les galets bruns de l'Arros.
Poursuivre votre périple vers Chelle-Debat par la D14 (121,1 km). Le village ne se trouvait pas au même endroit lors de sa fondation. On pense que le centre était alors situé au lieu-dit Las Crabès, où l’on peut encore voir dans un champ, au creux d’un méandre de l’Arros, le tumulus sur lequel était érigée une ancienne chapelle.
Au cours du Moyen Âge, le village dépendait des moines de l’abbaye voisine de Saint-Sever-de-Rustan, qui offrait travail et protection aux habitants du village. L'église Saint-Martin de Chelle-Debat date du XIXe siècle.
Restez sur la D14, jusqu'à Tournay (135,8 km), la bastide fut construite en 1307. Le roi de France Philippe IV le Bel fut à l'origine de sa fondation. Il avait en effet besoin d'une ville fortifiée au voisinage du Château de Mauvezin. Situé au coeur du piémont pyrénéen, à l'entrée du Pays des Coteaux, l'ancienne bastide de Tournay a su conserver le caractère et son empreinte du passé.
La place et les rues principales existent encore telles que les dessina Bohémond d'Astarac. Dans les petites rues, on peut y voir un surprenant habitat ancien avec des façades aux beaux encadrements de portes, des balcons et de belles lucarnes travaillées et aussi des toitures aux formes élégantes. On trouve encore à Tournay la maison de ce poète, maison Francis Jammes, près de la place centrale de l'Astarac.
Partout dans le village ancien de Tournay, on découvre également de nombreuses et fort belles demeures de maîtres imposantes construites à partir du XVIIe siècle avec de magnifiques portes cochères ou portails et aussi de belles cours en calades.
A Tournay, le patrimoine religieux a son importance. L'Église Saint Étienne fut incendiée en 1569 par les protestants. Elle fut reconstruite en 1850, mais dépouillée de tous ses biens petit à petit. On fonda d'autre part la chapelle Saint Jean vers le XVème Siècles. A la révolution celle-ci devient la Mairie, toujours à la même place. Quant au cimetière, il fut créé à l'issue d'une épidémie de peste en 1632.
Cette petite capitale de l'Astarac baignée par l'Arros, ne manque pas de charme. Certains parlent du Petit Nice de Bigorre ! A la sortie sud du village de Tournay, l’abbaye Notre-
La route touristique "des Bastides et monastères" passera par Bonnemazon (146,1 km) où se situe l'abbaye de l'Escaladieu. L'abbaye de l'Escaladieu est une ancienne abbaye cistercienne, halte importante pour tous les pèlerins de Compostelle qui empruntaient le Chemin du Piedmont.
L'abbaye de l'Escaladieu se situait à proximité de la grande route traditionnelle allant du Béarn au pays de Foix par le château de Mauvezin, tout proche, et Saint-Bertrand-de-Comminges. L'abbaye a été la sépulture des comtes de Bigorre entre les XIIe et XIVe siècles. Pétronille, comtesse de Bigorre, y meurt en 1251.
Chaque saison estivale, lors des concerts qu'elle accueille, l'exceptionnelle qualité de son acoustique ne manque pas de séduire musiciens, et spectateurs.
Pour la dernière étape de ce circuit touristique prendre la direction de Capvern-Les-Bains via la D938 (153 km). Capvern est composé de deux villages bien distincts : Capvern-Village, sur la partie haute, et Capvern-les-Bains, station thermale distante de 2 kilomètres, aux eaux déjà réputées à l'époque romaine. Capvern offre donc deux visages !
Le patrimoine historique de Capvern-Village vous invite à découvrir son église Saint-Pierre-de-Capvern. Mais c'est encore à la station thermale que se tient un joyau architectural des années 1960 avec l'église de la Sainte-Trinité labellisée "Patrimoine du XXe siècle".
Retour vers Lannemezan via la D817 (160 km).
Carnet pratique de la route touristique "des Bastides et monastères"
Les incontournables de cette route touristique
Visites & Activités
- Les visites des villages et des villes.
- Circuits de randonnées pédestres et cyclotouristiques.
- Sports aquatiques : Pêche à la carpe, balade en pédalo ou en bateau électrique, tour en planche à voile...
Activités
- Castelnau-Magnoac
- Visitez la collection d'objets et tableaux d'art religieux, après leur restauration. Issus du Trésor de la Collégiale, ils constituent une collection unique de haute qualité artistique, dans un cadre particulier, la tour du clocher à caractère militaire de la Collégiale.
- C'est dans ce souci du Devoir de Mémoire qu'au centre de Castelnau-Magnoac, l'ancien "café Bougues", qui servait de boîte aux lettres aux maquis, fut acquis par la Municipalité, dans le souci de faire de ces lieux empreints du passé, le cadre unique de la Mémoire du Corps Franc Pommiès - 49° RI.
