Basilique Notre-Dame de Bon Secours (Lablachère-07)
La Basilique Notre-Dame de Bon Secours à Lablachère
Lablachère est située dans le département de Ardeche en région de Auvergne Rhône-Alpes. La commune possède une architecture remarquable dont la Basilique Notre-Dame de Bon Secours avec une vue panoramique étendue. La basilique a été construite à l'emplacement d'une ancienne chapelle du XVIe siècle. Élevée au rang de basilique mineure en 1930, elle dévoile quelques vestiges de la chapelle d'origine, à l'instar de la statue en bois de la Vierge et d'une pierre encastrée dans l'un des piliers du chœur.
À deux kilomètres environ au sud-est de Lablachère, au nord du Plateau des Gras, sur la route d'Alès, s'est formé un village depuis la fondation du pèlerinage de Notre-Dame de Bon Secours, et qui porte le même nom. Ce lieu, autrefois nommé la Raze, point culminant du pays, était désert et couvert de bois de chênes poussant entre les anfractuosités des rochers calcaires. Le hameau de Notre-Dame est indissociable du sanctuaire de Notre-Dame de Bon Secours ; son histoire découlant du sanctuaire lui-même. Les termes "Bon Secours" et "Notre-Dame" dénomment indifféremment le hameau ou le sanctuaire. Néanmoins, au sens strict, Notre-Dame désigne le hameau et Notre-Dame de Bon Secours désigne le sanctuaire.
Préparer votre visite touristique à la Basilique Notre-Dame de Bon Secours de Lablachère
Dans le hameau et Notre-Dame se trouve donc la grande basilique de Notre-Dame de Bon secours dont la vierge perchée sur un haut clocher domine toute la région. Du haut du clocher, la Sainte Mère, tournant le dos au sinistre bois de Bourbouillet, lieu d'incantations païennes, semble contempler la plaine fertile et les monts d'Ardèche. La Basilique Notre-Dame de Bon Secours de Lablachère a été fondée en 1682 par Julien Gineste Delille ou De Lisle, ancien gendarme de la garde de Louis XIV retiré au hameau de Montredon à Lablachère où il exerce la médecine.
L'histoire communale raconte que, sorti seul, au cours d'une promenade à cheval, dans la garrigue, Julien Gineste Delille fait une chute accidentelle et se retrouve coincé sous sa monture, enferré dans les étriers. Loin de toute habitation, n'espérant aucun secours, il invoque la Vierge. Dans sa prière il promet à la Sainte Dame de lui bâtir une chapelle, en ce lieu même, s'il parvint à se tirer de cette mortelle situation. Mais, dès lors qu’il fut sorti d'affaire, il oublia sa promesse. L'année suivante, lors d'une sortie à cheval, il fait pareille chute... au même endroit. Une fois encore il invoque la Bonne Mère et recouvre la liberté, sain et sauf. L'ancien soldat décide enfin d'honorer sa promesse et fait ériger à l'endroit dit, une petite chapelle étroite et oblongue, éclairée par une lucarne, le tout ayant une superficie de seize mètres carrés.
La première pierre de la construction fut posée et bénie le jour des rameaux, 22 mars 1682, par ledit Rodilly, curé, et la chapelle achevée fut bénite par le même, délégué par Monseigneur le 8 septembre de la même année. Dans le modeste édifice de l'époque, Julien Gineste Delille place une statue de la vierge, rapportée d'un voyage à Paris en 1682. Le vocable prend naturellement le nom de " Bon Secours ". Cette petite chapelle connait très rapidement une fréquentation de plus en plus importante. En effet, l'histoire de Julien Gineste Delille se répand parmi la population locale et la rumeur de l'événement miraculeux ramène de toutes parts des pèlerins qui se pressent à la chapelle, devenue lieu de dévotion. La chapelle ne cessa ensuite de grandir au fil de nombreux événements pour devenir l'important édifice que l'on connaît aujourd'hui et qui abrite un couvent.
Après les années tumultueuses de la Révolution française pendant laquelle l'édifice religieux est fermé, c'est en 1845, profitant du nouveau régime, que le père Boissin décide de la rénovation du bâtiment. Une nouvelle chapelle voit le jour, bâtie sur les fondations de la première. Peu à peu des ordres religieux s'installent à proximité ; d'abord des frères qui dirigent l'école, puis des Carmélites. Dès le XVIIIe siècle, l’évêque de Viviers y installe des chapelains pour s’occuper des pèlerins, puis y établit les Oblats de Marie Immaculée. L'ordre des "Oblats de Marie" nouvellement créé entreprend de grands travaux conduisant à la naissance de la basilique actuelle. Ses membres achèvent le cœur et installent le clocher où domine une statue de la Sainte Mère, identique à celle reproduite sur la médaille miraculeuse ; suite aux évènements de 1830, qui eurent lieu rue du Bac à Paris.
Eugène de Mazenod, évêque de Marseille, fondateur de l'ordre des Oblats de Marie-Immaculée consacre l'église en Août 1880, en présence de plus de 20.000 personnes. Au cours de cette cérémonie la statue primitive est couronnée d'un bijou acquis par souscription. Il s’était écoulé deux siècles, depuis le jour de l’acte de fondation de la chapelle et le pèlerinage de plus en plus fréquenté. L'église est élevée au rang de Basilique mineure le 14 Août 1930. Une Maison diocésaine est construite à partir de 1936, en face du sanctuaire pour l’accueil des fiancés et de groupes de réflexion et d’échanges. Confiée aux Sœurs de Saint Joseph, elles y assurent l’accueil de pèlerins, de retraitants et de différentes rencontres et sessions.
Le 4 novembre 1880, le préfet de l’Ardèche Edmond Robert (1879-1881), arrivait à la Basilique Notre-Dame de Bon Secours accompagné de plusieurs brigades de gendarmerie pour faire le siège de la maison des Pères Oblats de Marie-Immaculée et les en chasser, à la suite de la loi sur l'expulsion des congrégations. Dès l’aube, le tocsin sonnait et les populations des alentours arrivèrent. Un certain nombre de notables s’enfermèrent avec les Pères, la foule se massant aux abords du monastère. Elle accueille les gendarmes aux cris de « Vive les Pères », « Vive les gendarmes », auxquels on témoigne de la sympathie car il suffit de voir leur attitude pour comprendre qu’ils obéissent à regret aux ordres qu’ils ont reçus.
Le commissaire de police somme les Pères d’ouvrir et sur le refus formel qui lui est fait, il donne l’ordre aux nommés Lucien Jouve serrurier à Largentière, François Lèbre et Théodore Vesseau, menuisiers à Joyeuse, de crocheter la serrure ou d’enfoncer la porte à coups de hache. La femme Lèbre accourt et forçant la ligne de gendarmes saisit son mari et l’entraîne aux applaudissements frénétiques de la foule. Théodore Vesseau poursuit seul sa triste besogne, accablé par les malédictions.
Le préfet, pendant ce temps reste enfermé dans sa voiture et voit défiler devant lui les Pères portés en triomphe, aux cris de « Vive les Pères », « Vive la religion », À bas les bourreaux, les tyrans, les infâmes décrets, vivent les Oblats, ils reviendront. En effet, après quelques mois, les Pères reconnus un peu trop tard faire le service d’une chapelle autorisée reprirent peu à peu leur propriété et leurs fonctions. Ces violences inutiles n’ont servi qu’à raviver la foi et à attirer à Notre-Dame de Bon Secours, un nombre toujours croissant de pèlerins.
Les premières expulsions de 1880, avaient eu un caractère d'injustice et de tracasseries odieuses, mais en somme anodines quant à la continuité des œuvres; l'église demeurait ouverte. Non seulement les concours annuels n'étaient pas interrompus mais leur importance augmentait chaque année. Emile Combes, le "persécuteur", le reconnaîtra lui-même à sa façon. En 1903, toutes les écoles congréganistes ayant fait une demande d'autorisation en vertu de la loi du 1er juillet 1901, ont vu cette autorisation refusée par le ministère de l'intérieur et des cultes. Le conseil général de l'Ardèche émit le vœu que toutes les congrégations du département fussent autorisées. Il y eut quelques abstentions mais personne n'osa voter contre. Le conseil municipal de Lablachère, sous la présidence du maire M. Roche, à l'unanimité, s'est prononcé en faveur de leur maintien, peut-être plus pour des raisons économiques liées au pèlerinage de Notre-Dame de Bon Secours que sur le dévouement et l'œuvre éducatrice accomplie.