- Attenant à ce dernier un café restaurant, conservé dans l'esprit initial, vous accueille pour déjeuner lors de vos journées de visite.
- Des visites gratuites sont organisées auprès de groupes d'adultes ou des scolaires auxquels des supports pédagogiques peuvent être fournis. Renseignements : Mairie téléphone : 05.62.39.80.62?
- Marciac
- Festival International de Jazz qui se déroule de la fin juillet au 15 août, son Espace Muséographique "Les Territoires du Jazz retrace l'histoire du Jazz".
- Marciac, terre de culture, avec ses galeries d'art, ses ateliers d'artistes, son exposition permanente dédiée à Madeleine Doubrère (aquarelliste)
- Musée d'Histoire Naturelle abrite une riche collection d'oiseaux, mais aussi son Salon de la Caricature (week-end de Pentecôte).
- Saint-Sever de Rustan
- Abbaye de Saint-Sever de Rustan : Visites guidées payantes tous les jours de 9h à 12h et de 14h à 18h. Fermé le lundi matin, le jeudi matin, le vendredi matin.
- Tournay
- L'abbaye Notre Dame de Tournay abrite deux ateliers artisanaux : poterie et atelier de pâtes de fruits. A l'intérieur de ce monastère, dans ce havre de paix, vous pourrez découvrir le cloître, l'église et une librairie spécialisée.
- L’arboretum est issu d'une ancienne lande à fougères, il héberge aujourd'hui 200 essences d'arbres et d'arbustes indigènes comme exotiques. Une brochure facilitant la visite est disponible à l'office du tourisme de Tournay.
- L'accès à cet arboretum est libre, des visites guidées par un botaniste peuvent être organisées sur demande.
Plus d'information
- Lannemezan : site web
- Galan : site web
- Monlong : site web
- Garaison : site web
- Castelnau-Magnoac : site web
- Trie-Sur-Baïse : site web
- Marciac : site web
- Chelle Debat : site web
- Rabastens-de-Bigorre : site web
- Rabastens-de-Bigorre : site web
- Tournay : site web
- Capvern-Les-Bains : site web
- Capvern : site web
- Thermes de Capvern-Les-Bains : site internet
- Lourdes info-tourisme : site web
- Coeur des Pyrénées : site web
- Tourisme Hautes-Pyrénées : site web
- Tourisme Occitanie : site web
Pour vous rendre sur la route touristique "des Bastides et monastères"
Lannemezan
-1 °C Peu nuageux
Min: -1 °C | Max: -1 °C | Vent: 15 kmh 184°
Le saviez-vous ?
Le Magnoac, terre de Résistance
Le 17 novembre 1942, à la suite de l'invasion de la zone libre par l'armée allemande quelques jours plus tôt, le général André Pommiès décide de créer un mouvement de Résistance dans le Sud-Ouest de la France, précisément dans les 17° et 18° régions militaires. Le Corps Franc Pommiès (de son premier nom Corps Franc Pyrénéen) est né.
Débute alors la période de la clandestinité: recrutement des hommes, renseignements, sabotages des usines de production et des voies de communication, encadrement des jeunes réfractaires du STO... Au 6 juin, avertis du débarquement, les quelques 12 000 hommes du corps franc effectuent une véritable "sortie de l'ombre" et s'adonnent à une lutte ouverte face à l'occupant: embuscades, guerilla et sabotages, rythment le quotidien des hommes du maquis.
Après leur participation à la libération des villes et villages du sud-ouest aux mois de juillet et août 1944, les hommes de Pommiès se regroupent à Toulouse. Commence alors leur marche vers le Nord-Est qui les conduira jusqu'à Stuttgart et finalement Berlin.
Nos coups de coeur sur la route touristique "des Bastides et monastères"
Hébergement :
Camping-les-Craoues
Situé aux pieds de la chaîne des Pyrénées, c'est l'endroit idéal pour réussir vos vacances en famille. Que ce soit pour rayonner dans les Hautes-Pyrénées, pour aller découvrir la beauté de ses paysages, avec toutes les richesses touristiques et culturelles d'une région unique par ses traditions.
Dans un environnement privilégié, naturel et ombragé, à l'entrée de plusieurs vallées des Hautes Pyrénées, que vous soyez en couple, avec un ou plusieurs enfants, ou que vous soyez avec des amis, n'hésitez pas à réserver votre emplacement ou votre location de mobil homes, chalets dans les Hautes-Pyrénées
Plus d'information : Camping Les Craouès - 682 Rue du 8 Mai 1945, 65130 Capvern - Site internet
Restauration :
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Le Nabias Val-Louron (Hautes-Pyrénées-65)
Au cœur des Hautes Pyrénées, la station domine la vallée du Louron, dans un cadre grandiose où le regard...807,20€ TTC
Date de dernière mise à jour : 01/06/2021
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