La tension déjà forte qui règne entre les deux camps (républicain et réactionnaire) croîtra encore lorsque les mesures gouvernementales porteront atteinte à la congrégation des Oblats de Marie-Immaculée de Notre-Dame de Bon secours. Les pères Oblats sont chargés d'assurer un service régulier du sanctuaire de Notre-Dame et doivent en être en même temps des auxiliaires pour les curés et desservants qui feraient appel à eux, notamment pour les prédications extraordinaires. Grâce à leur action et à leurs nombreux déplacements dans les diocèses voisins et celui de Viviers, ils ont rendu très populaire le pèlerinage à Notre-Dame de Bon Secours : le nombre annuel de pèlerins est évalué à 60 000. Chacun d'eux dépensant au moins un franc pour l'achat de manuels de piété, images de la statue miraculeuse, médailles, le revenu du sanctuaire peut être estimé à une soixantaine de mille francs.
En outre, l'établissement dispose de maisons et de terres d'une superficie d'environ 12 hectares, d'une valeur vénale de d'environ 70 000 francs. Parallèlement au pèlerinage, la congrégation exploite une pension tenue par des sœurs et appelée "Maison de Saint-Antoine de Padoue" et qui héberge les personnes désireuses de se recueillir auprès du sanctuaire. Les Oblats sont au nombre de douze en 1901, tous étrangers à nos deux cantons de Joyeuse et des Vans : deux sont originaires de Lozère, deux de l'Isère, un de Savoie, un de la Drôme, un du Doubs, un de Marseille, un de l'Ardèche; les trois autres sont des étrangers, un italien, un espagnol et un alsacien.
Le 3 juin 1903, le préfet, Mr Belleudy, représentant la République, intervient avec la gendarmerie et affronte la population menée par la droite locale représentée par Me de Malbosc, Mr Cambon maire de Berrias et Mr de Bournet. Ceux-ci, ainsi que les quatre oblats sont arrêtés. Le maire de Lablachère craignait quant à lui la perte de ressources liées au pèlerinage. Ils furent condamnés à de faibles peines à Largentière, puis en appel à Nîmes. Cet épisode de lutte entre réformistes radicaux, souvent protestants et Droite catholique conservatrice, mais qui en appelle aussi à la République en ce qui concerne la liberté de parole et d'exercice du culte, n'est pas sans rappeler le deuxième camp de Jalès, cent ans auparavant.
Le pèlerinage du 4 octobre 1903 eut lieu , réunissant une foule considérable, malgré son interdiction par la préfecture par un arrêté du 2 octobre. Mgr Bonnet évêque de Viviers et les meneurs du 3 juin sont présents et prennent la parole. Aujourd’hui, les Oblats sont partis et les prêtres du diocèse de Viviers la gèrent.
En pénétrant dans la Basilique de Notre-Dame de Bon Secours, le regard est tout de suite attiré par l’autel, symbole du Christ, qui reçoit la lumière d’en haut. Il nous dit la place centrale que tient l’Eucharistie dans la vie chrétienne. La Basilique Notre-Dame de Bon Secours dévoile quelques vestiges de la chapelle d'origine, à l'instar de la statue en bois de la Vierge et d'une pierre encastrée dans l'un des piliers du chœur. Dans cette belle construction où de puissantes voûtes sont supportées par d'élégantes arches gothiques, la pièce majeure demeure dans le cœur de l'édifice.
Par un déambulatoire qui fait le tour de l’édifice,se trouve l'authentique statue en bois de la vierge, celle-là même qui fut déposée dans la première chapelle par Julien Gineste en 1680. Elle nous présente son Fils qui, de la main gauche tient le monde et qui, de la main droite, index relevé, nous enseigne. Un sceptre à la main, parce que Reine de la Paix, elle esquisse un pas vers celui ou celle qui vient à sa rencontre lui confier ses peines ou ses joies. On attribue à cette vierge de nombreux bienfaits, notamment des guérisons, comme en témoigne l'imposante collection d'ex-voto qui tapissent les piliers de la basilique, sur toute leur hauteur.
Dans la Nef, les Saintes Femmes, les vierges et les martyrs, les Saints fondateurs, les Saints Prêtres et Évêques ; dans le chœur, la voûte est ornée des mystères de la vie de Marie et de Jésus : Marie vénérée par les anges, la Présentation de Marie, la Visitation, La Présentation de Jésus, le Couronnement de Marie au Ciel, l’Annonciation, la Nativité, Jésus retrouvé au temple, la Montée de Marie au Ciel. Le long du déambulatoire, le nombre impressionnant de confessionnaux installés en 1862, nous rappelle que notre vie pleine d’embûches nous éloignant de Dieu comme de nos frères, la réconciliation nous est offerte en permanence. Au-dessus de la porte d’entrée, Saint Pierre et Saint Paul annoncent à tous les peuples la Bonne Nouvelle de l’Amour, nous renvoyant nous-mêmes à notre mission d’artisans de la Paix dans le Monde que nous retrouvons en sortant.
Sur la gauche en sortant, une plaque de marbre noir mentionne que l’église est érigée en Basilique Mineure. Une plaque de marbre noir à l’entrée de la chapelle de la Vierge évoque la consécration de l’église par Mgr Eugène de Mazenod, depuis lors canonisé. De la chapelle primitive ne subsistent que la statue en bois de la Vierge et une pierre encastrée dans l’un des piliers du chœur. Deux pierres tombales renferment les corps des deux premiers chapelains. : le père Richard à gauche et le père Boisson à droite. A l'intérieur, il est également possible de découvrir une Mise au tombeau, peinture à l'huile de la fin du XVIIe siècle. La beauté de la statue de la Vierge ainsi que les peintures murales du bâtiment et l’harmonie de son architecture en font une des plus belles églises du département.
Carnet pratique de Lablachère
Les incontournables de Lablachère
- Les visites des villes et villages.
- Circuits de randonnées pédestres et cyclotouristiques.
- Au fil de l'eau : l’Ardèche
Visites
- Muséum de l’Ardèche : site web
- Musée de la châtaigneraie à Joyeuse.
- Basilique Notre-Dame de Bon Secours : site internet
- Cave de Lablachère : La Cave de Lablachère, un terroir aux multiples saveurs. La Cave de Lablachère - 428 Route de Planzolles - 07230 Lablachère - Tél. 04 75 36 65 37 - cave@cave-lablachere.fr - Site internet
Activités
- VTT,
- La descente du Chassezac en canoë-kayak,
- Baignade dans le Chasseyzac, pêche, canyoning,
- Escalade sur les sites de Casteljau,
- Gastronomie
- Vin : les vins AOC Côtes du Vivarais, le vin de pays des Coteaux de l’Ardèche
Festivités
- Un carnaval est organisé au mois de mars avec notamment un défilé de chars.
- Une fête est proposée le dimanche qui suit le 14 juillet avec feu d'artifice et animations musicales.
- Un marché de Noël a lieu en décembre.
Plus d'information
- Mairie de Lablachère - 1 place de la Mairie - 07230 Lablachère - lablachere.mairie@wanadoo.fr - Tél : 04 75 36 65 72 - Site internet
- Patrimoine Ardèche : site internet
- Cévennes Ardèche : site internet
- Ardèche Découverte : site internet
- Sud Ardèche Tourisme : site internet
- Ardèche guide touristique : site web
- Ardèche guide web : site web
- Auvergne Rhône Alpes tourisme : site web
Marchés à visiter près de Lablachère
- Lablachère : le marché se tient tous les dimanches matin.
- Joyeuse : marché Mercredi (3km)
- Rosieres : marché Lundi (4km)
- Naves : marché Samedi (9km)
- Largentiere : marché Mardi (11km)
- Ruoms : marché Vendredi (11km)
- Saint-Paul-le-Jeune : marché Lundi & Vendredi (15km)
- Vallon Pont d'Arc : marché Jeudi (16km)
- Jaujac : marché Mardi & Vendredi (19km)
- Barjac : marché Vendredi (20km)
- Besseges : marché Jeudi (21km)
Sites touristiques proche de Lablachère
- Gorges du Gardon : Grand Sites de France (8km)
- Bois de Païolive : Sites d'un grand beauté naturel (9km)
- Balazuc : Plus beaux villages de France (13km)
- Gorges de l'Ardeche : Grand Sites de France (16km)
- Grotte de la Cocaliere : Sites d'un grand beauté naturel (19km)
- Vogue : Plus beaux villages de France (19km)
- Tanargue : Sites d'un grand beauté naturel (20km)
- Jardin du mas de l'Abri : Jardins remarquable (20km)
- Aven d'Orgnac : Grand Sites de France (24km)
- Jardin du Tomple : Jardins remarquable (24km)
- Réserve naturelle nationale des Gorges de l'Ardèche : Sites d'un grand beauté naturel (24km)
- La Garde-Guerin : Plus beaux villages de France (25km)
- Vals-les-Bains : Plus beaux détours de France (25km)
- Parcs naturel régional des Monts d'Ardeche (29km)
- Grotte de Saint-Marcel : Sites d'un grand beauté naturel (30km)
- Aigueze : Plus beaux villages de France (32km)
- Cascade du Ray-Pic : Sites d'un grand beauté naturel (35km)
- Viviers : Secteurs sauvegardé (38km)
- Mont Lozère : Sites d'un grand beauté naturel (38km)
- La Roque-sur-Ceze : Plus beaux villages de France (39km)
- Ales : Villes fleurie 4* (39km)
- Cascades du Sautadet : Sites d'un grand beauté naturel (39km)
- La Ferme aux crocodiles : Zoo ou parc animalier (41km)
- Mont Gerbier de Jonc : Sites d'un grand beauté naturel (42km)
- Pradelles : Plus beaux villages de France (43km)
- Eglise de Saint Michel (La Garde-Adhemar) : Monuments Religieux (44km)
- Jardin des herbes : Jardins remarquable (44km)
- Bambouseraie de Prafrance : Jardins remarquable (46km)
- Cathédrale Notre-Dame (Saint-Paul-Trois-Chateaux) : Monuments Religieux (46km)
- Abbatiale Sainte-Marie (Cruas) : Monuments Religieux (48km)
- Arlempdes : Plus beaux villages de France (50km)
Consulter nos pages :
- A voir dans Lablachère
- A faire dans Lablachère
- Parcours touristique de Lablachère
- Histoire de Lablachère
Pour vous rendre à Lablachère
Lablachère
8 °C Couvert
Min: 8 °C | Max: 8 °C | Vent: 8 kmh 330°
Le saviez-vous ?
N'oubliez pas !
Les lieux les plus enchanteurs sont souvent les plus vulnérables. L'affluence du tourisme pouvant fragiliser encore plus les lieux, veillez à en prendre soin et à ne laisser aucune trace de votre passage. Par respect pour les habitants et l'environnement, merci de respecter le droit de propriété et à la vie privée, respecter les panneaux signalétiques et consignes.
- Veillez à toujours respecter les biens et les personnes lors de votre passage et de ne pas pénétrer sur les terrains privés.
- Observez le code de la route en tous lieux et en toutes circonstances, et soyez courtois avec les autres usagers que vous pourrez croiser sur votre chemin.
- Camping et Feux interdits (pas de barbecue) - La nature est fragile et des chutes de pierres sont parfois fréquentes.
- Veuillez ramasser vos déchets avant de partir. Plus que les sacs plastiques ou les pailles, ce sont les mégots de cigarettes qui pollueraient le plus les océans. les filtres à cigarettes se dégradent très lentement. Deux ans en moyenne. L'un des "petits gestes élémentaires" à accomplir : ne plus jeter ses mégots par terre. Pensez boite à mégots.
Soyez vigilants et attentifs à tous ces petits gestes pour que nos petits et grands paradis le reste encore de nombreuses années et que les personnes qui passeront derrière nous en profitent tout autant.
Nos coups de cœur dans Lablachère
Hébergement :
Restauration :
Découvrez les sites et lieux touristiques de l'Ardèche
Préparez vos vacances à Lablachère avec nos partenaires
Trouver un séjour à Lablachère avec nos partenaires
Date de dernière mise à jour : 20/05/2023
Ajouter un commentaire